Tour Auto 2019 : les photos du Mans

La dernière étape du Tour Auto 2019 emmenait les concurrents depuis Tours jusqu’à Deauville, point final de la compétition. Le programme du jour débutait par une épreuve chronométrée sur le circuit Bugatti du Mans. Indissociable de l’histoire du sport automobile français et plus généralement mondial, le circuit du Mans a fait rêver des générations de pilotes et de spectateurs. Pour rejoindre le circuit Bugatti, les concurrents du Tour Auto 2019 ont emprunté une partie du grand circuit du Mans qui n’est utilisé que lors des 24 heures du Mans et du Mans Classic. En cette fin de Tour Auto 2019, les concurrents engagés en régularité sont les premiers à prendre la piste. C’est ensuite au tour des trois plateaux de compétition de s’affronter pour une course disputée sur 10 tours.

La longueur du Tour Auto 2019 a fatigué les machines et les équipages et cela se sent, nombreux sont les pilotes à ménager la mécanique afin de mettre toutes les chances de leur coté pour rejoindre Deauville. Au final peu d’action dans les différentes courses si ce n’est quelques têtes à queue et un accrochage entre une Mini et une Triumph TR4 dans le plateau 3.

La météo peut engageante du Mans à certainement limité les ardeurs des spectateurs finalement relativement peu présents dans les tribunes du circuit Bugatti. Vous retrouverez ci-dessous les photos des plateaux 3 et 4 ainsi que ceux des concurrents disputant l’épreuve de régularité.

 

Plateau 3 :

Plateau 4  :

Régularité :

 

 

Le Mans Classic 2018 : les photos de la Porsche Classic Race

Pour fêter les 70 ans de Porsche, une course dédiée aux véhicules de la marque était organisée en lever de rideau de l’édition 2018 du Mans Classic. Baptisée Porsche Classic Race Le Mans, elle réunissait des véhicules couvrant une période assez large, allant des 356 jusqu’au 911 des années 70 sans oublier les prototypes qui ont fait la légende de la marque en endurance : 904, 906, 908 et 910.
.

.

La pole position de la Porsche Classic Race revient à Raymond Narac, un grand habitué des courses en Porsche et des 24 heures du Mans. Il boucle le tracé de 13 kilomètres en 4 minutes 54 au volant de sa 911 Carrera RS 3.0 de 1974. Il devance un autre français Ewens Stievenart au volant d’une rarissime Porsche 908 LH. L’écart entre les deux français n’est que de 0,2 secondes, autant dire rien du tout étant donné la longueur du tracé. Toujours dans la même seconde on retrouve sur la troisième place de la grille de départ Maxence Maurice au volant d’une Porsche 911 Carrera RSR 2.8L de 1973. Saluons l’excellente performance d’Oliver Bryant qui parvient à hisser sa Porsche 911 2.0L châssis court de 1964 en 6ème position, devançant de nombreuses voitures beaucoup plus récentes et donc plus performantes.

La course de la Porsche Classic Race Le Mans sera neutralisée dès le premier tour, un pilote ayant perdu de l’huile sur le circuit lors du tour de formation. La course sera émaillée de plusieurs neutralisations et drapeaux jaunes qui engendreront de très nombreuses pénalités et modifieront profondément le classement final.

Au terme des 55 minutes de course c’est la 908 longue queue de Ewens Stievenartqui franchi en tête le drapeau à damiers devant Raymond Narac et Marc de Siebenthal. Une pluie de pénalités va s’abattre sur les leaders au point de profondément modifier le classement final. La voiture de tête écope de 8 minutes de pénalité. La 911 de Raymond Narac est pénalisée de 2 minutes et celle de Marc de Siebenthal de 5 minutes.

La victoire de cette Porsche Classic Race Le Mans revient à la Porsche 910 de Uwe Bruschnik. Raymond Narac parvient à conserver sa seconde place malgré la pénalité. Le podium est complété par la Porsche 911 Carrera 2.8L RSR de Karsten Le Blanc. Les amoureux de Porsche auront surement été affectés par l’impressionnante casse moteur qui a interrompu la course de Gérard Larousse à quelques minutes du drapeau à damiers.

Voici les photos de la course Porsche Classic Race Le Mans 2018 :

Le Mans Classic 2018 : les photos du Jaguar Classic Challenge

Sur le papier, le Jaguar Classic Challenge regroupait différents modèles de Jaguar pré 66. On devait notamment y retrouver des XK120, 140 ou 150, des Type C, D et E ainsi que des berlines Mk I et Mk II. Dans les faits, le Jaguar Classic Challenge qui se tenait en lever de rideau du Mans Classic 2018 s’est plutôt apparenté à une course monotype de Jaguar Type E agrémentée de quelques autres modèles.
.

.

Les résultats des qualifications en attestent puisque la pole position revient à Martin O’Connell au volant d’une Jaguar Type E. Derrière lui, on retrouve pas moins de quinze voitures du même modèle avant de voir apparaitre une Type D. En bouclant son tour de qualification en 4 minutes et 51 secondes il reléguait le reste du peloton a plus de 8 secondes, de quoi voir venir lors de la course du samedi. La majorité des pilotes du Jaguar Classic Challenge venaient directement d’outre manche. Ils étaient, à l’occasion de la course du Mans, accompagnés par quelques pilotes Européens et Français.

