Qui dit journées du patrimoine dit nécessairement Circuit international des Remparts à Angoulême. Etant plutôt tournés vers les vielles roues à rayons que vers les vieilles pierres, nous avons pris le chemin de la Charente dimanche matin pour assister à l’édition 2017 du Circuit des Remparts.
La météo s’est montrée pour le moins capricieuse avec des températures dignes du mois de Novembre et une après-midi copieusement arrosée. Entre deux averses, les pilotes ont fait étalage de leurs talents sur un piste tantôt grasse, humide, détrempée ou séchante.
Le Circuit des Rempart ne figure au programme d’aucun championnat régulier de voitures de collection, les différents plateaux sont donc constitués pour l’occasion. On retrouve à parts à peu près égales des courses de monoplaces et d’autres de GT et berlines. En plus de ces deux grandes catégories, une démonstration de rallye mettant en scène les légendes du Groupe B était proposée aux spectateurs. .
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Malgré des plateaux quelque peu hétéroclites les batailles sont toujours au programme particulièrement en GT. Les plateaux Henri Greder et Jean Pierre Beltoise ont tenu les spectateurs en haleine tout au long des 30 minutes qui leurs étaient allouées avec de belles batailles pour la victoire finale mais également pour les places d’honneur. Le Circuit des Remparts est très court, puisqu’il développe un peu plus d’un kilomètre, et les plus rapides bouclent un tour en moins d’une minute. Les écarts y sont donc relativement restreints ce qui facilite grandement le spectacle en piste. Rappelons que le Circuit des Remparts d’Angoulême est le seul tracé urbain français à n’avoir pas évolué depuis l’époque où il accueillait les championnats internationaux de monoplaces.
Le Circuit des Remparts d’Angoulême lutte chaque année pour sa survie et l’équipe d’organisation a changé pour cette édition 2017. Seul fausse note, le prix des entrées fixé à 29€ par personne pour la journée de dimanche ce qui avait de quoi rebuter les moins fortunés. En dehors de ces considérations financières, l’organisation était bien huilée avec une gestion parfaite des contraintes liées aux plans Vigipirate et l’excellente idée de déplacer l’entrée des spectateurs dans le paddock afin de faciliter la vie de ces derniers mais également des équipes d’assistance.
Rendez-vous en 2018 sur le Circuit des Remparts en espérant que la météo soit plus clémente aussi bien pour les pilotes que pour les spectateurs et les organisateurs. Pour vous faire patienter jusqu’en septembre 2018, voici quelques photos prisent ce weekend. .
La dernière course de Morrissette avait eu lieu à Nogaro en Septembre 2016, un an tout juste après ses derniers tours de roue en compétition, la MG B est de retour dans le Gers pour une nouvelle course. Comme de coutume, la voiture est inscrite dans la catégorie ASAVE Racing 65, mais le règlement a changé : fini les deux courses sprint de 25 minutes et place à une course longue d’une heure avec arrêt changement de pilote au milieu de celle-ci.
Pour réussir sa rentrée des classes, Morrissette a profité de l’hiver et de l’été pour parfaire ses réglages, au menu un passage au banc pour optimiser l’allumage et la carburation ainsi qu’un changement des différents manomètres. Les antiques Smith ont laissé place à des plus modernes Stack, l’authenticité y perd ce que la précision y gagne. Merci au Garage de la Choletterie pour les réglages parfaits de la MG B en prévision de la course de Nogaro.
La météo gersoise n’est pas des plus clémente et si Claire a déjà eu l’occasion de rouler sur le circuit Paul Armagnac sous la pluie, cela sera une première pour Romain. Les séances d’essais libres du vendredi sont mises à profit pour valider les réglages et se remettre en jambe après 12 mois sans compétition. La MG B fonctionne bien et les interventions mécaniques se limitent aux réglages des freins arrière. .
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La samedi matin place aux choses sérieuses avec la séance d’essais qualificatifs. Celle-ci se déroulera intégralement sur piste sèche, petit à petit les chronos de Morrissette s’améliorent pour atteindre 1’55’721. Ce temps place la MG B au cœur d’un peloton d’anglaises puisque devant dans la même seconde on retrouve deux Lotus Cortina et quelques centièmes devant une Lotus Elan. Morrissette précède une autre anglaise mythiques, une Mini, de quoi annoncer de belles batailles en course.
Le dimanche les giboulées de printemps (même si nous sommes à la fin de l’été) rythment la matinée sur le circuit de Nogaro. Au moment du départ, la piste est sèche mais les nuages sont menaçants. Le départ de Morrissette est plutôt moyen car en collant trop le pilote de devant pour ne pas perdre la précieuse aspiration impossible de voir les feux de signalisation, ce sont donc quelques dixièmes qui s’envolent dès les premiers mètres. La MG B garde sa place dans le peloton souffrant principalement d’un déficit de vitesse de pointe dans la longue ligne droite de l’aérodrome. Cela n’empêche pas Morrissette de lutter avec une surpuissante AC Cobra et de prendre l’avantage à la régulière. Dès le deuxième tour, la pluie fait son apparition à certains endroits du circuit. Il pleut ainsi fortement sur la première partie du circuit alors que la fin du tour est entièrement sèche. Plus la pluie s’intensifie plus la MG B remonte au classement en prenant le meilleur notamment sur les Lotus Cortina.
La course est interrompue au drapeau rouge en raison d’huile sur la piste et d’une voiture mal placée. Le second départ est bien meilleur que le premier et Morrissette gagne plusieurs positions dans les premiers virages. La bataille en peloton nous offre l’occasion de passer quelques virages roues dans roues avec une rarissime et très onéreuse Alfa Romeo Giulia TZ. Après deux tours de bataille avec la Mini de Philippe Quirière, Romain tente un dépassement un poil optimiste dans la courbe faisant suite à la ligne droite des stands. L’entrée du virage sur les freins ne pardonne pas, la MG B part immédiatement en glisse pour finir sa course dans l’herbe. Un grand merci à Philippe qui a eu les bons réflexes pour éviter Morrissette en perdition devant le capot de sa Mini.
