Archives du Tag Cobra

Nid de Cobra chez RM Sotheby’s

Le catalogue ou plutôt les catalogues, la vente RM Sotheby’s de Monterey se déroulant sur deux jours sont tellement vastes et riches que de nombreux modèles mériteraient d’être détaillés en profondeur.

Intéressons-nous aujourd’hui aux Cobra de la vente puisque pas moins de cinq d’entre elles seront proposées aux enchères. Elles ont toutes une histoire remarquable ce qui en fait des pièces particulièrement recherchées que les collectionneurs devraient sans nul doute s’arracher.

Inutile de remémorer l’histoire connue de tous de Carroll Shelby, fermier texan ayant convaincu Ford de lui fournir des puissants V8 afin de les installer dans de robustes châssis d’origine Européenne (AC). De cet épisode américano européen reste l’épineux dilemme du nom des voitures, certains les appellent AC Cobra, là où les américains toujours très patriotes préfèrent y voir des Shelby Cobra.

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Shelby Cobra CSX2000 de 1962
Le seul numéro de châssis permet aux amateurs des productions de Shelby d’identifier celle-ci comme étant la mère de toutes les Cobra. Il s’agit donc de la première Cobra assemblée dans les ateliers de Carroll Shelby.

L’occasion de rappeler que les premières Cobra n’étaient pas proposées avec le V8 Ford de 289 cubic inches de cylindrée mais dans une version 260 légèrement plus petite issue des Ford Falcon. Le 289 provenant notamment de a Ford Mustang n’a été proposé que quelques mois après le lancement de la Cobra et de nombreuses voitures produites sont alors repassées par les ateliers de Carroll Shelby pour échanger leur V8 260 par un 289.
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CSX 2000 a bien évidement conservé son V8 260 et cette voiture est un jalon incontournable dans l’histoire de Shelby. C’est en effet la construction du prototype qui a permis d’achever de convaincre les décideurs de la Ford Motor Company de suivre Carroll Shelby dans son projet. Elle a bien évidement été assemblée dans les premiers ateliers historiques de Shelby qui ont par la suite été déplacés suite au succès commercial de la Cobra. CSX 2000 est également naturellement la voiture qui a été confiée aux journalistes pour les essais du véhicule.

La voiture non restaurée se présente donc dans un état d’origine ce qui devrait encore un peu faire grimper sa cote, à tel point que RM Sotheby’s estime modestement cette voiture comme inestimable (Priceless).

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Shelby Cobra CSX2326 de 1964
Il s’agit de la première des deux Cobra issues de la collection de Jim Click proposées lors de cette vente aux enchères. Si cette voiture n’a pas eu de propriétaire connu et ne dispose pas d’un palmarès étoffé en compétition, elle dispose toutefois d’un historique limpide depuis sa sortie des ateliers de Carroll Shelby. CSX2326 est estimée entre 1 et 1,4 millions de dollars.

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Shelby Cobra CSX2473 de 1964
C’est l’une des Cobra les plus victorieuses en compétition, celle-ci a notamment remporté de nombreuses courses aux Etats-Unis en SCCA et le titre en catégorie B. A noter que cette voiture n’a jamais abandonné dans les compétitions auxquelles elle a participé, ce qui est très rare pour une voiture de course. Forte de ce palmarès, CSX2473 est une candidate naturelle pour la Rolex Monterey Motorsport Réunion ou bien encore au Goodwood Revival. La Cobra est estimée entre 2,2 et 2,6 millions de dollars.
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Cobra Jim Click

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Shelby Cobra CSX3178 de 1965
La Cobra la plus moderne de cette sélection et qui plus est équipée d’une boite automatique. En quoi cette Cobra est-elle donc exceptionnelle ? Pour deux raisons, car elle est dotée de la démoniaque version 427 du V8 Ford, à savoir celle de plus de 7 litres de cylindrées et CSX3178 a été la voiture personnelle de Carroll Shelby himself. C’est pour cette raison que le Texan a fait doter la voiture d’une boite automatique afin de l’utiliser au quotidien. La voiture est proposée sans prix de réserve et est estimée entre 1,5 et 2 millions de dollars.
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CSX3178

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La vente RM Sotheby’s sera donc un rêve pour les amateurs de Cobra, à condition que leur portefeuille soit bien garni. Le catalogue ne se limite pas pour autant aux Cobra, nous reviendrons prochainement sur d’autres modèles exceptionnels.
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Retrouvez ici l’intégralité du catalogue de la vente RM Sotheby’s de Monterey

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Quail Lodge Auction 2016 by Bonhams

Comme nous vous l’annoncions lors de la présentation de la Monterey Car Week, les ventes aux enchères sont un élément incontournable. Intéressons-nous aujourd’hui à la vente organisée par Bonhams baptisée Quail Lodge Auction qui se tiendra à partir du 19 aout prochain.

L’épaisseur du catalogue avec plus de 300 pages donne une idée du nombre de lots qui seront vendus aux enchères. Cette vente ne se résume pas seulement en terme de quantité mais également de qualité puisque les voitures d’exception se succèdent au fur et à mesure que l’on feuillette les pages du catalogue. Mention spéciale également pour les jolies photos en décors naturels qui accompagnent la plupart des voitures proposées lors de la vente Quail Lodge Auction by Bonhams.

Parmi les 115 lots qui seront dispersés sous le marteau, en voici trois qui ont tout particulièrement retenu notre attention.

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Bugatti Grand Prix Type 51 de 1931
Annoncée comme la star de la vente, cette Bugatti 51 a notamment été pilotée en son temps par Piero Taruffi ou encore Tazio Nuvolari. Celle-ci a notamment participé quatre fois au Grand Prix de Monaco, de quoi quasiment garantir une entrée au grand Prix de Monaco Historique pour son futur acquéreur. L’historique de la voiture est connu depuis sa sortie des usines de Molsheim et la voiture appartient au même propriétaire depuis plus de 30 ans. Aucune estimation concernant cette Bugatti n’a été communiquée mais elle a toutes les qualités pour atteindre des sommets.
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Bugatti Quail Lodge

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Cheetah GT Coupe de 1964
La Cheetah est relativement méconnue en Europe, elle est pourtant considérée comme une tentative de réponse de General Motors à l’insolent succès des Shelby Cobra. La recette est la même, un puissant moteur américain (celui des Corvette) monté dans une caisse légère afin d’offrir le plus de performance possible. La voiture proposée à la vente est une véritable Cheetah et non une réplique, elle a été entièrement restaurée et bénéficie d’un passeport FIA. La voiture est estimée entre 300 000 $ et 500 000 $.
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Cheetah Quail Lodge

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Jaguar XK120 roadster aluminum de 1949
Les premières Jaguar XK120 bénéficiaient d’une carrosserie en aluminium, face au succès du roadster britannique, la production de masse s’est faite avec des carrosseries en tôle. Les premières versions en aluminium sont donc naturellement les plus recherchées ce qui se ressent dans l’estimation de la voiture entre 380 000 $ et 480 000 $.