La course d’une durée de 55 minutes confirme l’hégémonie des Type E puisqu’elles monopolisent les 21 premières places du classement final. Tout en haut du classement on retrouve Martin O’Connell. Sa victoire n’a cependant pas été un long fleuve tranquille comme le laissait craindre les temps de qualification. Au final il devance de 16 secondes Marcus Von Oeynhaussen. Le podium est complété par le duo Vincent Gaye / Antony Reid qui accusent 46 secondes de retard sur le vainqueur.

Les écarts sont au final relativement importants mais la course a donné lieu a de belles batailles notamment pour les places d’honneur. Plusieurs voitures ont effectué leurs arrêts aux stands au même moment et se sont notamment doublées dans la voie de décélération.

Au-delà des résultats, voici les photos du Jaguar Classic Challenge disputé en ouverture du Mans Classic 2018 :

On vous emmène au Mans Classic 2018

Nous avons décidé de ne pas traiter le record d’affluence de 135 000 spectateurs lors de l’édition 2018 ou encore les 12,6 millions d’euros obtenus lors de la vente Artcurial. La cuvée 2018 du Mans Classic a incontestablement été un succès, mais plus que les chiffres, nous avons décidé de vous faire vivre le Mans Classic du coté spectateur. Nous entendons par spectateur, la grande majorité des gens qui ne disposent pas de pass VIP ou d’accès privilégié mais simplement de son entrée enceinte générale, agrémentée de suppléments paddock et tribune dans notre cas.

Dès le vendredi matin, ça bouchonne un petit peu aux abords du circuit, rien de bien grave, juste le signe que les spectateurs seront au rendez-vous tout le long du weekend. Le vendredi, les tribunes sont en accès libre, on en profite donc pour explorer de nouvelles tribunes, et en particulier la Dunlop située en face de la chicane du même nom.

Avantage des tribunes ce weekend, celles-ci offrent un peu d’ombre bienvenue par ces températures caniculaires. Lorsqu’il y a un peu de vent on se sentirait presque VIP tant la chaleur est plombante dès que l’on quitte l’ombre pour rejoindre le bitume. Pour tout voir au Mans Classic, les trois jours ne sont pas de trop car entre la piste, les paddocks, les différentes expositions et les clubs il y a largement de quoi occuper weekend. On commence par regarder les premiers essais avant de faire un tour dans le village et une première visite des paddocks.
.

.

Les paddocks sont relativement calmes, les voitures n’ayant pas roulé il n’y a pas encore réellement de mécanique mais plutôt des nettoyages ou des réglages de dernière minute. Avec les premiers essais qualificatifs du vendredi, on distingue déjà la hiérarchie des plateaux, certains s’annoncent plus disputés que d’autres.

En fin de soirée, les températures descendent légèrement permettant de déambuler plus librement au bord du circuit et dans les tribunes. On quitte le circuit avant la fin des essais de nuit, il y aura encore du temps pour voir les autos en piste.

Le samedi tout s’accélère, les spectateurs se multiplient autour du circuit pour atteindre le chiffre record que l’on évoqué en introduction. Les essais libres et qualificatifs deviennent des courses et les pilotes prennent plus de risques pour défendre leur position ou en conserver une. La course du Jaguar Classic Challenge donne le ton du weekend : des batailles acharnées mais également beaucoup de drapeaux jaunes et de slow zones qui hacheront quelque peu les courses. Après cette première course c’est au tour des Group C et de la démonstration Global Endurance Legends de prendre la piste.

La seconde course réservée aux Porsche se verra longtemps neutralisée, plusieurs voitures ayant perdu de l’huile sur la piste. La légendaire fiabilité de Porsche est mise à mal lors de cette course et de nombreux 6 cylindres à plats rendent l’âme avant de voir le drapeau à damiers.
.

.

Après ces premières courses, il est temps de faire place aux courses habituelles du Mans Classic. C’est d’abord les plus jeunes qui prennent le départ. Tout se déroule bien pour Little Big Mans et aucun faux départ n’est à signaler cette année. On ne pourra pas en dire de même le lendemain lorsque les adultes prendront le départ type Le Mans du plateau 4.

Pour assister aux différents départs et aux animations qui les entourent, le meilleur endroit est incontestablement d’avoir une place en tribune. Faute de place en tribune, le spectateur du Mans a quasiment en permanence la vue gênée par les innombrables grillages qui entourent le circuit. Les plateaux se succèdent sans interruption jusqu’à la tombée de la nuit.

Petit à petit les tribunes se vident. A partir de 20 heures, les personnes qui possèdent un pass tribune peuvent se placer dans n’importe laquelle . Une excellente initiative qui permet de varier les points de vue au bord du circuit. Une fois la nuit installée on en profite pour faire une pause diner dans le village. La tente installée avec ses lampes vintage n’est pas sans rappeler le Goodwood Revival. En écoutant les conversations autour de nous on se rend compte que l’heure avançant, le public est de plus en plus passionné. Les VIP qui viennent au Mans Classic uniquement pour être vus ont disparus depuis longtemps. Il reste un public amateur, souvent averti qui apprécient l’automobile.

Côtoyer de tels spectateurs est rassurant dans un pays que l’on nous présente comme de plus en plus autophobe et où les conversations automobiles sont depuis des mois réduites à une distance symbolique de 13 mètres. Au milieu de la nuit, nous quittons à notre tour le circuit pour reprendre quelques forces avant la journée de dimanche.
.

.