Une fois cette mésaventure passée, Morrissette reprend la piste et repart immédiatement à l’attaque pour récupérer les positions perdues lors de sa sortie de piste. En quelques tours, la position initiale est récupérée, mais impossible de remonter plus haut car la piste sèche de plus en plus. .
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A la mi-course, il est temps de passer le relai à Claire sur une piste séchante mais pas encore totalement sèche. Dès la sortie des stands, la MG B montre que sa puissance, certes limitée, est néanmoins largement suffisante pour faire glisser le train arrière sur piste grasse.
En cette deuxième partie de course, les écarts sont relativement marqués et il est difficile voire impossible de gagner des positions. Les chronos s’améliorent de tour en tour avec un piste séchante. Le coup d’œil dans le rétro au bon moment permet d’éviter une Ford Falcon en perdition, juste le temps d’ouvrir la trajectoire pour éviter la collision et celle-ci termine sa course dans le bac à gravier. Morrissette se montre particulièrement fiable et ne chauffe pas tout au long de la manche, de quoi passer sereinement le drapeau à damier après une heure de course. La MG B et son équipage termine à la dixième place du classement général, une position plus qu’honorable si on se réfère à la qualité du plateau composant la grille de l’ASAVE Racing 65.
A l’exception de la météo, ce weekend de reprise fut quasiment parfait. Nous ne savons pas encore quand Morrissette reprendra la piste mais espérons que ce sera le plus rapidement possible.
. Ci dessous, la vidéo que vous attendiez tous 🙂 … nous mettrons en ligne la vidéo de la course complète très prochainement. .
Le Grand Prix de Tours a déménagé depuis maintenant deux ans à une cinquantaine de kilomètres vers l’ouest pour s’établir à Chinon. Il convient donc désormais de l’appeler Chinon Classic. Si le lieu change, le programme reste le même et nous avons pris part au rallye et aux démonstrations de l’édition 2017.
Samedi matin, rendez-vous dans le centre-ville sur une place remplie d’automobiles anciennes, notre Jaguar Type E trouve une place entre plusieurs Austin-Healey. Ces dernières sont représentées en nombre car plusieurs membres du club de la marque prennent part au rallye touristique. Parmi les anglaises remarquables, on notera la présence de plusieurs Bentley et Lagonda d’avant-guerre. Celles qu’Ettore Bugatti baptisait les camions de la route sont déjà impressionnantes à l’arrêt, mais elles le sont encore davantage en action.
Les participants du rallye suivent le road book et s’élancent sur les petites routes de Touraine. Cette région étant riche en châteaux, le parcours fait naturellement la part belle aux petites routes entre les vignobles et nous allons d’un château à l’autre pour les différentes haltes prévues au programme.
Heureuse surprise, à mi-parcours, nous croisons les participants de l’Anjou Vélo Vintage tous habillés en tenues d’époque sur leurs vélos anciens. La rencontre des automobiles anciennes et des vélos donne un faux air de Goodwood Revival au cœur de la Touraine un samedi ensoleillé du mois de juin. .
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Après une pause déjeuner dans un domaine viticole de Saumur, il est temps de remettre le cap sur Chinon. Nous passons quelques kilomètres bloqués derrière une avant-guerre dite « caisse carré », impossible de dépasser sur les petites routes. A la première ligne droite nous faisons rugir les six cylindres de la Jaguar pour nous donner de l’espace. Ce dépassement sera de courte durée car au bout de quelques secondes nous perdons une partie de notre plaque de rallye … Nous devons faire demi-tour pour récupérer la dite plaque avant de nous rendre compte qu’en réalité celle-ci est toujours présente sur le capot, nous avons uniquement perdu un angle de la plaque. Le retour au point de départ du rallye se fera sans encombre.
Le dimanche matin Morrissette prend le relai pour les démonstrations dans le centre-ville de Chinon. Démonstrations obligent, celles-ci se font derrière le pace car à un rythme raisonnable pour éviter tous risques d’accident. La MG B trouvera tout de même quelques occasions de passer les chicanes constituées de bottes de paille à vive allure. Le public est présent en nombre lors des démonstrations du dimanche notamment encouragés par la météo très clémente du weekend.
Comme de coutume, nous vous avons ramé de nombreuses photos pour vous faire vivre de l’intérieur le Chinon Classic 2017. .
Après une première édition réussie en 2016, la commémoration du Grand Prix de Tours se déroulera de nouveau à Chinon en 2017. Prenant pour l’occasion le nom de Chinon Classic, les voitures anciennes se retrouveront dans la cité rabelaisienne le samedi 24 et dimanche 25 juin 2017.
Le Chinon Classic s’articulera principalement autour de deux événements : le samedi un rallye touristique qui sera clôturé pour ceux qui le souhaitent par une soirée de gala ; L’autre temps fort seront les démonstrations autos et motos qui se dérouleront le dimanche dans le centre-ville de Chinon. .
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Le rallye touristique partira de la place Jeanne d’Arc située en plein cœur de Chinon. Les concurrents y seront présents dès 8h le samedi matin pour récupérer road books et plaques de rallye avant de prendre le départ aux alentours de 9h00. Le tracé du matin amènera les concurrents successivement au Château du petit Thouars puis à celui de Brézé. Le déjeuner se tiendra à Saumur avant un retour sur Chinon en fin d’après-midi. Comme l’année dernière, le rallye affiche complet depuis plusieurs semaines.
La journée du dimanche sera consacrée aux démonstrations autos et motos autour de la place Jeanne d’Arc de Chinon. Le tracé reste identique à celui créé l’an dernier pour la première édition du Grand Prix de Tours historique dans les rues de Chinon. Les séries auto et moto vont se succéder tout au long de la journée. Ouvrez l’œil, vous devriez reconnaître une certaine MG B verte portant le numéro 34.