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Toujours du côté des productions de Coventry, Bonhams proposera lors de la vente aux enchères une grande variété de Jaguar Type E :

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Outre ces différents coups de cœur, notons la présence de deux françaises que l’on n’attendait pas spécialement dans un catalogue de Pebble Beach. Il ne s’agit pas d’une Bugatti ou d’une Delahaye mais plus modestement d’une Renault et d’une Peugeot. A savoir une Renault 5 Turbo 2 et une originale Peugeot 205 Turbo 16, si ces deux Young Timer peinent encore quelque peu à trouver leur place et leur cote en France, elles sont plébiscitées outre atlantique.

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Retrouvez ici l’intégralité du catalogue de la vente Quail Lodge Auction by Bonhams.

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Le Mans Classic 2016 : toutes nos photos

Voici toutes nos photos de l’édition 2016 du Mans Classic que ce soit sur ou en dehors de la piste :
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Le Mans Classic 2016 :
Plateau 1
Le Mans Classic 2016 :
Plateau 2
Le Mans Classic 2016 :
Plateau 3
Le Mans Classic 2016 :
Plateau 4
Le Mans Classic 2016 :

Jaguar Classic Challenge

Le Mans Classic 2016 :
Group C Racing
Le Mans Classic 2016 : Ambiance

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Retour en images sur Le Mans Classic 2016 (2ème partie)

Nous continuons notre périple au Mans Classic avec deux nouveaux plateaux et le Group C Racing. Comme nous vous le mentionnions lors de notre première partie du retour en image sur l’édition 2016 du Mans Classic, il est impossible de tout voir et nous avons quelque peu sacrifié les plateaux 5 et 6 en piste pour nous consacrer aux paddocks et aux expositions. Nous espérons que les amateurs de ces plateaux les plus modernes ne nous tiendront pas rigueur de ce choix.

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Plateau 3 (1957-1961)

Au fur et à mesure des plateaux, les voitures vont de plus en plus vite car elles sont de plus en plus puissantes et surtout leurs freins comme leurs suspensions se sont améliorées au grès des évolutions techniques. Le plateau 3 offre une belle variété mais là aussi, du fait de la configuration du circuit, les voitures s’écartent rapidement et il y a peu de batailles. Nous tirons notre coup de chapeau au pilote de l’Aston Martin DB4 qui est parvenu a tenir tête à des barquettes davantage destinées à la compétition.
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Retrouvez ici toutes les photos du Plateau 3 :

Le Mans Classic 2016 :
Plateau 3

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Plateau 4 (1962-1965)
Sans conteste, notre plateau préféré et pas seulement parce que celui-ci abrite quelques MG B (3 cette année). Le plateau 4 renvoi aux grandes heures de l’endurance et la fameuse bataille entre Ford et Ferrari. Sur la piste celle-ci n’a pas réellement lieu puisque les Ford archi dominent que ce soit par le biais des GT40 ou bien encore des Cobra. Derrière cet essaim de V8, on retrouve quelques anglaises parmi lesquelles les Jaguar Type E, Lotus Elan et un peu plus loin les MG B. Dans ce plateau 4, toutes les courses ont été particulièrement disputées avec une pointe de drame, la Ford GT40 en tête à l’entame de l’avant dernier tour devant ralentir pour cause de crevaison.
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Retrouvez ici toutes les photos du Plateau 4

Le Mans Classic 2016 :
Plateau 4

 

 

Une pointe de modernité avec le Group C
Invité cette année en lever de rideaux du Mans Classic, les voitures du Groupe C Racing peuvent quasiment être considérées comme un septième plateau. De manière chronologique, le Group C correspondant exactement à la suite du plateau 6. La course a été marquée par de nombreux abandons et c’est finalement une Spice qui s’impose.
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Retrouvez ici toutes les photos du Group C Racing

Le Mans Classic 2016 :
Group C Racing

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Voilà qui clôture notre visite imagée du Mans Classic 2016, nous espérons que celle-ci aura fini de convaincre les sceptiques que c’est une épreuve exceptionnelle et que celle-ci se déroule en France. La prochaine édition se tiendra en 2018 et nous espérons bien y être comme pilotes et non comme simples spectateurs … rendez-vous dans deux ans.
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Grand Prix de l’Age d’Or 2016

Dernier volet de notre triptyque consacré aux manifestations automobiles de ce weekend, après avoir évoqué le Classic Heritage et Sport et Collection, il est désormais temps de nous intéresser à l’édition 2016 du Grand Prix de l’Age d’Or.

Parmi les trois événements, c’est le plus ancien puisque la première édition du Grand Prix de l’Age d’Or s’est déroulée en 1964. Après de nombreuses pérégrinations, changements de circuits et d’organisateurs, le Grand Prix de l’Age d’Or semble avoir trouvé son rythme de croisière sur le circuit de Dijon-Prenois sous la houlette de Peter Auto.
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Le Grand-Prix de l’Age d’Or met toujours à l’honneur les clubs automobiles avec un espace qui leur est réservé au centre du circuit. Etant donné les intempéries de ces derniers jours, l’espace club sera certainement plus adapté aux 4×4 et aux bottes en caoutchouc qu’aux coupés sportifs et autres cabriolets.