Nous avions quitté le circuit lorsque le plateau 2 évoluait, le lendemain matin c’est de nouveau le plateau 2 qui est en piste. Comme si le temps s’était arrêté au Mans Classic, le temps de nos quelques heures de repos. Plus l’heure avance plus les tribunes se remplissent mais il y a incontestablement moins de monde que le samedi.

Les courses continuent de s’enchainer inlassablement en piste. Un petit tour dans les paddocks permet de se rendre compte que la course a éprouvé aussi bien les machines que les hommes. Les abandons sont très nombreux, particulièrement dans les plateaux les plus récents (plateaux 5 et 6). Visages et pilotes ont les traits tirés après une courte nuit voire une nuit blanche.
.

.

Le point d’orgue en terme de compétition est incontestablement le plateau 4 qui fait la part belles aux GT40 qui se livrent un combat très rapproché. Les écarts sont très faibles jusqu’à l’arrivée et plusieurs voitures peuvent l’emporter à quelques minutes du drapeau à damiers.

A 16 heures, comme à l’époque le directeur de course est au milieu de la piste pour agiter le drapeau et clôturer cette édition 2018 du Mans Classic. Même après 3 jours, on a l’impression que le temps est passé trop vite et que l’on n’a pas eu le temps de tout voir.

Afin de rester dans la magie du Mans, chaque jour nous vous referons vivre les courses par le biais de galeries photos. Pour revoir des courses historiques sur le grand circuit des 24 heures du Mans il faudra attendre l’édition 2020 qui se déroulera très certainement au mois de juillet.

.

Le Mans Classic 2018 Live

Vous ne pouvez pas vous rendre au Mans Classic 2018 ? Vous craignez la chaleur ? Vous hésitez entre Le Mans Classic, le départ du Tour de France où encore le Grand Prix de Formule 1 de Silverstone ? Nous avons la solution pour vous pour ne rien rater de l’action en piste au Mans Classic. Les équipes de Peter Auto proposent un live streaming renforcé par rapport aux éditions précédentes, sur le principe de ce qui est fait à Goodwood pour le Members Meeting ou le Revival.

Le live streaming sera disponible en français ou en anglais. Les commentaires français seront assurés par Marc Minari et Gilles Della Posta. Pour ceux qui préfèrent la langue de Shakespeare, ils retrouveront Bruce Jones, Jim Roller et Martin Haven qui officient habituellement sur Radio Le Mans.

Il vous suffira donc simplement d’une connexion internet pour pouvoir suivre Le Mans Classic depuis votre canapé comme si vous y étiez. Retrouvez ici le programme complet de l’édition 2018 du Mans Classic pour retrouver rapidement la course où la période qui vous intéresse.

Voici le streaming vidéo qui débutera à 10h15 le samedi 7 juillet avec la course du Jaguar Classic Challenge :

.

 

.
Samedi 7 juillet

  • 10:00-11:10 – Jaguar Classic Challenge (course)
  • 11:20-12:20 – Group C Racing (course)
  • 13:22-13:57 – Global Endurance Legends
  • 14:02-15:17 – Porsche Classic Race Le Mans (course)
  • 16:16-16:59 – Plateau 1 (course 1)
  • 17:55-18:38 – Plateau 2 (course 1)
  • 19:34-20:17 – Plateau 3 (course 1)
  • 20:54-21:37 – Plateau 4 (course 1)
  • 22:11-22:54 – Plateau 5 (course 1)
  • 23:26-00:09 – Plateau 6 (course 1)

.
Dimanche 8 juillet

  • 00:40-01:23 – Plateau 1 (course 2)
  • 01:59-02:42 – Plateau 2 (course 2)
  • 03:14-03:57 – Plateau 3 (course 2)
  • 04:29-05:12 – Plateau 4 (course 2)
  • 05:44-06:27 – Plateau 5 (course 2)
  • 06:59-07:42 – Plateau 6 (course 2)
  • 08:14-08:57 – Plateau 1 (course 3)
  • 09:33-10:16 – Plateau 2 (course 3)
  • 10:48-11:31 – Plateau 3 (course 3)
  • 12:26-13:09 – Plateau 4 (course 3)
  • 14:01-14:44 – Plateau 5 (course 3)
  • 15:17-16:00 – Plateau 6 (course 3)

.

Le Mans Classic 2018 : Demandez le programme !

L’édition 2018 du Mans Classic débute aujourd’hui sur le circuit des 24 heures du Mans. Rappelons que c’est, en dehors des 24 heures du Mans, la seule épreuve à utiliser le grand circuit de la Sarthe et ses plus de 13 km de pistes. Le programme du Mans Classic 2018 est particulièrement riche, nous vous en proposons ici un aperçu.
.

Les compétitions
Le programme du Mans Classic 2018 sera comme de coutume composé autour des plateaux 1 à 6 qui regroupent par époque successives les légendes des 24 heures du Mans. Le plateau 1 opposera des modèles ayant participé à l’épreuve entre 1923 et 1939, le plateau 2 celles allant de 1949 à 1956, le plateau 3 s’étendra de 1957 à 1961. Le plateau 4 nous plongera au cœur des années 60 avec les voitures de 1962 à 1965, il sera suivi du plateau 5 entre 1966 et 1971. Le plateau le plus récent, le numéro 6 regroupe quant à lui des voitures de 1972 à 1981.
.

.

Pour en savoir plus sur les modèles et les pilotes qui seront alignés au départ du Mans Classic 2018, retrouvez ici la liste des engagés de l’épreuve. Notons la présence de 10 anciens vainqueurs des 24 heures du Mans qui constitueront les têtes d’affiche du programme du Mans Classic 2018.

