.
Morrissette vous souhaite une excellente année 2018, pleine de voitures anciennes (si possible anglaises), de courses, de rallyes, de salons, de rassemblements et de tout ce qui se rapporte de près ou de loin à l’automobile de collection.
.
.
Morrissette vous souhaite une excellente année 2018, pleine de voitures anciennes (si possible anglaises), de courses, de rallyes, de salons, de rassemblements et de tout ce qui se rapporte de près ou de loin à l’automobile de collection.
.
Vous l’avez surement constaté, mais depuis plusieurs mois les publications se font de plus en plus rares sur le site. En raison de changements professionnels, le temps est moins présent pour évoquer le monde de l’actualité de l’automobile ancienne et disserter sur son évolution. Rassurez-vous la passion est toujours bien présente et dès que l’emploi du temps nous le permet on passe un maximum de temps au volant d’une ancienne ou à l’atelier.
Prenons quelques minutes pour justement aborder l’évolution des blogs liés à l’automobile ancienne. Lorsque nous avons créé Morrissette Racing il y a 7 ans au mois de novembre 2010, pour beaucoup les notions de blog et d’automobiles anciennes étaient antinomiques. En caricaturant il y avait d’un côté les passionnés de voitures anciennes souvent relativement âgés et peu connectés et de l’autre des bloggeurs que l’on rencontrait plutôt dans l’univers de la mode, des voitures modernes ou encore du sport.
En sept années, les choses ont naturellement évolué, le monde de l’automobile ancienne s’est considérablement développé au point de devenir un business générant des millions d’euros. Tout comme notre société, les collectionneurs sont de plus en plus connectés. Les sites et les blogs se sont multipliés, on ne compte plus les pages dédiées sur les réseaux sociaux sans même évoquer le nombre de compte Instagram remplis de magnifiques photos de nos chères anciennes.
.
.
Cette évolution initialement positive cache pourtant un second coté plus pervers. En se multipliant les sites liés à l’automobile ancienne sont petit à petit devenus eux aussi un business. Les bloggeurs initialement indépendants le deviennent de moins en moins, ce qui joue indéniablement sur le ton des articles. Bien évidement personne ne vit actuellement de son activité de bloggeur dans le monde des anciennes, mais la course à l’audience est indéniable. Les invitations, les accréditations presse ou encore quelques informations diffusées en avant-première créent une forme de dépendance entre les marques / annonceurs et les bloggeurs.
Lors des quelques mois pendant lesquels nous avons pris du recul, nous sommes naturellement restés au fait de l’actualité de l’automobile ancienne et nous avons continué à lire la presse dédiée, les sites internet ainsi que les blogs. Un point a retenu notre attention, il devient de plus en plus difficile, voire impossible de parcourir un blog dédié à l’automobile ancienne sans être pollué par des bandeaux publicitaires, quand ce n’est pas des publicités au cœur même de l’article ou encore des articles sponsorisés. Que les quelques blogs qui continuent à être 100% sans publicité soient ici félicités pour leur résistance.
Ces quelques mois d’absence nous ont conforté dans l’idée qu’il y avait toujours de la place pour notre blog. Morrissette Racing continuera donc de donner son avis sans concession sur l’actualité de l’automobile ancienne. La fréquence des articles ne sera peut-être pas régulière car nous continuerons d’écrire uniquement sur les sujets qui nous intéressent. Morrissette est donc de retour derrière le clavier avant un retour plus assidu en piste pour la saison 2018.
.
Depuis plusieurs années, la FIA (Fédération International de l’Automobile) a décidé de s’intéresser de plus près aux compétitions historiques. Les mauvaises langues diront que la FIA se pencher sur les compétitions historiques à la recherche de revenus additionnels car celles-ci ont le vent en poupe contrairement au sport automobile « moderne ».
.
.