Sur le circuit de Dijon-Prenois on retrouvera les habituels plateaux présents sur tous les meetings organisés par Peter Auto :

  • Sixties’ Endurance : Notre plateau coup de cœur, celui-ci retrace les grandes heures des courses d’Endurance du début des années 60 et affiche très souvent complet. Les GT doivent être d’avant 1966 et Sport biplaces d’avant 1963, on y retrouve notamment plusieurs MG B. Ce plateau qui compte désormais plusieurs années d’existence est toujours très disputé et particulièrement spectaculaire.
  • Heritage Touring Cup : Ce plateau prend de l’ampleur d’années en années et regroupe les voitures de tourisme qui ont fait les grandes heures du Championnat d’Europe de Tourisme entre 1966 et 1984. Les voitures les plus récentes ne sont pas nécessairement les plus rapides du fait des diverses réglementations.
  • Trofeo Nastro Rosso : Ce plateau est réservé aux GT italiennes pré 1966 et regroupe une majorité de Maserati et de Ferrari. Les voitures sont divisées en deux classes suivant qu’elles sont dotées de frein à disques ou de frein à tambours.
  • Classic Endurance Racing : Ce plateau regroupe les prototypes et les GT qui ont fait les grandes heures de l’endurance. Il se scinde en deux catégories : Classic Endurance Racing 1 (Proto 1 de 1966 à 1971 et GT 1 de 1966 à 1974) et de la Classic Endurance Racing 2 (Proto 2 de 1972 à 1979 et GT 2 de 1975 à 1979).
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Ils seront rejoints par des plateaux que l’on retrouve régulièrement dans les meetings Peter Auto :

  • Touring Car U2TC : Une série bien connue de nos amis britanniques qui regroupe des voitures de tourisme d’avant 1966 et équipées d’un moteur de moins de deux litres de cylindrée. On y retrouve notamment des Alfa Romeo, des BMW, des Cortina sans oublier les Mini.
  • Group C Racing : Désormais intégré de manière régulière aux meetings Peter Auto, ce plateau regroupe les Sport Prototypes de 1982 à 1993. On y retrouvera notamment les Sauber Mercedes et de nombreuses Porsche 962.
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Les monoplaces seront quand à elles représentées par deux séries :

  • FJHRA/HSCC « Silverline » Front Engined Championship : Ce trophée britannique réunit exclusivement des Formules Junior dotées d’un moteur avant. Les Formule Junior semblent apprécier le territoire français puisque le Trophée Lurani lui aussi dédié à ces voitures a récemment fait étape à Monaco et à Pau.
  • Trophée Légende : C plateau dédié aux voitures de sport des années 30 mettra bien videment à l’honneur les Bugatti, reine incontestées de l’époque. On y retrouvera égalent des Delage, ERA, Maserati et Alfa Romeo, sans oublier les BMW 328 aussi belles qu’efficaces.

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Retrouvez ici les horaires complets de l’édition 2016 du Grand Prix de l’Age d’Or

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Pluie Dijon 2015.

Espérons que la météo sera clémente et laissera quelques périodes d’acalmies au pilotes et aux spectateurs. Si les batiments des stands de Dijon et une partie de la piste on été refaits, le circuit de Dijon-Prenois a toujours eu du mal a évacuer l’eau en cas de fortes précipitations. La hiérarchire des différents plateaux pourrait se voir modifiée par les conditions météorologiques, les autos les plus puissantes n’étant pas nécessairement avantagées.

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GT40, Cobra, Mustang GT350 ou Trans Am, faites votre choix

La Monterey Car Week qui se déroule chaque année en Californie durant la deuxième quinzaine du mois d’Aout est un des événements forts de l’année pour les passionnés fortunés. Outre le fameux concours d’élégance de Pebble Beach et les compétitions sur le circuit de Laguna Seca, les ventes aux enchères sont un incontournable de la semaine. Les maisons de ventes aux enchères anglo-saxonnes se livrent chaque année une bataille féroce pour proposer les voitures les plus rares et les plus chères.

RM Sotheby’s dégainent les premiers et annoncent la mise aux enchères d’une exceptionnelle collection de voitures badgées Ford Performance. Les 19 et 20 août prochains à Monterrey, six voitures issues de la collection de Jim Click seront dispersées aux enchères : Ford GT40, Shelby Cobra en deux exemplaires, Shelby GT 350 et Ford Mustang Boss 302 Trans Am également en deux exemplaires.
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Collection Ford

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La collection de Jim Click couvre donc les principaux véhicules de compétition de la marque à l’ovale bleu des années 60. La vente aux enchères de l’un d’entre eux serait déjà un événement en soit, mais la vente conjointe des six voitures est simplement exceptionnelle. Les enchérisseurs se voient en quelque sorte offrir la possibilité d’acheter la Ford Performance de leur choix, comme s’ils poussaient la porte d’une concession Ford au milieu des années 60.

Petite revue de détail des voitures proposées aux enchères :

  • Shelby Cobra CSX2473 de 1964, l’une des Cobra les plus victorieuses en compétition, celle-ci à notamment remporté de nombreuses courses aux Etats-Unis en SCCA et le titre en catégorie B. A noter que cette voiture n’a jamais abandonné dans les compétitions auxquelles elle a participé, ce qui est très rare pour une voiture de course. La Cobra est estimée entre 2,2 et 2,6 millions de dollars.

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Cobra Jim Click

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  • Shelby Cobra CSX2326 de 1964, moins victorieuse que la Cobra précédemment citée, celle-ci dispose toutefois d’un historique limpide et devrait ravir son futur propriétaire. CSX2326 est estimée entre 1 et 1,4 millions de dollars.
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  • Ford GT40 MkI P/1061 de 1966, l’une des 31 GT40 MkI produites par Ford ce qui prouve si besoin en était la rareté de la voiture. Souvent copiées, les Ford GT40 originelles sont très prisées d’où l’estimation entre 3,75 et 4,35 millions de dollars. Cette voiture a notamment participé à la promotion de Ford Performance à la fin des années 60.

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GT40 Jim Click

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  • Shelby GT350 de 1966, une autre Ford préparée par le sorcier Caroll Shelby. Cette voiture a participé au championnat SCCA où elle a remporté plusieurs victoires et notamment sa division en 1970. La voiture est estimée entre 350 et 450 000 dollars, un prix qui sera certainement plus facilement atteint aux Etats-Unis où les amateurs du modèle sont nombreux.
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  • Ford Mustang Boss 302 Trans Am, ces voitures de courses méconnues en Europe sont très prisées outre atlantique d’où l’estimation de chacune des voitures entre 1 et 1.3 million de dollars. Les voitures ont été pilotées par les plus grands pilotes de leur époque parmi lesquels A.J. Foyt.

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Rendez vous donc en Californie les 19 et 20 août prochain pour savoir quels seront les sommets atteints par ces voitures particulièrement désirables sous le marteau de RM Sotheby’s.
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Pour plus de renseignements : www.rmsothebys.com

Les aventures de Morrissette au Val de Vienne

Après un hiver plutôt compliqué, Morrissette était de retour en piste sur le circuit du Val de Vienne. Le moteur avait été terminé juste à temps, quelques jours (voire quelques heures) avant le début de l’épreuve. Dans ces conditions, pas question d’aller chercher un chrono dès les séances d’essais libres du vendredi. Celles-ci sont mises à profit pour terminer le rodage du moteur et se familiariser avec le circuit très technique du Val de Vienne.
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En plus de cela-il faut également apprivoiser les nouveaux pneus dont est chaussée la MG B, avec la création de l’ASAVE Racing 65, Morrissette à délaissé ses Yokohama A048 pour des Avon CR6ZZ, évidement l’adhérence est moindre et les vitesses de passage s’en ressentent. Il y a également un peu plus de travail au volant et les roues arrières ont tendance à bloquer plus qu’auparavant. Les séances d’essais libres ne sont donc pas superflues pour appréhender tous ces nouveaux paramètres.