Lorsque l’on parle de programme ces 6 plateaux sont certes le cœur du Mans Classic, mais il ne s’agit que de la partie émergeante de l’iceberg. En effet, lors de chaque édition le Mans Classic s’enrichit au point que les trois jours ne seront pas de trop pour tenter d tout voir.

En ce qui concerne les compétitions, trois autres courses auront lieu en ouverture de l’épreuve. On retrouvera les très rapides voitures du Groupe C déjà vues il y a deux ans. Ensuite il y aura deux épreuves mono marques d’un coté la Porsche Classic Race le Mans qui fêtera les 70 ans de la marque avec une sélection de modèles allant de la Porsche 356 de 1952 à de plus récentes 911 RSR de 1973. La course se tiendra le samedi en début d’après-midi.

Toujours du côté des courses mono marques, Jaguar sera de nouveau présent au programme du Mans Classic 2018 avec le Jaguar Classic Challenge. Les différents modèles de Coventry datant d’avant 1966 seront présents sur la grille de départ avec les XK120, 140, Type C et D, de nombreuses Type E sans oublier les berlines Mk I et Mk II. La course du Jaguar Classic Challenge se déroulera également lors de la journée du samedi.

Retrouvez ici les engagés des différentes courses support :

.

.

Autre nouveauté du programme du Mans Classic 2018, le Global Endurance Legends. Ce nouveau plateau présenté ici sous forme de démonstration présentera des GT et prototypes plus récents. Il s’agit des voitures ayant participé aux courses d’endurance dans les années 90 et 2000.

Au Mans Classic le spectacle est sur la piste mais également en dehors, les paddocks représentent un véritable musée à ciel ouvert et pour ceux qui seront présent au Mans Classic 2018, nous ne serions trop vous conseiller de consacrer du temps à la visite des paddocks.

.
Retrouvez jour par jour les compétitions au programme du Mans Classic 2018 :

Vendredi 6 juillet

  • 10:45-11:15 – Global Endurance Legends
  • 11:25-11:55 – Jaguar Classic Challenge (qualifications)
  • 12:05-12:50 – Group C Racing (qualifications)
  • 13:00-13:30 – Porsche Classic Race Le Mans (qualifications)
  • 13:45-14:35 – Plateau 1 (qualifications)
  • 14:53-15:43 – Plateau 2 (qualifications)
  • 15:59-16:49 – Plateau 3 (qualifications)
  • 17:04-17:54 – Plateau 4 (qualifications)
  • 18:06-18:56 – Plateau 5 (qualifications)
  • 19:08-19:58 – Plateau 6 (qualifications)
  • 20:10-20:55 – Group C Racing (qualifications)
  • 21:07-21:42 – Porsche Classic Race Le Mans (qualifications)
  • 22:29-23:04 – Plateau 1 (essais de nuit)
  • 23:19-23:54 – Plateau 2 (essais de nuit)
  • 00:09-00:44 – Plateau 3 (essais de nuit)
  • 00:59-01:34 – Plateau 4 (essais de nuit)
  • 01:47-02:22 – Plateau 5 (essais de nuit)
  • 02:35-03:10 – Plateau 6 (essais de nuit)

.
Samedi 7 juillet

  • 10:00-11:10 – Jaguar Classic Challenge (course)
  • 11:20-12:20 – Group C Racing (course)
  • 13:22-13:57 – Global Endurance Legends
  • 14:02-15:17 – Porsche Classic Race Le Mans (course)
  • 16:16-16:59 – Plateau 1 (course 1)
  • 17:55-18:38 – Plateau 2 (course 1)
  • 19:34-20:17 – Plateau 3 (course 1)
  • 20:54-21:37 – Plateau 4 (course 1)
  • 22:11-22:54 – Plateau 5 (course 1)
  • 23:26-00:09 – Plateau 6 (course 1)

.
Dimanche 8 juillet

  • 00:40-01:23 – Plateau 1 (course 2)
  • 01:59-02:42 – Plateau 2 (course 2)
  • 03:14-03:57 – Plateau 3 (course 2)
  • 04:29-05:12 – Plateau 4 (course 2)
  • 05:44-06:27 – Plateau 5 (course 2)
  • 06:59-07:42 – Plateau 6 (course 2)
  • 08:14-08:57 – Plateau 1 (course 3)
  • 09:33-10:16 – Plateau 2 (course 3)
  • 10:48-11:31 – Plateau 3 (course 3)
  • 12:26-13:09 – Plateau 4 (course 3)
  • 14:01-14:44 – Plateau 5 (course 3)
  • 15:17-16:00 – Plateau 6 (course 3)

.
Pour plus de praticité, retrouvez ici le programme du Mans Classic 2018 au format PDF.

.

Les animations
Le Mans Classic ce n’est pas seulement une compétition mais également de nombreuses animations, un village et une atmosphère unique. La aussi le programme du Mans Classic 2018 a été enrichi, on retrouvera le village vintage et ses nombreuses animations à l’intérieur du circuit Bugatti. Les organisateurs proposeront également un très américain cinéma de plein air qui diffusera successivement Mad Max Fury Road, Drive, 2 Fast 2 Furious et la Fureur de Vivre. La programmation cinématographique a été considérablement rajeuni par rapport à celle d’il y a deux ans pour tenter d’attirer un public plus large.