Petit rappel Historique, la commémoration du Grand Prix de Tours célèbre l’unique Grand Prix de Tours qui s’est déroulé en 1923 au nord de l’agglomération tourangelle sur la commune de Semblançay. Si vous voulez vous faire une petite idée du tracé originel du Grand Prix de Tours 1923, embraquez avec nous dans une MG A pour un tour du circuit.
Après la journée de samedi consacrée aux essais libres puis aux essais qualificatifs, les voitures étaient de nouveau en piste ce dimanche au Grand Prix de Pau Historique 2017 pour une journée entièrement dédiée aux courses. Comme lors de la première journée, les conditions météorologiques étaient de nouveaux caniculaires et pilotes comme spectateurs recherchaient désespérément des zones d’ombre et de fraicheur.
Parmi les différents plateaux, notre préférence se porte sur ceux dédiés aux GT et aux berlines avec l’habituel Trophée Maxi 1000 mais également l’Historic Endurance. Ce dernier disputé sur une durée d’une heure a ravi les spectateurs avec des batailles à tous les niveaux du peloton et ce tout au long de la course.
Les monoplaces ont depuis toujours fait la renommée du Grand Prix de Pau que ce soit dans sa version moderne ou historique. L’édition 2017 du Grand Prix de Pau Historique mettait à l’honneur les Formule 2 avec un plateau réunissant une dizaine de voitures.
Plutot que les mots, voici les photos des différents plateaux en piste au cours de la seconde et dernière journée du Grand Prix de Pau Historique 2017 : .
. La France a le Tour Auto, l’Italie a les Mille Miglia. Si les deux événements ne sont pas directement comparables, ils comportent néanmoins de nombreux points communs. Les deux rallyes réunissent les plus belles voitures du monde pour un périple sur route ouvert qui ravit les spectateurs.
Les Mille Miglia originelles se sont déroulées en Italie de 1927 à 1957. L’édition 2017 qui est parti hier de Brescia célèbre donc l’anniversaire des 90 ans de l’épreuve. Comme lors des années précédentes, les Mille Miglia 2017 se dérouleront en 4 étapes réparties sur quatre journées et parfois même une partie de la nuit. Le parcours emmène toujours les concurrents depuis Brescia jusqu’à Rome avant de revenir à Brescia mais les villes étapes ont été modifiées avec l’apparition de Padova en remplacement de Rimini.
L’édition 2017 se tiendra du 18 au 21 juin :
Jeudi 18 mai : Brescia – Padova
Vendredi 19 mai : Padova – Rome
Samedi 20 mai : Rome – Parme
Dimanche 21 mai : Parme – Brescia
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L’événement tire son nom de la longueur de son tracé qui s’établit toujours aux alentours de 1000 miles (1600 km) disputés sur route ouverte. Forte heureusement, la reconstitution historique des Mille Miglia est beaucoup moins dangereuse que l’épreuve originelle qui avait été émaillée par plusieurs accidents dramatiques.
Si les vitesses sont bien moindres que dans les années 30, 40 et 50 la ferveur populaire est toujours aussi importante. Italie oblige, les tifosis sont toujours nombreux au bord des routes pour voir passer la course qu’il surnomme la piu bella del mundo.
Le plateau automobile exceptionnel réuni chaque année leur donne raison et les célébrités sont de plus en plus nombreuses au départ de l’épreuve. Alfa Romeo, Mercedes ou encore BMW partenaires de l’épreuve ont confiés quelques-unes de leurs voitures qui se sont illustrées aux Mille Miglia a des pilotes réputés ou à des VIP. . Retrouvez ici la liste complète des participants aux Mille Miglia 2017
Au milieu de la nuit, les concurrents du Tour Auto 201 ont franchi la ligne d’arrivée de l’épreuve située à la Cité de l’Océan à Biarritz. Après une courte nuit de sommeil, il est temps de faire les comptes et d’établir les classements définitifs des différentes catégories.
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Compétition
La catégorie compétition regroupe les voitures de course d’avant 1965, il s’agit des voitures phares du Tour Auto. Pour la victoire finale, il y aura eu relativement peu de suspens tant Andrew Smith et James Cottingham ont dominé l’épreuve de bout en bout. Ils remportent l’immense majorité des spéciales et courses sur circuit, leur plus mauvaise position étant troisième. Le Tour Auto n’a cependant pas été un long fleuve tranquille pour 1MUF leur Ford GT40 avec notamment des petites sorties de route. Ils l’emportent finalement avec sept minutes d’avance sur leurs dauphins.
S’il n’y a pas eu de suspens pour le podium, il a fallu attendre la dernière spéciale de la dernière étape pour savoir qui accompagnerait la GT40 sur le podium. La veille de l’arrivée, le vainqueur des deux précédentes éditions Jean Pierre Lajournade se retire en raison de soucis mécaniques. Il était alors classé troisième avec sa Jaguar Type E. Lors de l’avant dernière spéciale disputée dans la nuit de samedi à dimanche, Ludovic Caron sort de la route et endommage sérieusement son AC Cobra. Cela met un terme à son Tour Auto 2017 alors qu’il était solidement installé à la seconde position. .
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La seconde marche revient finalement à Raphael Favaro et Lucien Charles Nicolet au volant de leur Type E. Ils ont toujours pointé dans les positions de tête tout au long du Tour Auto et la régularité paye. Le podium est complété par la GT40 de Olivier Ellerbrock et Olivier Louisoder. .
Pos
Pilote / Copilote
Nat
Voiture
Temps
Ecart
1
Andrew SMITH / James COTTINGHAM
GBR/GBR
Ford GT40
2h05m31s
–
2
Raphael FAVARO / Lucien Charles NICOLET
CHE/CHE
Jaguar Type E
2h12m25s
6m54s
3
Olivier ELLERBROCK / Olivier LOUISODER
DEU/DEU
Ford GT40
2h13m16s
7m45s
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Du coté des MGB, il y avait cinq voitures au départ mais le Tour Auto s’est monté impitoyable avec les roadster d’Abbingdon. Seulement une MGB franchi la ligne d’arrivée, il s’agit de celle de Jean-Luc Durand et Sylvain Proyart qui se classent 23ème. .