Lors des qualifications le samedi matin, nous sommes enfin autorisés à prendre 6 000 tours / minutes, le moteur pouvant desormais donner sa pleine mesure. Suite aux nombreux changements sur le moteur les réglages n’ont pas eu le temps d’être optimisés et on sent que la voiture à du mal à prendre pleinement ses tours ou bien encore à s’extraire des virages. Malgré tout, la MG B signe un honorable chrono en 2’’07, ce qui la place relativement loin des ténors du plateau que sont les AC Cobra, Jaguar Type E ou encore Lotus Elan. Morrissette est tout de même bien placée par rapport à ses congénères plus modestes et se qualifie en neuvième position.

L’après midi pour la première course, le ciel se montre menaçant dès la pré grille et il faudrait un miracle pour que la course se déroule intégralement sur le sec. Ce miracle n’interviendra pas et la pluie fera son apparition sur une partie du circuit dès le deuxième tour avant de se généraliser sur l’ensemble du tracé du Val de Vienne. C’est là aussi une première, puisque c’est la première fois que Claire teste la tenue de route des pneumatiques Avon sur piste mouillée.
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La voiture de sécurité neutralise la course pendant plusieurs tours, le temps de dégager une voiture victime d’une sortie de piste. Les conditions météorologiques n’allant pas en s’améliorant et les pneumatiques se montrant plus à même d’emmener la MG dans le rail que sur la piste, la course se transforme en mission survie. Le but est de soigner les trajectoires pour ramener la voiture et l’équipage à bon port au terme des 25 minutes de courses. Ce sera mission accomplie puisque Morrissette regagne l’arrivée à la 8ème position derrière une autre MG B en ayant scrupuleusement respecté la procédure de safety car.

Le dimanche les conditions météo sont toutes autres mais la course ne sera pas pour autant de tout repos, le programme du début d’après midi étant retardé de plus d’une heure. Les organisateurs doivent alors trouver des solutions pour faire rouler tout le monde. Les courses sont réduites de 25 à 18 minutes, les départs sont tous donnés lancés et le plateau ASAVE Racing 65 est regroupé avec les Saloon Cars et Challenge ASAVE GT Tourisme. Pour les non initiés, on mélange des choux et des carottes puisque le plateau va de la frêle MG A en pneumatiques d’époque jusqu’à la BMW des années 90 chaussée de pneumatiques slicks. Forcément les différences de performances sont énormes et il est difficile pour ne pas dire impossible de trouver des tours clairs.

La seconde course, se transforme donc en séance d’essais libres où l’on regarde plus dans les rétros que sur la route. Bien que la règle veuille que ce soit le concurrent qui dépasse qui change de trajectoire, Morrissette se fera déloger de la trajectoire à plusieurs reprises. De quoi énerver un peu plus le pilote qui n’avait déjà pas besoin de ca. Malgré tout la MG B tient le cap et se classe à la 5ème place des rescapés du plateau ASAVE Racing 1965.
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Les vidéos des deux courses seront mises en ligne très prochainement, ne manquez pas les glissades de la première course, et les noms d’oiseaux de la seconde. La prochaine course de Morrissette se déroulera sur le mythique circuit de Spa-Francorchamps dans le cadre de Spa Summer Classic où la MG s’élancera pour une course d’endurance de 3 heures, nous vous en reparlerons d’ici la.

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Tour Auto 2016 : le classement final

La dernière étape du Tour Auto est le point final d’une formidable semaine de compétition automobile à travers les chemins de traverse français. Pour cette édition anniversaire, les organisateurs avaient décidé de juger l’arrivée sur la Croisette à Cannes, face à la mer. Avant de déguster le champagne les pieds dans le sable, les équipages devaient disputer une dernière étape entre Marseille et Cannes avec un passage sur le circuit du Castellet. Nouveauté 2016, une boucle de nuit composée de deux spéciales attendait les concurrents sur les hauteurs de Cannes, la première spéciale sera finalement annulée mais tous semblent avoir apprécié cette innovation nocturne.
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Compétition
Andrew Smith continue de démontrer que la Ford GT40 n’est pas une voiture réservée aux grandes lignes droites et aux circuits mais qu’il s’agit également d’un outil redoutable dans les épreuves spéciales. Il s’impose devant Jean-Pierre Lajournade et Ludovic Caron qui sont séparés de seulement 5 secondes. Le pilote de la Jaguar Type E conforte donc un peu plus son leadership.

Lors de l’épreuve sur le mythique circuit Paul Ricard, Andrew Smith continue sur sa lancée et s’impose au volant de sa GT40. Derrière lui on retrouve les mêmes acteurs dans l’ordre inverse. Les écarts sont significatifs puisque Ludovic Caron reprend plus de 20 secondes à son adversaire direct et l’écart repasse sous la minute. Shaun Lynn pourtant bien parti sur le Circuit du Castellet est trahi par sa mécanique ce qui lui coûte sa troisième place au classement général provisoire. Au sortir du circuit, cette troisième position est occupée par Damien Kohler et Sylvie Laboisne sur leur Lotus Elan.

L’étape nocturne est elle aussi remportée par Andrew Smith qui réalise le score parfait sur cette dernière journée. Il devance Jean-Pierre Lajournade de 15 secondes, le podium est complété par l’agile Lotus Elan de Nicolas Melin et Paul-Edouard Gondard. Ludovic Caron termine un peu plus loin puisque celui-ci prend la 11ème place de la spéciale, il écope également d’une pénalité de une minute sans conséquence au classement général.
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Le Tour Auto 2016 est donc remporté par Jean-Pierre Lajournade et Christophe Bouchet qui s’imposent pour la deuxième année consécutive au volant de leur Jaguar Type E. Cette victoire ne souffre d’aucune contestation tant l’équipage a dominé l’épreuve, en tête du début à la fin et accentuant régulièrement son avance. Ils devancent Ludovic Caron et Charles de Villaucourt qui ont toujours été très rapides mais légèrement moins que la Type E. La troisième marche du podium revient à Damien Kohler et Sylvie Laboisne qui ont été très réguliers lors de ce Tour Auto 2016.
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Pos Pilote / Copilote Nat Voiture Temps Ecart
1 Jean Pierre LAJOURNADE / Christophe BOUCHET FRA/FRA Jaguar Type E 3,8L 2h09m31s
2 Ludovic CARON / Charles de VILLAUCOURT FRA/FRA Shelby Cobra 289 2h12m36s 3m05s
3 Damien KOHLER / Sylvie LABOISNE FRA/FRA Lotus Elan 2h16m58s 7m27s

