Allons donc à London
Lorsque l’on s’engage pour son premier marathon et que l’on parvient à terminer celui-ci, deux réflexions viennent obligatoirement à l’esprit, soit « plus jamais ca », soit « Et maintenant ? C’est quoi le prochain ? ». En ce qui me concerne le pilote de Morrissette, il a opté pour la seconde option et a du choisir sa prochaine destination pour un marathon. Refaire celui de Paris était une possibilité, mais tant qu’a souffrir pendant 42,195 km autant le faire dans un nouveau décor. Lorsque l’on est passionné d’automobiles de collection anglaises et que l’on apprécie la course à pied, le marathon de Londres s’impose comme une évidence !
Avant de mettre le cap sur l’Angleterre, il a fallu s’astreindre à un programme d’entrainement hivernal copieu avec 3 sorties par semaine et plus de 600 km parcourus depuis début janvier. C’est assez rare pour être signalé mais le programme d’entrainement a été scrupuleusement respecté, pas une sortie annulée ou raccourcie. On peut maintenant le confesser, le Semi Marathon de Paris début mars n’a pas été fait à vitesse d’entrainement comme préconisé mais plutôt à fond pour tenter d’ aller chercher un chrono. Un programme d’entrainement appliqué à la lettre ne garanti pas le succès au Marathon, celui-ci n’est d’ailleurs jamais garanti mais permet de partir l’esprit plus léger en se disant que tout a été fait pour préparer au mieux ce défi.
Ce dimanche (13 avril), on sera donc au départ du Virgin Money London Marathon au milieu de 40 000 participants dont Mo Farah pour un parcours de 42,195 km dans la capitale anglaise passant devant les principaux monuments pour se terminer devant Buckingham Palace.
.