Le classement à l’indice de performance est une véritable course dans la course. Celui-ci est basé sur le classement scratch (compétition) auquel on ajoute un coefficient qui prend en compte l’âge de la voiture ainsi que la cylindrée de celle-ci.
Le Tour Auto 2017 revient à Jean-François Penillard et Caroline Verlaine au volant de leur Porsche 356. Ils devancent une auto française qui était à l’honneur lors de ce Tour Auto. Il s’agit de la DB HBR5 de la famille Laureau. Le podium est complété par une Alfa Romeo Giulia Sprint Veloce, une voiture toujours performante au classement à l’indice de performance. Jean-Yves Beaupigny et Jean-Louis Clastre se classent troisièmes.
Dans les catégories G, on a assisté à une véritable course d’élimination, les leaders connaissant chacun leurs tours des difficultés plus ou moins importantes. Dans le meilleur des cas elles leur ont couté beaucoup de temps, alors que d’autres ont été contraints à l’abandon. Au final sept voitures sont classées mais seulement cinq voitures auront disputé l’épreuve de bout en bout.
A l’arrivée à Biarritz, la catégorie est reportée par Daniel Viard et Didier Haquette sur leur Ford Mk1 RS 2000. Ils devancent la Renault 8 Gordini de Gérard Salat et Jean-Pierre Biggi. La troisième position sur le podium se jouera lors de l’ultime étape du Tour Auto puisque Jean-François Barre et Christophe de Bouet du Portal prennent finalement le meilleur sur la Mini de Christophe Thiboult et Guillaume Brajeux. .
Pos
Pilote / Copilote
Nat
Voiture
Temps
Ecart
1
Daniel VIARD / Didier HAQUETTE
FRA/FRA
Ford Escort Mk1 RS2000
2h28m32s
–
2
Gérard SALAT / Jean-Pierre BIGGI
FRA/FRA
Renault 8 Gordini
2h37m36s
9m04s
3
Jean-François BARRE / Christophe de BOUET DU PORTAL
La bataille pour la victoire finale aura tenue en haleine les spectateurs et les concurrents tant les écarts sont restés faibles jusqu’au départ de la dernière étape. Didier Sirgue et Jean Michel Carrière étaient régulièrement les plus rapides lors des épreuves spéciales. Mister John of B et Sibel étaient quant à eux intraitables lors des épreuves disputées sur circuit au volant de leur Ligier JS2.
La victoire finale revient finalement à l’équipage de la Ligier. La De Tomaso Pantera de Sirgue / Carrière à eu des difficultés lors de la derrière étape qui l’ont fait plonger au classement général. En seconde position on retrouve
Les américains Cooper Mac Neil / Gunnar Jeannette qui disputaient l’épreuve sur une Porsche disposant d’un impressionnant palmarès. En troisième position on retrouve une autre 911, celle de Jean-Maurice Rey et Sébastien Eberhard. .
Le classement de la régularité est apparu incertain jusqu’au bout tant les écarts entre les spécialistes de la discipline sont faibles. Les deux dernières spéciales disputées de nuit ont ajouté encore un peu à la difficulté de tenir la moyenne imposée lors des épreuves chronométrées. .
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Le résultat final est assez surprenant puisque grâce à une re-créditation de temps de 30 secondes l’équipage argentin Tomas Hinrichsen et Solange Mayo remportent l’épreuve. Ils s’étaient montrés relativement discrets tout au long de l’épreuve et prennent la tête lors de l’ultime étape. Seulement six secondes derrière les leaders ont retrouvé l’imposante Studebaker Coupé Champion de Jean-François et François Nicoules. Philippe Fichet et Gilles François profitent de la dernière journée pour se hisser sur la troisième marche du podium au volant de leur Lancia Fulvia Coupé 1600 HF. .
Le Tour Auto 2017 tire ainsi sa révérence au terme d’une semaine particulièrement animée et marquée par des conditions météorologiques changeantes. Rendez vous en avril 2018 pour une nouvelle édition du Tour Auto.
Le Tour Auto continue et les concurrents ont désormais dépassé le cap de la mi-course. Les hommes et les machines commencent à montrer les premiers signes de fatigue. Le soleil est de retour sur les routes du Tour Auto en ce mercredi pour le plus grand bonheur des concurrents, des assistances, mais également des spectateurs toujours nombreux en bord de route.
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Compétition
Les jours changent mais les performances restent. Andrew Smith et James Cottingham s’imposent de nouveau dans la première spéciale du jour. Ils devancent Ludovic Caron qui continue sa remontée avec son AC Cobra. Une autre Shelby complète le podium, celle de Frédéric Jousset et Paul Miliotis.
Le circuit du Val de Vienne laisse peu de place au suspens tant 1 MUF domine ses adversaire en terminant avec plus de 20 secondes d’avance. On retrouve de nouveau Ludovic Caron à la seconde place puis Olivier Ellerbrock et Olivier Louisodier également sur une Ford GT40. .
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Lors de la dernière spéciale du jour, le duo de tête ne change pas. La troisième position revient à Raphael Favaro et Lucien Charles Nicolet.
Le duo Smith / Cottingham continue de tenir un rythme d’enfer que personne ne semble pour le moment être capable de suivre. Ludovic Caron n’est pas loin du rythme des leaders mais légèrement en retrait et accuse un retard lié à un problème électrique le premier jour. Les écarts se creusent petit à petit au classement général. Jean-Pierre Lajournade sur sa Type E ne semble pas pour le moment pouvoir tenir le rythme des américaines.