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Retrouvez ici le classement final du Tour Auto 2016 en catégorie Compétition

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Indice de performance
Relativement méconnu du grand public, ce classement tient compte de l’âge et de la cylindrée des véhicules pour établir un classement le plus homogène possible. Un coefficient de performance propre à chaque véhicule est appliqué aux résultats chronométriques bruts afin d’établir le classement à l’indice de performance. Les Porsche 356 y sont généralement très bien représentées et chaque année Alexis Raoux et François Chastres luttent pout tenir tête aux allemandes au volant de leur Alfa Romeo Giulietta Sprint Veloce.

L’édition 2016 est une nouvelle fois remportée par un Porsche 356, celle de Jean-François Penillard et Matthieu Verlaine. Le podium final est complété par deux Alfa Romeo.
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Pos Pilote / Copilote Nat Voiture Temps x Coeff Ecart
1 Jean-François PENILLARD / Matthieu VERLAINE FRA/FRA Porsche 356 Pré A 1h25m18s
2 Alexis RAOUX / François CHASTRES FRA/FRA Alfa Romeo Giulietta Sprint Veloce 1h26m08s 0m50s
3 Adrien CATHIARD / Christine CATHIARD FRA/FRA Alfa Romeo 1900 CSS 1h33m01s 7m43s

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Retrouvez ici le classement final du Tour Auto 2016 en catégorie Indice de Performance

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Les MG B
Ce classement très officieux établi uniquement par Morrissette met à l’honneur les roadsters britanniques qui vivent dans l’ombre des stars que sont les AC Cobra, Jaguar Type E et autres Ferrari. Dans le plateau 3, les MG B sont pourtant de redoutables concurrentes et trustent les premières places que ce soit lors des spéciales routières ou bien encore sur les circuits.

Sur les six MG B au départ dans la catégorie compétition, cinq sont à l’arrivée et pour la plupart très bien placées. Engene Deleplanque et Cathy Dubuisson ont été les plus rapides cette année avec plusieurs victoires de spéciales, ils devancent Pierre Buffet et Alexandre Marnas toujours très bien placés. Le podium est complété par Stanislas Gurdijan et Gonzague Ruchaud qui réalisent un très bon Tour Auto pour leur première participation au volant d’une MG B.

  • Eugène DELEPLANQUE / Cathy DUBUISSON (8ème)
  • Pierre BUFFET / Alexandre MARNAS (12ème)
  • Stanislas GURDIJAN / Gonzague RUCHAUD (14ème)
  • Jean-Luc DURAND / Sylvain PROYART (23ème)
  • Georges ROCCHIETTA / Stéphane MOREAU (53ème)

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Périodes G1 et G2
Dans les catégories G1 et G2, tout reste à jouer et cela se démontre dès la première spéciale du jour puisque les deux premiers au classement général provisoire terminent l’épreuve d’ouverture ex aequo. Arnaud Gauduel et Eddy Benezet devancent Roland Hachler, habitué des podiums au volant de sont Alfa Romeo GTAm.

Sur le circuit du Castellet, Eddy Benezet se montre impérial et s’impose devant Marc Doncieux sur Ford GT40 et Christophe Schwartz au volant de sa très imposante Plymouth Hemicuda. Arnaud Gauduel doit se contenter de la 5ème place mais à plus d’une minute du vainqueur. Au sortir du circuit Paul Ricard c’est donc la Porsche d’Eddy Benezet qui est en tête du classement général provisoire avec 38 secondes d’avance sur la BMW 2800 CS d’Arnaud Gauduel.

Comme attendu, la BMW 2800 CS s’impose lors de l’épreuve spéciale mais avec seulement 11 secondes d’avance sur la Porsche d’Eddy Benezet. Avec cette deuxième place, le pilote de la Porsche assure sa victoire finale dans cette édition 2016, d’autant plus qu’Arnaud Gauduel va se voir infliger une pénalité. Lors de cette dernière épreuve, la troisième position du classement général change de main puisque Manuel Nicolaidis et Christophe Barthe au volant de leur Escort 1600 TC devancent la Ferrari 275 GTB/C de Arnold Meier et Sarah Amoroso.
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Pos Pilote / Copilote Nat Voiture Temps Ecart
1 Eddy BENEZET / Jean-Jacques BENEZET FRA/FRA Porsche 911 ST 2.5L 2h16m30s
2 Arnaud GAUDUEL / Alexandre DELAYE FRA/FRA BMW 2800 CS 2h17m57s 1m27s
3 Manuel NICOLAIDIS / Christophe BARTHE CHE/CHE Ford Escort 1600 TC 2h29m49s 13m19s

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Retrouvez ici le classement final du Tour Auto 2016 en catégorie G1 et G2

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Périodes H1, H2 et I
Florent Jean continue de se montrer impérial lors des épreuves spéciales et impose sa Ferrari 308 Gr.IV Michelotto quelques secondes devant la Ligier JS2 de Mr John of B. La troisième position est occupée par la Porsche 911 RSR 3L pilotée par Guy Fréquelin.

L’épreuve du Castellet est remportée par Mr John of B sur sa Ligier devant Michel Lecourt toujours très régulier au volant de sa Porsche RSR 2.8 L. Le podium est complété par une autre Porsche, celle de Claudio Roddaro. Florent Jean est quelque peu en retrait dans cette épreuve sur circuit mais dispose toujours d’une confortable avance au classement général provisoire.