Entre les courses, de nombreuses parades auront lieu, notamment une très attendue parade Alpine programmée aux alentours de 13h le samedi. Les clubs auront également droit à leurs différentes séances de pistes et à leurs parades.
.

 

N’oublions pas le Little Big Mans toujours très attendu par le public. Cette course réservé aux enfants sur des répliques de voitures mythiques à échelle réduite ravi généralement et semble plaire tout autant aux enfants qu’à leurs parents.

.
Voici le programme des animations :

Vendredi 6 juillet

  • 09:00-10:40 – Parade Clubs
  • 14:00-15:00 – Conférence publique avec les pilotes (village)
  • 21:54-22:19 – Parade Clubs
  • 22:00-00:00 – Mad Max Fury Road (drive-in ; village)
  • 00:00-01:40 – Drive (drive-in ; village)

.
Samedi 7 juillet

  • 08:00-09:35 – Parade clubs
  • 09:35-09:50 – Parade Le Mans Heritage Club
  • 12:25-12:35 – Parade bus anciens
  • 12:27-13:17 – Baptême de piste
  • 13:22-13:35 – Parade Alpine
  • 13:26-13:39 – Parade Jaguar
  • 14:02-14:15 – Parade Porsche
  • 15:27-15:42 – Little Big Mans
  • 22:00-23:45 – 2 Fast 2 Furious (drive-in ; village)
  • 00:00-01:51 – La Fureur de vivre (drive-in ; village)

.
Dimanche 8 juillet

  • 13:19-13:34 – Parade Ford

.

Chinon Classic 2018

Pour la troisième année consécutive, la commémoration du Grand Prix de Tours se déroulait à Chinon et porte désormais le nom de Chinon Classic 2018. Le programme reste immuable d’une année sur l’autre avec le samedi un rallye touristique d’environ 180 kilomètres en Touraine suivi de démonstrations en centre-ville de Chinon lors de la journée du Dimanche.

Samedi matin, les 200 équipages participant au rallye du Chinon Classic 2018 se retrouvent en centre ville sous un soleil radieu. Le départ est donné vers 9h, au bout de quelques centaines de mètres, un riverain refusant que l’on passe dans sa rue entraine un premier détour et une joyeuse pagaye. Quelques kilomètres plus loin, une indication indique de tourner à gauche face à un bois, pas évident a repérer lorsque justement la route du rallye serpente au milieu d’un bois. Résultat, le compteur n’affiche pas encore 5km que déjà beaucoup de participants jardinent et il y a des voitures de collection dans tous les sens. Après ces difficultés de début de parcours, le road book devient beaucoup plus fluide et l’on rallie sans mal le château de Rigny-Ussé pour une première halte. Le parcours du rallye du Chinon Classic 2018 fait ensuite route vers le domaine de Thais ou est prévue la pause déjeuner. Avant de rejoindre se dernier, nous découvrons le magnifique château de la Longue Plaine et son interminable ligne droite faisant face à l’entrée principale du château.
.

.

Après le déjeuner, les voitures reprennent la route d’un autre château (région de la Touraine oblige), celui de Ligré ou une dégustation de vin est prévue. Avant de rentrer sur Chinon en début de soirée, une dernière halte est programmée à l’aérodrome de Loudun ou une démonstration d’avions anciens se marie parfaitement avec les voitures de collection du rallye.

Voici les photos du Rallye du Chinon Classic 2018 :

.

Le dimanche matin, le soleil est de nouveau de la partie pour les démonstrations en centre-ville qui constituent la partie la plus visible du Chinon Classic. Les voitures sont réparties par séries en fonction de leurs années et de leurs puissances supposées. Les séries de 10 minutes s’enchainent tout au long de la journée en alternant automobiles et motos. Il s’agit réellement d’une démonstration sans notion de vitesse, pour vous donner un ordre d’idée on ne parviendra jamais à passer la troisième sur Morrissette. Pour la MG B, l’ensemble du parcours se fait en alternant premier et deuxième rapports. Ce train de sénateur laisse le temps aux équipages des voitures de voir le public présent en très grand nombre le long des barrières de sécurité.

Si la plupart des autos présentes lors des démonstrations sont les mêmes que celles qui ont participé au rallye la veille, le plateau moto et lui inédit. Aussi bien en nombre qu’en qualité le plateau est impressionnant, les Honda 750 Four y sont légion, tout comme les 500 et 750 Kawasaki 2 temps. Outre ces grands classiques de la collection, on retrouve des motos plus confidentielles comme des Ducati et Harley Davidson de compétition, des Royal Enfield ou encore des Triton.

Retrouvez ici les photos prisent lors de la journée de dimanche du Chinon Classic 2018 :

 

Tour Auto 2018 : le classement final

Après 5 étapes et plus de 2000 kilomètres parcourus, le Tour Auto 2018 a enfin rendu son verdict ou presque. Les classements du Tour Auto 2018 ont tous été publiés meme si certains restent provisoires en raison de vérifications techniques ou de décision du collège des commissaires. En dehors de la partie sportive, le Tour Auto 2018 a bénéficié d’une météo très clémente permetant de parfaitement profiter du réseau secondaire français. Voici les classements des différentes catégories.

.