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Pos
Pilote / Copilote
Nat
Voiture
Temps
Ecart
1
Andrew SMITH / James COTTINGHAM
GBR/GBR
Ford GT40
1h05m16s
–
2
Ludovic CARRON / Denis GIRAUDET
FRA/FRA
Shelby Cobra 289
1h08m39s
3m23s
3
Jean-Pierre LAJOURNADE / Frédéric BOUCHET
FRA/FRA
Jaguar Type E
1h08m52s
3m36s
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Périodes G1 et G2
Les GT40 sont très en verve sur ce Tour Auto comme en témoigne la victoire de Philippe Vandromme et Frédéric Vivier dans la spéciale du Val de Sèvres. Viennent ensuite les Porsche de Claudio Roddaro et Marco Antonacci puis l’Alfa Romeo 1750 GTAM des leaders Jorg et Louis Lemberg.
Sans surprise, la GT40 fait de nouveau parler la poudre sur le circuit du Val de Vienne, elle devance la famille Lemberg. Le podium est complété par la Ford Escort de Daniel Viard et Didier Haquette.
La dernière spéciale du jour voit la victoire de l’Alfa Romeo des Lamberg. Ils devancent la Renault 8 Gordini de Gérard Salat et Jean-Pierre Biggi. La Mini Cooper S de Christophe Thiboult et Guillaume Brajeux est de retour sur le podium.
Au terme de la troisième journée, le podium reste inchangé. Jorg Richard et Louis Lemberg confortent leur avance. Ils devancent la Ford Escort de Viard / Haquette et la Mini de Thiboult / Brajeux. Notons que seulement 8 voitures sont toujours en compétition dans cette catégorie.
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Pos
Pilote / Copilote
Nat
Voiture
Temps
Ecart
1
Jorg Richard LEMBERG / Louis LEMBERG
DEU/DEU
Alfa Romeo 1750 GTAM
1h13m16s
–
2
Daniel VIARD / Didier HAQUETTE
FRA/FRA
Ford Escort Mk1 RS2000
1h17m47s
4m31s
3
Christophe THIBOULT / Guillaume BRAJEUX
FRA/FRA
Morris Cooper S Mk2
1h23m03s
9m47s
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Périodes H1, H2 et I
Le duo Michel Lecourt / Raymond Narac continue de se montrer à son aise dans les épreuves spéciales en remportant la première épreuve du jour. Ils devancent les américains Cooper Mac Neil / Gunnar Jeannette également sur Porsche. En troisième position, on retrouve l’impressionnante De Tomaso Pantera de Didier Sirgue et Jean Michel Carrière. .
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La Ligier JS2 de Mr John of B et Sibel se montre une nouvelle fois intouchable sur circuit reléguant la concurrence à plus de 40 secondes. Les deuxièmes et troisièmes places sont occupées par les même protagonistes que lors de la spéciale précédente.
Mac Neil / Jeannette grimpent d’une place dans la hiérarchie et remportent leur première victoire dans le Tour Auto 2017 lors de la spéciale de Saint Martin de Jussac. Le podium est entièrement composé de Porsche 911 puisque celui-ci est complété par les équipages Jean-Maurice Rey / Sébastien Eberhard et Alain Gadal / François Laloge.
Comme dans les catégories G, le classement général reste inchangé. Les écarts entre John of B / Sibel, Sirgue / Carrière et Mac Neil / Jeannette sont très faibles et tout est encore possible pour ces trois équipages.
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Pos
Pilote / Copilote
Nat
Voiture
Temps
Ecart
1
Mister JOHN OF B. / SIBEL
FRA/FRA
Ligier JS 2 DFV
1h05m30s
–
2
Didier SIRGUE / Jean Michel CARRIERE
FRA/FRA
De Tomaso Pantera
1h07m22s
1m52s
3
Cooper MAC NEIL / Gunnar JEANNETTE
USA/USA
Porsche 911 RSR 3.0L
1h07m329s
2m02s
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Régularité
La première spéciale du jour est relativement courte (7,9 kilomètres), les écarts au terme de celle-ci sont donc très faibles. Les Bennet imposent leur Alfa Romeo TZ devant les leaders du classement général Éric Hamoniau et Arnaud Dernoncour. Le podium est complété par la Porche 911 Carrera RS 2.7L de la famille Ascencion.
Sur le circuit du Val de Vienne, les anciens vainqueurs du Tour Auto, Jean-François et François Nicoules se rappellent au bon souvenir de tous au volant de leur imposante Studebaker Coupé Champion. On retrouve ensuite la CG 1200 S de Jean Rigondet et Olivier Souillard puis Alejandro Oxenford et Jose Luis Celada sur Ferrari. Sur circuits les écarts sont tellement faibles que l’épreuve a très peu d’incidence au classement général.
Nouvelle spéciale, nouveau podium, l’épreuve est remportée par Jérôme Duprard et Emmanuel Sausserau. A la seconde place on retrouve de nouveau le duo Hamoniau / Dernoncour. La Lancia Fulvia Coupé 1600 HF de Philippe Fichet et Gilles François se hisse sur le podium.
Au terme de la troisième journée les leaders ne changent pas. Hamoniau / Dernoncour conseille la tête de l’épreuve, ils devancent désormais les Nicoules. Une Peugeot 204 Coupé fait son apparition sur le podium provisoire, il s’agit de la voiture de Gaëtan Demoulin et Mathieu Sentis.
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Pos
Pilote / Copilote
Nat
Voiture
Temps
Ecart
1
Éric HAMONIAU / Arnaud DERNONCOUR
FRA/FRA
Ferrari 250 GT Lusso
0m33s
–
2
Jean-François NICOULES / François NICOULES
FRA/FRA
Studebaker Coupé Champion
0m45s
0m12s
3
Gaëtan DEMOULIN / Mathieu SENTIS
FRA/FRA
Peugeot 204 Coupé
0m45s
0m12s
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Vous pouvez retrouver les classements détaillés de toutes les catégories (VHC, Indice de Performance, G1, G2, H1, H2, I et Régularité) ainsi que le classement en direct des étapes en cours en cliquant ici.