Florent Jean parachève son œuvre sur ce Tour Auto 2016 en s’imposant lors de la dernière spéciale disputée de nuit. Il devance un duo de Porsche 911, la RSR 3L de Guy Fréquelin et la RS 3L de Claudio Roddaro. A noter que si M John of B était bien au départ de cette dernière spéciale, celui-ci a connu des ennuis mécaniques dans la journée qui lui ont couté beaucoup de temps.
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Sans surprise, c’est donc Florent Jean et Philippe Talabard qui impose leur Ferrari 308 Gr.IV Michelotto au classement général final. Sur la seconde marche du podium on retrouve Michel Lecourt et Raymond Narac régulièrement aux avant postes tout au long de l’épreuve. La troisième position revient à Didier Sirgue et Gérard Dunesme sur leur De Tomaso Pantera Gr.IV.
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Pos Pilote / Copilote Nat Voiture Temps Ecart
1 Florent JEAN / Philippe TALABARD FRA/FRA Ferrari 308 Gr.IV Michelotto 2h04m14s
2 Michel LECOURT / Raymond NARAC FRA/FRA Porsche 911 RSR 2,8L 2h05m54s 1m40s
3 Didier SIRGUE / Gérard DUNESME FRA/FRA De Tomaso Pantera Gr.IV 2h08m51s 4m37s

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Retrouvez ici le classement final du Tour Auto 2016 en catégorie H1, H2 et I

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Régularité
Si dans la catégorie compétition, les vainqueurs de spéciales sont souvent les mêmes, en régularité les candidats à la victoire de spéciale sont très nombreux. La première spéciale du jour longue d’un peu plus de 8 kilomètres est remportée par Tim et Sarah Ingram Hill sur une Ferrari 275 GTB. Une autre Ferrari, profite de cette spéciale pour prendre la tête du classement général provisoire, celle de Martin H et Francisco Sucari. Les écarts restent très faibles avec trois secondes entre les trois premiers.

Sur le circuit du Castellet, les leaders se neutralisent même si les écarts sont encore plus réduits puisque ceux-ci se tiennent désormais en seulement deux secondes. L’épreuve sur circuit est remportée par John et Suzan Bennett sur une très rare Alfa Romeo TZ.

La spéciale de nuit sera, comme cela avait été le cas lors du Rallye de Monte-Carlo Historique en début d’année, le juge de paix de ce Tour Auto 2016 en catégorie régularité. La spéciale est remportée par Stéphane Peculier et Stéphanie Viellard sur une Triumph TR3 A. Les leaders du classement général se classent respectivement 10ème, 20ème et 23ème avec une fois encore de très faibles écarts.
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C’est finalement l’équipage composé de Martin H. et Francisco Sucari qui l’emporte sur sa Ferrari 250 GT Berlinetta. Toujours dans le Top 5 ils ont pris la tête au matin de la dernière étape pour ne plus la lâcher. On retrouve ensuite les équipages Alpine Jean François et François Nicoules et Georges Henri Meylan copiloté par Julien Stervinou. Ils reculent donc d’une position par rapport à leur classement final de l’édition précédente du Tour Auto.
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Pos Pilote / Copilote Nat Voiture Temps Ecart
1 Martin H SUCARI / Francisco SUCARI ARG/ARG Ferrari 250 GT Berlinetta 1m13s
2 Jean-François NICOULES / François NICOULES FRA/FRA Alpine Renault A110 1600S 1m16s 0m03s
3 Georges Henri MEYLAN / Julien STERVINOU CHE/FRA Alpine Renault A110 1600S 1m18s 0m05s

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Retrouvez ici le classement final du Tour Auto 2016 en catégorie Régularité

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L’édition 2016 du Tour Auto est désormais terminée, les équipages, les assistances et les voitures auront désormais droit à un repos bien mérité. Pour les organisateurs il faudra bientôt se pencher sur la préparation de l’édition 2017, car le Tour Auto de par son ampleur nécessite une organisation pharaonique et beaucoup d’anticipation.

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Tour Auto 2016 : Classements et vidéo de la 4ème étape

La 4ème et avant dernière étape du Tour Auto 2016 emmenait les concurrents depuis Valence jusqu’à Marseille. Comme la veille, le parcours se déroulait sur les traces du Rallye de Monte-Carlo avec la mythique spéciale du Moulinon en guise d’ouverture de la journée. Les concurrents disputaient ensuite une seconde épreuve spéciale avant de rejoindre le circuit de Lédenon. Après en avoir décousu sur ce circuit atypique la caravane mettait le cap sur Marseille ou les concurrents ont pu apercevoir la mer synonyme d’arrivée proche pour la première fois du rallye.
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Compétition
Jean-Pierre Lajournade continue sa domination dans les épreuves routières en s’imposant dans la première spéciale. Le podium est complété par la Ford GT40 de Andrew Smith et l’AC Cobra de Ludovic Caron. Les écarts sont relativement importants car Jean-Pierre Lajournade prend plus de vingt secondes à son plus proche poursuivant, l’écart au classement général dépassant pour la première fois la minute. Shaun Lynn bien que légèrement en retrait dans cette manche d’ouverture assure sa position au général. Lors de cette spéciale, Thomas Leriche et Hugo Payen sur Jaguar Type E et les époux Bussolini sur Porsche 904 GTS ont plongé dans le classement alors qu’ils jouaient jusqu’alors le Top 5 au classement général.

La seconde spéciale se conclut par le même podium mais dans un ordre différent, si Jean-Pierre Lajournade continue de se montrer intraitable, Ludovic Caron se classe second devant Andrew Smith. Les écarts sont très faibles entre les trois. L’enchainement de cinq spéciales en deux jours a couté beaucoup de temps à Shaun Lynn qui voit un temps sa position sur le podium menacée par la Lotus Elan de Damien Kohler et Sylvie Laboisne.
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Le pilote britannique prend sa revanche sur le circuit de Ledenon où il se montre impérial au volant de sa Cobra rouge. Il s’impose avec une belle marge sur le duo Caron / Lajournade qui termine dans cet ordre et seulement séparés d’une seconde. Au terme de cette quatrième journée, le podium reste inchangé et les écarts grandissent de jour en jour. La dernière étape sera longue avec pas moins de trois épreuves spéciales et le circuit Paul Ricard, il faudra donc ménager les montures pour monter sur le podium final du Tour Auto 2016.
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Pos Pilote / Copilote Nat Voiture Temps Ecart
1 Jean Pierre LAJOURNADE / Christophe BOUCHET FRA/FRA Jaguar Type E 3,8L 1h37m55s
2 Ludovic CARON / Charles de VILLAUCOURT FRA/FRA Shelby Cobra 289 1h39m10s 1m15s
3 Shaun LYNN / Kevin KIVLOCHAN GBR/GBR Shelby Cobra 289 1h42m21s 4m26s

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Périodes G1 et G2
Comme en compétition, Arnaud Gauduel continue de régner en maitre dans les épreuves spéciales, il devance dans le Moulinon la Jidé 1300 d’Alexandre Leroy et l’Alfa Romeo GTAm de Roland Hachler de retour aux premiers postes après ses déboires de la veille. La BMW 2800 CS s’impose de nouveau dans la seconde spéciale ex aequo avec la Porsche 911 ST 2.5 L d’Eddy et Jean-Jacques Benezet. Le podium est complété comme lors de la première spéciale par Roland Hachler.