Compétition
Le meilleur performer du Tour Auto 2018 est sans conteste la Ford GT40 de James Cottingham et Andrew Smith en remportant neuf victoires d’épreuves spéciales sur les treize disputées. Quatorze épreuves étaient au programme mais une a été annulée en raison d’un incident. La boite de vitesse de la Ford GT40 ayant décidé de ne pas rallier Nice, l’équipage de 1MUF ne peut pas prétendre à la victoire finale mais remporte sans aucune contestation possible le prix de la performance et celui du panache. Au final les victoires de spéciales se seront réparties entre deux équipages, d’un côté la GT40 dont nous venons de parler et de l’autre Chris Ward sur Jaguar Type E qui remporte quatre épreuves. Celui-ci ayant connu des soucis mécaniques sur le circuit du Castellet, il ne peut pas non plus prétendre à la victoire finale.

Le Tour Auto 2018 aura été une véritable course à élimination. Dès le premier jour, en raison d’incidents mécaniques, la Cobra de Ludovic Caron etait écartée de la victoire. Il en sera de même quelques jours plus tard pour la Jaguar Type E de Jean-Pierre Lajournade. Au fil des épreuves les favoris à la victoire finale connaissent des soucis mécaniques jusqu’au retentissant abandon de la Ford GT40 le dernier jour alors que celle-ci dominait outrageusement la compétition depuis le début. Au final c’est un podium inédit que nous propose la version 2018 du Tour Auto.

Le duo suisse Raphaël Favaro / Yves Bandan s’impose pour la première fois dans l’épreuve au volant d’une Lotus Elan. Même si la victoire leur revient dans les dernières spéciales suite aux déboires de leurs concurrents celle-ci est totalement méritée car la Lotus a toujours été placée dans le peloton de tête. Et selon le célèbre adage d’Enzo Ferrari, pour finir premier, il faut d’abord finir … La seconde marche du podium final est occupée par Frédéric Jousset et Paul Miliotis, ils accusent un retard de 1m24s avec leur AC Cobra. En troisième position on retrouve une autre Lotus Elan, celle de Damien Kohler et Sylvie Laboisne à 3m47s des vainqueurs.
.

 

 

 

 

 

 

 

.

Le podium de la catégorie compétiton :

  1. Raphaël Favaro / Yves Badan – Lotus Elan 26R – 1h55m05s
  2. Frédéric Jousset / Pau Milliotis – Shelby Cobra 289 – 1h56m29s (+1m24s)
  3. Damien Kohler/ Sylvie Laboisne – Lotus Elan 26R – 1h58m52s (+3m47s)

.

Retrouvez ici le classement complet de la catégorie Compétition

.

Périodes G1 et G2
Dans cette catégorie la lutte aura été particulièrement intense. Pour caricaturer un peu les choses, les BMW 2800 CS se montraient redoutables dès que les épreuves étaient sinueuses et à l’inverses les Ford GT40 étaient intouchables dès qu’elle pouvaient faire parler leur puissance. Les vainqueurs de spéciales ont été nombreux, notamment avec de belles performances de Perot / Excoffier sur leur Chevrolet Corvette C3. Ceux-ci ne pouvant prétendre à une bonne position au classement général en raison d’ennuis en milieu de rallye. La Ford GT40 de Philippe Vandromme était en bonne position jusqu’à l’issue de la dernière épreuve spéciale mais celle-ci ne figure pourtant pas au classement général final.

C’est bien une Ford GT40 MkII qui s’impose à Nice, celle de Patrick Hautot et Sylvain Cantrel. Ils devancent de 1m12s la BMW 2800 CS de Richard Depagneux et Eric Joyau. Cet écart déjà faible aurait pu l’être encore plus si l’équipage de la BMW n’avait pas écopé de 20 secondes de pénalité le premier jour du rallye. En troisième position on retrouve l’Alfa Romeo 1750 GTAM de Timm Meinrenken et Fyn Schroder, ceux-ci accusent un retard de 4m29s sur la Ford de tête.

.

 

 

 

 

 

 

 

.

Le podium des périodes G1 et G2 :

  1. Patrick Hautot / Sylvain Cantrel – Ford GT40 MkII – 1h57m14s
  2. Richard Depagneux / Eric Joyau – BMW 2800 CS – 1h58m26s (+1m12s)
  3. Timm Meinrenken / Fynn Schroder – Alfa Romeo 1750 GTAM – 2h01m43s (+4m29s)

.

Retrouvez ici le classement complet des périodes G1 et G2

.

Périodes H1, H2 et I
Le classement des périodes H1, H2 et I aura incontestablement été le plus serré tout au long de ce Tour Auto 2018. La Ferrari de Florent Jean ayant été rapidement écartée de la victoire finale en raison de soucis mécaniques, la course s’est résumée en une lutte sans merci entre un trio de Porsche. On retrouvait dans ce trio la Porsche de Raymond Narac et Michel Lecourt qui se verra ralenti par des pénalités puis des soucis mécaniques.

C’est finalement le duo de pilotes professionnels américains Gunnar Jeanette / Cooper Mac Neil qui s’impose au volant de la Porsche 911 Carrera RSR 3.0L « Défense Mondiale ». Ils devancent de 40 secondes la même voiture emmenée par Christophe Van Riet et Caroline Grifnée. Pointé avec un retard de 3m15s sur l’équipage de tête, Didier Sirgue et Jean-Michel Carrière prennent la troisième position au volant de leur De Tomaso Pantera Gr.IV.

.

 

 

 

 

 

 

 

.