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Pour compléter ces classements, voici le résumé en vidéo de cette troisième étape du Tour Auto 2017 qui comportait une épreuve sur le circuit du Val de Vienne et deux épreuves routières :
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Les concurrents continuent de se rapprocher petit à petit du terme du Tour Auto 2017 qui sera jugé à Biarritz. Les voitures rejoindront vendredi soir la ville de Toulouse après avoir visité le circuit d’Albi et avoir disputé des spéciales sur routes fermées.
Après la longue première étape du Tour Auto 2017 et une courte nuit de sommeil, les concurrents prenaient mercredi matin la direction de Nantes. Au programme de la journée, aucun circuit mais trois épreuves spéciales disputées sur routes fermées. Cette journée marque également la fin du passage inédit du Tour Auto en Bretagne.
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Compétition
Pour cette première épreuve spéciale de la journée, les conditions sont particulièrement piégeuses avec un mélange de pluie/neige et des routes particulièrement boueuses. Malgré ces difficultés supplémentaires, les britanniques James Cottingham et Andrew Smith continuent leur récital au volant de leur GT40. Ils devancent de 10 secondes la Cobra de Ludovic Caron qui entame sa remontée au classement général. La troisième marche du podium est occupée par la Jaguar Type E des suisses Raphael Favaro et Lucien Charles Nicolet.
Dans la deuxième spéciale du jour baptisée Les Roches du Diable, Ludovic Caron met un terme aux victoires de Smith / Cottingham en remportant l’épreuve. La célèbre GT40 1MUF se classe tout de même seconde. Comme lors de la spéciale précédente, Favaro / Nicolet prennent de nouveau la 3ème position. .
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Lors de la dernière spéciale du jour, Smith / Cottingham reprennent leur bien en remportant une nouvelle victoire sur le Tour Auto 2017. Le podium est complété par deux AC Cobra, tout d’abord celle de Ludovic Caron et celles des français Frédéric Jousset et Paul Miliotis.
Au terme de cette seconde journée, la GT 40 de Smith / Cottingham occupe naturellement la première place après avoir effectué un quasi sans faute lors des épreuves disputées. On retrouve à la seconde place les vainqueurs des deux dernières éditions à savoir Jean-Pierre Lajournade et Christophe Bouchet sur Jaguar Type E. Un autre roadster de Coventry totalise exactement le même temps et complète le podium, celui de Favard / Nicolet. Ludovic Caron a effectué une belle remontée au classement général et se classe désormais 4ème il est aux portes du podium et également encore en lice pour la victoire finale.
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Pos
Pilote / Copilote
Nat
Voiture
Temps
Ecart
1
Andrew SMITH / James COTTINGHAM
GBR/GBR
Ford GT40
41m14s
–
2
Jean-Pierre LAJOURNADE / Frédéric BOUCHET
FRA/FRA
Jaguar Type E
43m31s
2m17s
3
Raphael FAVARO / Lucien Charles NICOLET
CHE/CHE
Jaguar Type E
43m31s
2m17s
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Périodes G1 et G2
Comme lors de la première journée, c’est le duo Claudio Roddaro et Marco Antonacci qui s’impose sur Porsche 911 dans la première spéciale du jour. Ils devancent l’Alfa Romeo 1750 GTAM de Jorg Richard et Louis Lemberg toujours régulièrement aux avants postes. A la troisième place, une petite Mini pointe le bout de son capot, il s’agit de celle de Christophe Thiboult et Guillaume Brajeux. Notons que Philippe Vandromme et Frédéric Vivier en tête du classement provisoire ont eu des soucis dans cette spéciale, tout comme l’Alpine de Richard Doux et Sylvain Guy alors seconds. .
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Pour la deuxième spéciale du jour, le duo de tête est inchangé, neuf secondes séparant la Porsche de l’Alfa Romeo. La Ford GT40 de Vandromme / Vivier figure de nouveau aux avants postes et s’adjuge la troisième position de cette spéciale.
Lors de la dernière épreuve chronométrée du jour, on retrouve exactement le même podium que lors de la précédente. Roddaro / Antonacci devancent l’Alfa Romeo de la famille Lemberg de douze secondes. La GT40 de Vandromme / Vivier bouclant la spéciale en dix secondes supplémentaires.
Au terme de cette deuxième journée le classement provisoire apparait grandement modifié car les principaux protagonistes de la catégorie ont connu des fortunes diverses. La régularité des Lemberg paye et leur Alfa Romeo 1750 GTAM prend la tête. Ils devancent Daniel Viard et Didier Haquette sur Ford Escort et Thiboult / Brajeux au volant de leur Mini Cooper S.
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Pos
Pilote / Copilote
Nat
Voiture
Temps
Ecart
1
Jorg Richard LEMBERG / Louis LEMBERG
DEU/DEU
Alfa Romeo 1750 GTAM
46m18s
–
2
Daniel VIARD / Didier HAQUETTE
FRA/FRA
Ford Escort Mk1 RS2000
49m00s
2m42s
3
Christophe THIBOULT / Guillaume BRAJEUX
FRA/FRA
Morris Cooper S Mk2
52m08s
5m50s
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Périodes H1, H2 et I
Mr John of B et Sibel continuent sur leur bonne tendance de la veille en s’imposant d’entrée. La Ligier JS2 DFV n’est pas la voiture la plus adaptée aux spéciales routières mais ils s’imposent néanmoins. On retrouve ensuite la De Tomaso Pantera de Didier Sirgue et Jean Michel Carrière puis la Porsche 911 RSR 3.0L d’Alain Gadal et François Laloge.
La spéciale de La Roche du Diable est moins bénéfique à John of B / Sibel puisqu’ils se classent 5ème. L’épreuve est remportée par la De Tomaso Pantera de Sirgue / Carrière. Ils terminent ex-aequo avec l’équipage composé de Michel Lecourt et Raymond Narac sur une Porsche 911 RSR. Le duo Gadal / Laloge prend gout au podium et termine à nouveau en troisième position.
Les Porsche dominent de nouveau le classement lors de cette dernière épreuve chronométrée. Lecourt / Narac s’imposent devant l’équipage suisse composé de Jean-Maurice Rey et Sébastien Eberhard. Le podium est complété par l’inévitable Ligier JS2 de John of B / Sibel. .