Sur le circuit de Ledenon, le rapport de force s’est inversé puisqu’Eddy Bénezet s’est imposé relativement confortablement alors que dans le même temps, Arnaud Gauduel se contentait de la 6ème place à 1m14s du leader. Le podium de l’épreuve de Ledenon est complété par la Ford GT40 de Marc Doncieux et l’Afla Romeo GTAm de Roland Hachler.

Aussi bien Arnaud Gauduel qu’Eddy Bénezet peuvent encore prétendre à la victoire finale, tout dépendra de l’équilibre des forces entre les épreuves spéciales et la course disputée au Castellet. La troisième place provisoire est toujours occupée par Arnold Meier mais celui-ci est à plus de 10 minutes et ne peut donc plus prétendre à la victoire à la régulière.
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Pos Pilote / Copilote Nat Voiture Temps Ecart
1 Arnaud GAUDUEL / Alexandre DELAYE FRA/FRA BMW 2800 CS 1h43m37s
2 Eddy BENEZET / Jean-Jacques BENEZET FRA/FRA Porsche 911 ST 2.5L 1h44m02s 0m25s
3 Arnold MEIER / Sarah AMOROSO CHE/CHE Ferrari 275 GTB/C 1h53m43s 10m06s

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Périodes H1, H2 et I
Les leaders sont décidément intraitable dans la spéciale du Moulinon puisque Florent Jean impose sa Ferrari dans la catégorie H et I. A la seconde place on retrouve un nom bien connu, celui de Guy Frequelin alias le Grizzly. Pour ce Tour Auto il retrouve Jacques Delaval, le copilote avec lequel il courait le Tour Auto à l’époque ainsi qu’une réplique de la Porsche qu’ils utilisaient. La Ligier JS2 de M John of B complète le podium.

Le Grizzly prend ses marques et sort peu à peu de sa tanière en s’imposant dans la spéciale de Saint Victor la Coste. Il devance deux des prétendants à la victoire finale, Florent Jean sur Ferrari 308 Gr.IV Michelotto et Michel Lecourt sur Porsche 911 RSR 2.8 L.
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Mr John of B profite de sa Ligier JS2, véritable prototype homologué pour la route pour s’adjuger l’épreuve de Ledenon. Il devance la Porsche de Michel Lecourt et la De Tomaso Pantera de Didier Sirgue. Cette victoire à Ledenon permet par ailleurs à la Ligier de récupérer la troisième place au classement général provisoire au détriment de la De Tomaso. Florent Jean domine toujours la catégorie devant Michel Lecourt. Les écarts demeurent faibles et les cinq premières positions se joueront lors de la dernière étape ce samedi.
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Pos Pilote / Copilote Nat Voiture Temps Ecart
1 Florent JEAN / Philippe TALABARD FRA/FRA Ferrari 308 Gr.IV Michelotto 1h34m02s
2 Michel LECOURT / Raymond NARAC FRA/FRA Porsche 911 RSR 2,8L 1h35m44s 1m42s
3 Mister JOHN OF B. / SIBEL FRA/FRA Ligier JS 2 DFV 1h36m22s 2m20s

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Régularité
Alors que la spéciale du Moulinon semblait s’être déroulée normalement avec notamment des écarts importants et des modifications au classement général, celle-ci a finalement été annulée. La performance de Christophe et Laurence Lenys sur Porsche 914/6 ne sera donc pas officialisée et restera uniquement pour l’honneur.

La seconde spéciale au programme du jour (la première réellement disputée) est remportée par Eric Hamoniau et Arnaud Dernoncourt sur Ferrari 250 GT Lusso, l’équipage en profite pour faire un bon en avant au classement général et se positionne désormais comme un prétendant au podium final.

Sur le circuit de Ledenon les écarts sont très faibles, les positions n’ont donc pas réellement de sens puisque les cinquante premiers se tiennent en moins de 4 secondes. On notera toutefois un doublé des Triumph puisque la TR2 de Marc et Stefan Vandendijk l’emporte devant la TR3 de Vincent et Pierre Alain Delfosse.

Au terme de cette quatrième étape les écarts sont très minimes et tout se jouera dans la dernière étape et plus particulièrement lors des deux spéciales de nuit sur les hauteurs de Cannes. Les trois premiers sont séparés de seulement sept secondes, il faut donc plus que jamais parler de podium provisoire.

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Pos Pilote / Copilote Nat Voiture Temps Ecart
1 Jean Francois NICOULES / François NICOULES FRA/FRA Alpine Renault A110 1600S 0m44s
2 Martin H SUCARI / Francisco SUCARI ARG/ARG Ferrari 250 GT Berlinetta 0m47s 0m03s
3 Georges Henri MEYLAN / Julien STERVINOU CHE/FRA Alpine Renault A110 1600S 0m51s 0m07s

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Vous pouvez retrouver les classements détaillés de toutes les catégories (VHC, Indice de Performance, G1, G2, H1, H2, I et Régularité) ainsi que le classement en direct des étapes en cours en cliquant ici.

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Pour compléter ces classements, voici le résumé en vidéo de cette quatrième étape du Tour Auto 2016 entre Valence et Marseille :
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Tour Auto 2016 : Classements et vidéo de la 3ème étape

Pour cette 3ème étape du Tour Auto, le parcours emmenait les concurrents depuis Lyon jusqu’à Valence. Pas d’épreuve sur circuit au programme mais trois spéciales routières dont deux habituellement empruntées par le Rallye de Monte-Carlo : Saint Bonnet le Froid et Bouvante en Royans. A mi-parcours de l’édition 2016 du Tour Auto, les hommes et les machines commencent à fatiguer et les équipes d’assistance doivent bichonner les voitures.
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Compétition
Lors de la première spéciale du jour, Ludovic Caron débloque son compteur sur les épreuves routières et impose son AC Cobra quelques secondes devant Jean-Pierre Lajournade qui se classe troisième. Le duo Thomas Leriche / Hugo Payen sur Jaguar Type E se met en lumière avec une seconde place. Moins à l’aise en spéciale, Shaun Lynn lâche 47 secondes lors de cette spéciale d’ouverture.
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Jean-Pierre Lajournade réplique dès la seconde spéciale en imposant son 6 cylindres en ligne britannique devant deux V8 américains. La seconde place est occupée par la Ford GT40 de Andrew Smith, il devance Ludovic Caron qui perd petit à petit du temps au classement général. La matinée difficile de Shaun Lynn continue, celui-ci perdant de nouveau 49 secondes au volant de sa Cobra.