Le podium des périodes H1, H2 et I :

  1. Cooper Mac Neil / Gunnar Jeanette – Porsche 911 RSR 3.0L – 1h48m53s
  2. Christophe Van Riet / Caroline Grifnee – Porsche 911 RSR 3.0L – 1h49m33s (+0m40s)
  3. Didier Sirgue / Jean-Michel Carriere – De Tomaso Pantera Gr.IV – 1h52m08s (+3m15s)

.

Retrouvez ici le classement complet des périodes H1, H2 et I

.

Indice de performance
Le classement à l’indice de performance tient à la fois compte des temps réalisés mais aussi des performances de la voiture. Chaque véhicule se voit attribué un coefficient en fonction de la cylindrée et de l’âge de la voiture. Logiquement plus une voiture est récente et plus son moteur est puissant plus elle doit être rapide. Le temps réalisé dans chaque épreuve est ensuite multiplié par le coefficient propre à chaque véhicule pour établir un classement à l’indice de performance.

Le coefficient peut être inférieur à 1, ne soyez donc pas surpris de voir des temps inférieurs à ceux des vainqueurs des autres catégories. Le duo Jean-François et Chloé Penillard s’impose de nouveau. Ils sont de vrais spécialistes du classement à l’indice de performance au volant de leur Porsche 356 Pre A qui se montre rapide tout en bénéficiant d’un coefficient avantageux de 0,56. Ils devancent deux Alfa Romeo, tout d’abord la rare Giulia Sprint Speciale de Pierre Machi et Isabelle Martrou puis la GTA de l’équipage 100% féminin Daniela Ellerbrock et Jackie Rohwer. La GTA avec son coefficient de 0,78 n’est pas forcément une auto avantagée mais la rapidité de l’équipage féminin leur permet de figurer sur le podium du classement à l’indice de performance.

.

.

Le podium de l’indice de performance :

  1. Jean-François Penillard / Chloé Penillard – Porsche 356 Pre A – 1h14m54s
  2. Pierre Machi / Isabelle Martrou – Alfa Romeo Giulietta Sprint Speciale – 1h18m53s (+3m59s)
  3. Daniella Ellerbrock / Jackie Rohwer – Alfa Romeo Giulia Sprint GTA – 1h37m29s (+22m35s)

.

Retrouvez ici le classement complet à l’indice de performance

.

Régularité
Généralement dans la catégorie régularité les positions changent chaque jour tant les écarts entre les spécialistes de la catégorie sont faibles. Il n’est pas rare de voir des changements de leader la dernière journée, notamment lorsqu’il y a des bonifications liées à certains types de voiture.

Lors de ce Tour Auto 2018, Jean Rigondet et Olivier Souillard ont pris la tête du classement général dès le premier jour au volant de leur CG 1200 S pour ne plus la lâcher jusqu’à l’arrivée à Nice. Les équipages les accompagnants sur le podium ont varié au fil des étapes mais rapidement Nicolas Pagano accompagné de l’expérimenté Michel Périn se sont octroyés la seconde position à bord de leur Alfa Romeo 1750 GTV. C’est une autre italienne qui complète le podium de la catégorie régularité, à savoir la Maserati 200 SI de Tomas Hinrichsen et Solange Mayo. Philippe Fichet et Xavier Malenfer à bord d’une Lancia Fulvia 1600 HF ont régulièrement joué aux avants postes mais ils échouent finalement au pied du podium de ce Tour Auto 2018.

Le podium de la catégorie Régularité :

  1. Jean Rigondet / Olivier Souillard – CG 1200 S – 1m30s
  2. Nicolas Pagano /Michel Périn – Alfa Romeo 1750 GTV – 1m58s (+0m28s)
  3. Thomas Hinrichsen / Solange Mayo – Maserati 200 SI – 2m00s (+0m30s)

.

Retrouvez ici le classement complet de la catégorie Régularité

.

Tour Auto 2018 : les classements de la 5ème étape

Compétition
Ne nous en cachons pas, c’est avec une certaine amertume que nous écrivons cet article. La cruelle désillusion du sport automobile a une novelle fois donné raison à l’adage selon lequel tant que la ligne d’arrivée n’est pas franchie, tout peut arriver. Depuis le début de ce Tour Auto 2018, la Ford GT40 de James Cottingham et Andrew Smith survolait littéralement l’épreuve. Le rallye était quasi parfait avec un score de neuf victoires et une seconde place sur les dix épreuves disputées au matin de la dernière journée. L’étape de samedi menant les concurrents depuis Aix en Provence jusqu’à Nice, lieu d’arrivée du rallye, ne comportait pas d’épreuve sur circuit mais trois épreuves spéciales.

En jouant naturellement la prudence, la GT40 se classe seconde au classement de la spéciale du Pays de Fayence confortant un peu plus leur leadership. Les premières et troisièmes places reviennent aux Jaguar Type E de Chris Ward et Jean-Pierre Lajournade.
.

.

La seconde spéciale du jour revient de nouveau à Chris Ward qui prouve qu’il est bien le plus rapide de ce Tour Auto 2018 derrière la GT40. Mais justement aucune trace de la GT40 au premières places du classement de la spéciale, il faut plonger à la 48ème place du classement a plus de 3 minutes du vainqueur pour retrouver l’équipage britannique. La Ford GT40 rencontre un souci de boite de vitesse qui ne sera pas réparable au bord de la route. C’est donc l’abandon pour 1MUF et son équipage alors que la victoire leur semblait pourtant promise et méritée. La seconde place de l’épreuve revient à la Lotus Elan de Raphaël Favaro et Yves Badan devant la Porsche 911 2.0l de Gaby Von Oppenheim et Andreas Middendorf.