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En toute logique c’est le même équipage qui conserve la tête du classement provisoire après une journée réussie. La seconde place est toujours entre les mains de Sirgue / Carrière qui se sont montrés réguliers aujourd’hui avec leur De Tomaso Pantera. La troisième position revient aux américains Cooper Mac Neil et Gunnar Jeannette sur leur belle Porsche 911 RSR 3.0L.
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Pos
Pilote / Copilote
Nat
Voiture
Temps
Ecart
1
Mister JOHN OF B. / SIBEL
FRA/FRA
Ligier JS 2 DFV
40m53s
–
2
Didier SIRGUE / Jean Michel CARRIERE
FRA/FRA
De Tomaso Pantera
42m05s
1m12s
3
Cooper MAC NEIL / Gunnar JEANNETTE
USA/USA
Porsche 911 RSR 3.0L
42m49s
1m56s
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Régularité
Dans la catégorie régularité, la lutte entre les prétendants au podium final se joue à coups de secondes. Jérôme Dupard et Emmanuel Saussereau imposent leur Ford Escort Mexico. Ils sont ex aequo avec l’Alfa Romeo 1750 GTV de Jean-Louis Hervieu et Pierre Huchard. Sur la troisième marche du podium, on retrouve la Ferrari 250 GT Berlinetta des argentins Martin H. et Francisco Sucari.
La régularité est décidément une affaire de sud-américains puisque Alejandro Oxenford et Jose Luis Celada s’imposent avec leur Ferrari 275 GTB2. Ils devancent la Peugeot 204 Coupé de Gaëtan Demoulin et Mathieu Sentis. C’est donc le grand écart entre la voiture classée première et la seconde. Le podium est complété par la Jaguar MkII d’Alexandre Axarlis et David Ittah.
Les femmes étaient à l’honneur lors de la dernière spéciale du jour puisque deux équipages 100% féminins prennent place sur le podium. Joelle Housseau et Corinne Piccinin Mommey s’imposent avec leur Ferrari Dino 246 GT. François Benais et Laurent Carpentier prennent la seconde place au volant de leur originale Berlinette BSH. Une autre française complète le podium, il s’agit de l’Alpine A110 1600 SC de Isabelle Marquis et Valérie Carnet.
Les écarts en régularité sont tellement faibles que ce ne sont pas nécessairement les personnes qui figurent dans le Top3 des différentes spéciales qui performent le mieux au classement général. Comme le nom de la catégorie l’indique, il faut avant tout être régulier d’une spéciale à l’autre. Au soir de la deuxième étape c’est un triplé Ferrari. Éric Hamoniau et Arnaud Dernoncour prennent la tête avec leur 250 GT Lusso, ils devancent les Sucari sur une 250 GT Berlinetta/ Le podium est complété par Oxenford / Celada sur leur 275 GTB2.
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Pos
Pilote / Copilote
Nat
Voiture
Temps
Ecart
1
Éric HAMONIAU / Arnaud DERNONCOUR
FRA/FRA
Ferrari 250 GT Lusso
0m26s
–
2
Martin H. SUCARI / Francisco SUCARI
ARG/ARG
Ferrari 250 GT Berlinetta
0m29s
0m03s
3
Alejandro OXENFORD / Jose Luis CELADA
ARG/ARG
Ferrari 275 GTB2
0m32s
0m06s
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Vous pouvez retrouver les classements détaillés de toutes les catégories (VHC, Indice de Performance, G1, G2, H1, H2, I et Régularité) ainsi que le classement en direct des étapes en cours en cliquant ici.
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Pour compléter ces classements, voici le résumé en vidéo de cette deuxième étape du Tour Auto 2017 qui a mené les concurrents de Saint-Malo aux environs de Nantes :
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Demain la caravane du Tour Auto met le cap au Sud pour la troisième étape qui se terminera à Limoges. Avant de rejoindre le Limousin, les concurrents auront disputé deux épreuves spéciales sur routes fermées et une compétition sur le circuit du Val de Vienne au Vigeant.
Longue de plus de 450 kilomètres, la première étape emmenait les concurrents du Tour Auto 2017 depuis le Grand Palais jusqu’au port de Saint-Malo. Les épreuves chronométrées se sont toutes déroulées dans la Sarthe avec tout d’abord une épreuve spéciale sur routes fermées avant une autre disputée sur le circuit Bugatti au Mans. Les concurrents ont ensuite parcouru une longue étape de liaison pour rejoindre la Bretagne.
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Compétition
Dès la première spéciale, le duo britannique James Cottingham / Andrew Smith a donné le ton en imposant leur Ford GT40. La puissante américaine n’est pourtant pas particulièrement à l’aise sur les petites routes françaises, mais sa puissance à fait la différence. A la seconde place on retrouve un pilote bien connu du Tour Auto, Ludovic Caron sur son AC Cobra. En troisième position, Bernard et Anne Penlae réalisent une très belle performance au volant de leur Porsche 911 2 litres.
En retrouvant le circuit qui a fait sa légende, la Ford GT40 était beaucoup plus à son aise et réalise un doublé puisque Smith / Cottingham s’imposent devant les deux Olivier Ellerbrock et Louisoder. Le podium est complété par un autre V8 américain avec l’AC Cobra de Frédéric Jousset et Paul Miliotis. Signalons que Ludovic Caron a eu des soucis électriques lors de l’épreuve du Mans qui lui ont fait perdre plus de deux minutes. .
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Logiquement Cottingham et Smith sont en tête à l’issue de la première journée de l’édition 2017 du Tour Auto. Ils devancent l’AC Cobra de Jousset / Miliotis et la GT40 de Ellerbrock / Louisoder. C’est donc un podium exclusivement composé de V8 américain qui se dessine au soir de l’arrivée à Saint-Malo. Jean-Pierre Lajournade, le vainqueur des deux précédentes éditions place sa Jaguar Type E au pied du podium après avoir été régulièrement aux avant-postes toute la journée. .