Il faut cependant en finir avec l’image d’Epinal qui tourne autour des compétitions historiques. Les gentlemen drivers qui arrivent sur les circuits avec leur voiture sur un plateau pour retrouver les copains et partager un bon moment sont en voie d’extinction du moins sur la scène européenne et internationale. Cet esprit originel de la compétition historique tourné vers les amateurs subsiste encore quelque peu au niveau national, notamment en France au travers de l’Historic Tour mais pour combien de temps encore ?
Il faut se rendre à l’évidence, pour pouvoir emporter des courses historiques au niveau européen il faut désormais dépenser des sommes folles pour acquérir les voitures mais également pour les préparer. Les budgets des tops team historiques rejoignent petit à petit ce que l’on rencontre en GT moderne et la course à l’armement est indéniable. Le fameux adage de gagner le dimanche pour vendre le lundi s’applique non pas au constructeurs mais bien aux préparateurs des voitures historiques. Les principales compétitions européennes et mondiales sont désormais des vitrines pour les préparateurs les plus renommés.
Dans ce contexte il était nécessaire de réglementer les compétitions historiques de manière plus stricte. Pour cela l’idéal est de revenir aux fameuses fiches d’homologation FIA permettant de définir clairement ce qui est toléré ou non sur une voiture de course.
Qu’est-ce qu’une fiche d’homologation FIA ? De toutes les époques, pour pouvoir participer à des compétitions automobiles, les constructeurs ont dû déclarer leurs voitures dans une classe et spécifier les principales données techniques de la voiture dans une fiche d’homologation. En fonction de la catégorie choisie (Groupe 1, Groupe 2 … Groupe 5) des modifications plus ou moins poussées par rapport au modèle de série étaient autorisées mais celles-ci devaient toutes être dument déclarées sur la fiche d’homologation.
Lorsqu’il s’agit de véhicules historiques pour savoir ce qui est homologué sur une voiture et ce qui ne l’est pas, il faut alors avoir recours aux archives afin de retrouver la fiche d’homologation d’époque du véhicule : la fameuse fiche d’homologation FIA. Pendant des années, la consultation de ces fiches d’archives était un véritable parcours du combattant, les concurrents se les échangeaient sous le manteau et il était possible de faire des demandes aux différentes fédérations mais celles-ci étaient généralement compliquées.
.
.
La FIA dans un souci de modernisation et de simplification vient de lancer une base de donnée en ligne dans laquelle il est désormais possible de retrouver toutes les fiches d’homologation dument classées par marques et par modèles. Cette véritable bible technique est une énorme avancé pour tous les propriétaires souhaitant préparer leurs voitures dans les règles de l’art.
.
Voici le lien à consulter et à partager sans modération : http://historicdb.fia.com
.
Cela semblera très certainement anodin pour les néophytes mais pour quiconque a tenté un jour d’obtenir un passeport FIA, cela représente une immense simplification. En plus des fiches d’homologation par marques et modèles, vous retrouverez également les différents règlements sportifs classés par époque.
.
John Surtees a pris son dernier départ le 10 mars 2017 pour rejoindre au paradis des pilotes de grands noms de la course auto parmi lesquels son fils Henry. John Surtees âgé de 83 ans était hospitalisé depuis plusieurs semaines pour une maladie respiratoire et s’est éteint ce vendredi entouré de ses proches.
Présenté par les médias comme le doyen des pilotes champions du monde de Formule 1, John Surtees était beaucoup plus que ça. Il est à ce jour le seul pilote à avoir à la fois remporté le championnat du monde de vitesse moto et le championnat du monde de Formule 1.
John Surtees a débuté les sports mécaniques par la moto discipline dans laquelle il excelle en remportant sept titres de champion du monde. Trois au guidon d’une 350 cm3 puis quatre avec des 500 cm3 dans la seconde moitié des années 50. John Surtees a fait une grande partie de sa carrière moto sur des MV Agusta et a notamment remporté tous ses titres sur des montures italiennes.
.
.