La dernière spéciale du jour est remportée par Andrew Smith qui prouve par la même occasion si besoin en était que la Ford GT40 aurait été une candidate à la victoire finale sans ses ennuis mécaniques de début de rallye. Le podium de la spéciale est complété une fois encore par Jean-Pierre Lajournade et Ludovic Caron.

Au terme de cette troisième étape le podium reste inchangé mais les écarts se creusent petit à petit. Cela est particulièrement vrai pour Shaun Lynn, le pilote britannique devant désormais s’appliquer avant tout à défendre sa troisième place menacée par la Jaguar Type E de Thomas Leriche.
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Pos Pilote / Copilote Nat Voiture Temps Ecart
1 Jean Pierre LAJOURNADE / Christophe BOUCHET FRA/FRA Jaguar Type E 3,8L 1h07m24s
2 Ludovic CARON / Charles de VILLAUCOURT FRA/FRA Shelby Cobra 289 1h08m15s 0m51s
3 Shaun LYNN / Kevin KIVLOCHAN GBR/GBR Shelby Cobra 289 1h10m18s 2m54s

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Périodes G1 et G2
Arnaud Gauduel au volant de sa BMW 2800 CS a confirmé sa main mise sur les épreuves spéciales en s’imposant dans les deux premières spéciales avant de se classer second dans la dernière épreuve de la journée. La dernière épreuve du jour est remportée par Philippe Vandromme sur Ford GT40 qui remonte petit à petit au classement général. Alexandre Leroy réalise également une excellente journée avec deux podiums au volant de sa Jidé 1300. Toujours du coté des 1300 cm3, on retrouve pour la première fois du Tour Auto 2016 la Mini de l’équipage Philippe Belin / Stéphane Soulet sur le podium de la spéciale de Saint Bonnet le Froid.
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En ce qui concerne le classement général, Arnaud Gauduel prend les commandes de la catégorie au terme d’une journée quasi parfaite. Eddy Benezet leader de la catégorie au départ de Lyon est plus à l’aise sur circuit que dans les épreuves routières et perd petit à petit du temps. Roland Hachler et son Alfa Romeo GTAm plongent dans les profondeurs du classement en n’ayant pas participé à toutes les épreuves. La dernière marche du podium est désormais occupée par Arnold Meier et Sarah Amoroso sur Ferrari 275 GTB/C.
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Pos Pilote / Copilote Nat Voiture Temps Ecart
1 Arnaud GAUDUEL / Alexandre DELAYE FRA/FRA BMW 2800 CS 1h11m10s
2 Eddy BENEZET / Jean-Jacques BENEZET FRA/FRA Porsche 911 ST 2.5L 1h12m08s 0m58s
3 Arnold MEIER / Sarah AMOROSO CHE/CHE Ferrari 275 GTB/C 1h18m07s 6m57s

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Périodes H1, H2 et I
Les Ferrari 308 Gr.IV Michelotto ont prouvé leurs performances dans les épreuves routières puisque les italiennes emportent les trois spéciales du jour. Elles réalisent même un doublé dans les deux premières spéciales de cette étape entre Lyon et Valence. Florent Jean s’impose devant François-Xavier Entremont dans la première spéciale, on retrouve les mêmes acteurs dans l’ordre inverse lors de la deuxième épreuve. Didier Sirgue, de retour aux avants postes avec sa De Tomaso Pantera Gr.IV se classe troisième de la première épreuve, cette position est occupée par Michel Lecourt lors de la spéciale de Saint Bonnet le Froid.

Florent Jean après avoir fait résonner la symphonie mécanique de sa monture italienne contre les parois des gorges du Vercors remporte la dernière spéciale et conforte son leadership. Il devance Michel Lecourt et Didier Sirgue lors de cette épreuve, on retrouve les trois mêmes acteurs dans le même ordre au classement général provisoire. Mr John of B et sa Ligier JS2 moins en verve lors des épreuves routières ne figure plus sur ce podium provisoire.
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Pos Pilote / Copilote Nat Voiture Temps Ecart
1 Florent JEAN / Philippe TALABARD FRA/FRA Ferrari 308 Gr.IV Michelotto 1h04m56s
2 Michel LECOURT / Raymond NARAC FRA/FRA Porsche 911 RSR 2,8L 1h06m15s 1m19s
3 Didier SIRGUE / Gérard DUNESME FRA/FRA De Tomaso Pantera Gr.IV 1h06m45s 1m49s

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Régularité
Dans la catégorie régularité les écarts demeurent très faibles et les vainqueurs tout comme le podium varient énormément d’une épreuve à l’autre. On pouvait s’attendre à ce que cette journée avec trois épreuves spéciales bouleverse quelque peu le classement général mais il n’en fut rien. On constate que la famille Nicoules et l’équipage Georges Henri Meylan / Julien Sterviniou ont été moins dominateurs qu’à l’accoutumée avec leurs Alpine A110 1600S. Ils ne montent pas sur les podiums des épreuves spéciales du jour mais continue de dominer le classement général de part leur régularité.

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La première spéciale est remportée par Martin H. Sucari et Francisco Sucari sur Ferrari 250 GT Berlinetta. Au terme de la journée, l’équipage argentin reprend la troisième place du classement général provisoire qu’ils occupaient au terme de la première étape. Ils prennent la place d’un autre équipage argentin sur Ferrari 275 exclu suite à un excès de vitesse. La seconde épreuve est remportée par une anglaise, la Triumph TR2 de Marc et Stefan Vandendijk, la dernière épreuve voyant la victoire de Régis et Hélène Mathieu sur une Porsche 356 Speedster A.

Au classement général provisoire, on retrouve les trois mêmes équipages que lors de la première étape, ceux-ci ont creusé un petit écart sur le reste du peloton puisque le quatrième est à 18 secondes de pénalité du leader.

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Pos Pilote / Copilote Nat Voiture Temps Ecart
1 Jean Francois NICOULES / François NICOULES FRA/FRA Alpine Renault A110 1600S 0m35s
2 Georges Henri MEYLAN / Julien STERVINOU CHE/FRA Alpine Renault A110 1600S 0m40s 0m05s
3 Martin H SUCARI / Francisco SUCARI ARG/ARG Ferrari 250 GT Berlinetta 0m41s 0m06s

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Vous pouvez retrouver les classements détaillés de toutes les catégories (VHC, Indice de Performance, G1, G2, H1, H2, I et Régularité) ainsi que le classement en direct des étapes en cours en cliquant ici.

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Pour compléter ces classements, voici le résumé en vidéo de cette troisième étape du Tour Auto 2016 :
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