La dernière spéciale du Tour Auto 2018 se disputait sur les routes du mythique Col du Turini, elle voit une nouvelle victoire de Chris Ward toujours devant le duo Favaro / Badan désormais solide leader au classement général. Jean-Pierre Lajournade se classe de nouveau troisième montrant sa bonne forme après un début de Tour Auto 2018 difficile.

Nous vous communiquerons ultérieurement le classement général final, celui-ci étant soumis à diverses vérifications.

.

Périodes G1 et G2
Qui dit spéciale matinale dit victoire de la Chevrolet Corvette de Perot / Excoffier. Ils devancent la BMW 2800 CS de Delaye / Repellin de 9 secondes. Pointés avec le même temps que la BMW, Philippe Vandromme prend la troisième place au volant de sa Ford GT40 MkII. Cette spéciale ne génère pas de bouleversements au classement général.

Nouvelle victoire de Matthieu Perot et Éric Excoffier dans la treizième épreuve spéciale du Tour Auto 2018. Ils devancent de nouveau une BMW 2800 CS, mais cette fois-ci il s’agit de celle de Richard Depagneux. Sur le podium on retrouve une Alfa Romeo 1750 GTAM qui brille régulièrement lors des épreuves spéciales depuis le début du rallye. Il s’agit de celle du duo allemand Meinrenken / Shroder. Les Ford GT40 ont été plus en difficultés sur cette spéciale et se classent respectivement 8èmes et 9èmes.
.

.

La dernière épreuve du Tour Auto cuvée 2018 est remportée, dans la catégorie G1 et G2 par Matthieu Perot et Éric Excoffier. Ils confirment ainsi leur très bonne forme dans les épreuves spéciales en cette fin de Tour Auto. Alexandre Delaye se classe second avec sa BMW 2800 CS dans cette spéciale du Turini. Philippe Vandromme parvient à hisser sa Ford GT40 sur la troisième marche du podium sur des routes qui ne sont pas particulièrement avantageuse pour ce type de voiture.

Comme pour la catégorie compétition, le classement général final sera validé ultérieurement.

.

Périodes H1, H2 et I
Florent Jean continue de faire briller les couleurs de Ferrari en remportant la spéciale du Pays de Fayence au volant de sa 308 Gr.IV Michelotto. Il devance un duo de Porsche, d’abord celles des américains Mac Neil / Jeanette qui accusent un retard de 8 secondes, puis celle de Lecourt / Narac qui pointent une seconde derrière la première Porsche.

La spéciale disputée entre Les Ferres et la Roque en Provence voit une nouvelle victoire de Florent Jean. Il devance cette fois ci de treize secondes la Porsche 911 Carrera RSR 3.0L de Christophe Van Riet et de 24 secondes celle de l’équipage en tête au classement général, à savoir celle de Gunnar Jeanette et Cooper Mac Neil.
.

.

La Ferrari 308 Gr.IV Michelotto de Florent Jean réalise le triplé lors de cette dernière journée en remportant également la spéciale du Turini. Elle devance le duo américain Mac Neil / Jeannette de 8 secondes. Avec exactement le même chronomètre, on retrouve sur la troisième marche du podium le duo belge Van Riet / Grifnée.

La aussi le classement sera officialisé ultérieurement, d’autant que des vérifications techniques sont en cours sur les voitures en tête au classement général.

.

Régularité
Au départ de la dernière journée, tout été jouable dans la catégorie régularité. Avec trois épreuves spéciales au programme et aucune sur circuit, des écarts relativement importants pouvait encore être créés.

La première épreuve du jour revient à Nicolas Pagano et Michel Perrin, ils terminent à trois secondes du temps idéal au volant de leur Alfa Romeo 1750 GTV. Deux secondes derrière on retrouve la Lancia Fulvia 1600 HF de Fichet / Malenfer. Avec une seconde de plus d’écart par rapport au temps idéal, la troisième position revient à Jonathan et Christine Miles sur une Sunbean Alpine MkV. Cette spéciale du pays de Fayence ne génère pas de bouleversements au classement général.

L’équipage de la famille Sucari se rappelle au bon souvenir de tous en remportant la 13ème spéciale du Tour Auto 2018. Au volant de leur rarissime et superbe Ferrari 250 MM Berlinetta ils terminent à 15 secondes du temps idéal. Cet écart relativement important montre à quel point il été compliqué de tenir la moyenne, notamment dans la dernière partie de spéciale. Aux deuxième et troisième position on retrouve des équipages ex aequo Chabran / Mallen sur une BMW 1602 et Daniel et Marie-Jeanne Ascencion sur Porche 911.

Aborder l’épreuve du Col du Turini n’est pas évident en régularité car il est parfois difficile de tenir la moyenne sur les pentes du célèbre col. Emmanuel Saussereau et Frank Morel s’en sortent haut la main avec seulement 3 secondes de pénalité pour leur Fiat Abarth 124. Une seconde derrière on retrouve les leaders du classement général provisoire : Jean Rigondet et Olivier Souillard avec leur CG 1200 S. On retrouve un nom mythique lié à Porsche à la troisième position, à savoir Jacques Alvergnas copiloté par Jean-Louis Dubrule qui conduisent naturellement une Porsche 014/6.

Comme pour les autres catégories, le classement final sera officialisé ultérieurement après diverses vérifications et calculs.
.

« Articles Précédents