Au terme de sa riche carrière en deux roues, John Surtees se tourne vers la compétition automobile. D’abord avec des monoplaces britanniques (Lotus, Cooper, Lola …) avant de retrouver un bolide italien, en provenance de Maranello. L’apothéose de la carrière automobile de Johns Surtees est son titre de champion du monde remporté en 1964 sur une Ferrari 158.
Le pilote britannique sera ensuite impliqué dans le projet de Formule 1 de Honda qui restera sans succès malgré les efforts déployés par le constructeur nippon. Au début des années 70, John Surtees fonde le team éponyme et continue de courir en Formule 1 et en Formula 500 sous ses propres couleurs.
John Surtees ne s’est jamais éloigné des circuits et son fils Henry a lui aussi embrassé une carrière de pilote. Celle-ci s’est malheureusement arrêtée brutalement en 2009 lorsqu’il a été heurté par une roue alors qu’il pilotait une Formule 2. Suite à cet incident, John Surtees avait créé la fondation Henry Surtees afin de venir en aide notamment aux personnes souffrant de maladies cérébrales.
John Surtees était l’un des derniers représentants des pilotes ayant vécu l’âge d’or des sports mécaniques. Nos condoléances vont à sa femme Jane, ses deux filles Leonara et Edwina ainsi qu’à tous les proches du champion britannique.
.
.
Crédit photo : LAT Photographic
.
Nous connaissions la journée de la femme ou encore la journée de la courtoisie au volant, nos chères anciennes auront désormais leur journée dédiée avec la création de la Journée Nationale des Véhicules d’Epoque. A l’occasion de son cinquantenaire en 2017, la FFVE (Fédération Française des Véhicules d’Epoque) a annoncé la mise en place d’une journée nationale dédiée à nos véhicules préférés qui se déroulera le 30 avril 2017.
.
.
Le but de cette journée est de mettre en avant et de promouvoir l’usage et la préservation des voitures de collections. Une belle initiative afin de remettre un peu de passion autour des automobiles anciennes qui sont de plus en plus citées dans les médias uniquement pour leurs rejets polluants et nous pour leur coté patrimonanial.
Pour l’instant aucun détail sur les modalités de cette première Journée Nationale des Véhicules d’Epoque n’a été communiqué par la FFVE. L’objectif de cette belle initiative est de mettre en place des événements partout en France pour faire de cette Journée nationale une véritable fête de l’automobile de collection.
Vous pouvez d’ores et déjà réserver la date du 30 avril 2017 dans vos agendas car les événements liés à l’automobile ancienne sont généralement nombreux à cette période de l’année. Parmi les événements majeurs déjà programmés pour le weekend du 29 et 30 avril, l’arrivée du Tour Auto à Biarritz ou encore les Classic Days. Ces derniers fêteront leurs 10 ans sur le circuit de Nevers Magny-Cours. Nous reviendrons prochainement sur cet évènement.
.
Traditionnel rendez-vous du 1er weekend de janvier, la Traversée de Paris réunira quelques 800 participants ce dimanche 8 janvier 2017 dans les rues de Vincennes et de la capitale. Les équipes de Vincennes en Anciennes qui organisent l’événement ont dévoilé quelques-uns des points de passage afin de permettre aux spectateurs de voir passer les autos, motos, cyclos, vélos sans oublier les camions et parfois les tracteurs. Si vous souhaitez voir passer ces véhicules d’une autre époque il faudra vous lever tot.
L’affiche de la Traversée de Paris 2017 donnait déjà un indice sur le parcours avec une illustration de Thierry Dubois présentant les véhicules devant le centre Pompidou plus connu sous le nom de Beaubourg. Le parcours présente un mix de lieux inédits et de lieux plus convenus comme par exemple le traditionnel passage à Montmartre.
.
.
Voici quelques points de passage de la Traversée de Paris 2017 :
Vincennes
Paris
Saint-Mandé
Vincennes
.