Pos
Pilote / Copilote
Nat
Voiture
Temps
Ecart
1
Andrew SMITH / James COTTINGHAM
GBR/GBR
Ford GT40
20m26s
–
2
Frédéric JOUSSET / Paul MILIOTIS
FRA/FRA
Shelby Cobra 289
21m27s
1m01s
3
Olivier ELLERBROCK / Olivier LOUISODER
DEU/DEU
Ford GT40
21m32s
1m06s
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Périodes G1 et G2
Lors de la première spéciale du jour, c’est un pilote Porsche bien connu qui s’impose, Claudio Roddaro et Marco Antonacci placent leur 911 devant l’Alpine A110 de Richard Doux et Sylvain Guy. Ce podium hétéroclite est complété par Daniel Viard et Didier Haquette sur Ford Escort. .
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Comme dans le plateau compétition, le circuit Bugatti réussit à une GT40 puisque Philippe Vandromme et Frédéric Vivier s’imposent. Daux / Huy se classent de nouveau second en devançant l’Alfa Romeo 1750 GTAM de Jorg Richard et Louis Lemberg.
Au terme de cette première journée on retrouve sur le podium provisoire les mêmes pilotes et voitures que lors de l’épreuve du circuit Bugatti. .
Pos
Pilote / Copilote
Nat
Voiture
Temps
Ecart
1
Philippe VANDROMME / Frédéric VIVIER
FRA/FRA
Ford GT40
22m07s
–
2
Richard DOUX / Sylvain GUY
FRA/FRA
Alpine A110 1800
22m25s
0m18s
3
Jorg Richard LEMBERG / Louis LEMBERG
DEU/DEU
Alfa Romeo 1750 GTAM
23m46s
1m39s
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Périodes H1, H2 et I
La aussi la première épreuve voit une Porsche s’imposer, il s’agit de la 911 RSR 2,8L de Raymond Narac et Michel Lecourt. On retrouve ensuite la De Tomaso Pantera de Didier Sirgue et Jean Michel Carrière. Le podium constitué d’habitués du Tour Auto est complété par Mr John of B et Sibel sur leur toujours impressionnante Ligier JS2 DFV.
L’épreuve mancelle verra la Porsche ayant remporté la spéciale précédente plonger dans le classement. Très à l’aise sur les circuits, la Ligier JS2 de John of B / Sibel s’impose avec quasiment une minute d’avance sur ses plus proches rivaux. On retrouve ensuite Christophe Grenier et Guillaume Puget sur leur Ferrari 308 GTB Gr.IV. Le podium manceau est complété par la Porsche 911 RSR 3.0L des américains Cooper Mac Neil et Gunnar Jeannette.
Au soir de la première journée on retrouve logiquement John of B / Sibel à la première place du classement général provisoire. Ils devancent Sirgue / Carriere au volant de leur De Tomaso Pantera. Grace à leur performance sur le circuit Bugatti Grenier / Puget hissent leur Ferrari sur la troisième marche du podium provisoire. .
Pos
Pilote / Copilote
Nat
Voiture
Temps
Ecart
1
John of B. / SIBEL
FRA/FRA
Ligier JS 2 DFV
20m10s
–
2
Didier SIRGUE / Jean Michel CARRIERE
FRA/FRA
De Tomaso Pantera
21m07s
0m57s
3
Christophe GRENIER / Guillaume PUGET
FRA/FRA
Ferrari 308 GTB GrIV
21m23s
1m13s
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Régularité
Dans la catégorie régularité, la première épreuve est remportée par un équipage ayant déjà remporté deux fois le Tour Auto. Il s’agit de la Ferrari 250 GT Berlinetta des argentins Martin H. et Francisco Sucari. Ils devancent la Peugeot 504 engagée par le constructeur de Sochaux et confiée aux mains du journaliste Etienne Bruet et de Laurent Picard. Jérôme Dupard et Emmanuel Saussereau se classent troisièmes au volant de leur Ford Escort Mexico. Comme souvent en régularité, les écarts sont très faibles.
C’est un nouvel équipage argentin composé de Tomas Hinrichsen et Solange Mayo qui l’emporte au volant de leur Maserati 200 SI. Ils devancent les spécialistes de la régularité Georges Henri Meylan et Julien Stervinou sur Alpine A110 1800 GrIV. Le podium est complété par d’autres habitués, à savoir John A. et Dorine Mollenkamp sur Lotus Elan. Sur circuit les écarts sont plus faibles encore que lors des épreuves spéciales.
Le classement général est dominé par un équipage n’ayant pas figuré dans le top 3 des deux épreuves de la journée. Il s’agit de Claudio et Arturo Scalisse sur Porsche 911 RS 2.7L. On retrouve ensuite respectivement les équipages Dupard / Saussereau et Meylan / Stervinou. .
Pos
Pilote / Copilote
Nat
Voiture
Temps
Ecart
1
Claudio SCALISSE / Arturo SCALISSE
ARG/ITA
Porsche 911 RS 2.7L
0m06s
–
2
Jérôme DUPARD / Emmanuel SAUSSEREAU
FRA/FRA
Ford Escort Mexico
0m06s
–
3
Georges Henri MEYLAN / Julien STERVINOU
CHE/FRA
Alpine Renault A110 1800 GrIV
0m07s
0m01s
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Vous pouvez retrouver les classements détaillés de toutes les catégories (VHC, Indice de Performance, G1, G2, H1, H2, I et Régularité) ainsi que le classement en direct des étapes en cours en cliquant ici.
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Pour compléter ces classements, voici le résumé en vidéo de cette première étape du Tour Auto 2017 disputée entre Paris et Saint-Malo : .
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La deuxième étape du Tour Auto disputée mercredi 26 avril emmènera les concurrents du Tour Auto depuis Saint-Malo jusqu’à Nantes. Aucun circuit n’est au programme mais trois épreuves spéciales seront disputées sur les petites routes de Bretagne.