La Traversée de Paris du mois de janvier 2017 mettra à l’honneur les années 70 et 80 notamment au travers des Youngtimer. Toutes les voitures de plus de 30 ans sont naturellement acceptées à condition que celles-ci soient dûment inscrites à la Traversée de Paris.
Si vous croisez une Austin Cooper S rouge avec le toit blanc, n’hésitez pas à venir nous voir car nous serons au volant de cette petite anglaise parfaitement adaptée aux rues étroites de la capitale. Comme de coutume, nous ne manquerons pas de vous ramener de nombreuses photos de cet événement.
.
Je ne sais pas si vous avez remarqué mais progressivement le débat autour de l’automobile est passé de la sécurité routière à la pollution. Alors oui, de temps à autre, suite à un mauvais mois en terme de sécurité routière ou un grave accident, le sujet revient sur la table mais la priorité est désormais dans les médias à la sacrosainte pollution de l’air. Une bonne illustration de cette évolution des centres d’intérêt est que la très chère Chantal Perrichon a quasiment disparu du paysage médiatique au profit de la toute aussi sympathique Anne Hidalgo.
Ce changement d’intérêt se traduit également par un changement de répartition au niveau des budgets de l’Etat. De plus en plus de personnes mesurent plusieurs fois par jour la qualité de l’air et inventent des mesures contraignantes alors que dans le même temps de moins en moins d’ouvriers travaillent à l’amélioration de la qualité du réseau routier. Les explications profondes vont plus loin que ce simple changement d’intérêt puisque le transfert de responsabilité il y a quelques années des routes nationales de l’état aux régions et départements n’a pas aidé. La responsabilité ayant été transférée mais pas les budgets, l’entretien des routes a été réduit au strict minimum faute de budget au niveau des collectivités locales.
.
.
Un trajet de 300 kilomètres à travers la France en Austin Mini de 1966 (les vraies Mini pour certains, les méchantes qui polluent pour d’autres) permet d’avoir une bonne idée de l’infrastructure du réseau routier français. Qui dit trajet en voiture ancienne dit utilisation du réseau secondaire loin de nos belles autoroutes relativement bien entretenues en contrepartie de tarifs toujours plus élevés.
En empruntant le réseau secondaire, la carte postale bucolique s’arrête rapidement et laisse place à la dure réalité du réseau routier français en 2016. Les trous et autres nids de poules sont de plus en plus marqués bien que l’hiver ne soit pas encore passé. Certaines portions à vous faire perdre une roue de 10 pouces feraient presque passer les routes belges pour un billard.
Quand ce n’est pas un trou, c’est une bosse sous forme de dos d’âne ou de ralentisseur qui tente de venir à bout de vos amortisseurs. Ceux-ci sont signalés de manière aléatoire, voire pas du tout lorsqu’un conseil municipal a voté l’installation d’un ralentisseur sans prévoir le budget complémentaire pour la signalisation. Pour nos amis écologistes rappelons que chaque ralentisseur implique comme son nom l’indique un ralentissement qui précède une ré-accélération génératrice de consommation de carburant supplémentaire. Une véritable ineptie écologique qui à la longue vous attaque aussi les lombaires.
Une fois que vous avez survécu à ces différents obstacles principalement urbains, vous voilà sur les anciennes routes nationales désormais devenues régionales. A la lueur des phares de votre chère ancienne vous cherchez alors désespérément les lignes blanches qui démarquent le milieu et le bord de la chaussée. La dernière dotation en peinture blanche de la Direction Départementale de l’Equipement doit dater de l’an 2000 et cela se voit sur le réseau routier. Ces lignes sont pourtant primordiales pour la sécurité de tous, d’autant plus la nuit et l’hiver.
En même temps je plaide coupable, quelle idée d’utiliser une voiture de plus de 50 ans qui pollue en hiver alors que les médias nous ont bien averti des risques de neige et de verglas. Je devrais me fondre dans la masse en achetant un monospace diesel climatisé et doté des dernières technologies de conduite autonome. Finalement cela non plus n’est pas possible, le diesel étant selon nos responsables politique la source de tous les maux et comment faire fonctionner un système de conduite autonome si les lignes blanches de signalisation ne sont pas visibles …
On nous demande donc de conduire uniquement des voitures du 21ème siècle sur un réseau routier datant du 20ème. Pour résoudre cette équation impossible, nous avons décidé de continuer à rouler avec des voitures du 20ème siècle tant que cela sera possible. Longue vie aux voitures anciennes.
.
Les re-fabrications ou continuations semblent à la mode chez les constructeurs de voitures de sport et particuliers britanniques. Jaguar a lancé le mouvement en re-fabricant les Type E Lightweight et XKSS « manquantes ». C’est désormais au tour d’Aston Martin d’annoncer la re-fabrication d’un modèle mythique la DB4 GT.
Jaguar avait utilisé le prétexte plus ou moins discutable que des numéros de châssis avaient été attribués à l’époque aux Type E Lightweight mais que pour diverses raisons les voitures n’avaient pas été fabriquées. La marque de Coventry se proposait donc simplement de corriger cette erreur de l’histoire et de combler les vides laissés dans les numéros de châssis.
.
.
Dans le cas d’Aston Martin, aucune justification de ce type, si ce n’est la volonté de construire 25 DB4 GT supplémentaires et accessoirement de faire rentrer de l’argent dans les caisses du constructeur.
Petit rappel historique, l’Aston Martin DB4 était l’une des voitures de sport les plus performantes et désirables de son époque. La belle anglaise propulsée par un 6 cylindres en lignes bénéficiait du principe de construction Superleggera chère à la carrosserie Touring en Italie. Ce principe consistait à apposer une carrosserie en aluminium sur un treillis de tube en acier offrent un compromis poids / résistance particulièrement favorable.
Malgré toutes ses qualités, l’Aston Martin DB4 peinait en compétition face à ses rivales de l’époque parmi lesquelles les redoutables Ferrari 250 GT châssis court. Pour améliorer les performances de la voiture, Aston Martin mit en production une série GT à la fois allégée et plus puissante que la DB4 classique. Grace à une optimisation du moteur et au recours au double allumage, le moteur dépassait les 300 chevaux. 75 exemplaires furent produits au début des années 60.
C’est cette série qu’Aston Martin se propose aujourd’hui de compléter avec la re-fabrication de 25 exemplaires supplémentaires. Ceux-ci seront produits comme le veut la tradition dans les ateliers de Newport Pagnell. Les voitures ne sont pas destinées à la route mais uniquement aux compétitions sur circuits. En échange de la somme de 1,5 millions de livres, les futurs acquéreurs bénéficieront outre de la voiture, de cours de pilotage, ainsi que d’un programme dédié sur les circuits du monde entier.
.
.
La troisième édition du Chantilly Arts & Elégance se déroulera dans les jardins du château de Chantilly le dimanche 4 septembre prochain. Le concours d’élégance organisé par Peter Auto avec le soutien de Richard Mille continue de prendre de l’ampleur et s’affirme déjà après seulement deux éditions comme un incontournable européen. Malheureusement, comme lors des précédentes éditions, Chantilly Arts & Elégance est en concurrence avec l’Historic Tour de Nogaro et nous ne pourrons donc pas y assister.
.
.
Depuis son lancement le Chantilly Arts & Elégance se positionne comme une célébration de l’art de vivre à la française et l’écrin du château de Chantilly est parfaitement adapté à cet exercice. Le programme est bien entendu axé autour de l’automobile avec un rallye, un concours d’élégance, un concours d’état où encore un concours de club.
De nombreuses animations non automobiles sont également proposées, visite du château et des grandes écuries, animations pour les enfants, ateliers chapeaux, foulards & maquillage, atelier floral, jeux d’antan … Plusieurs modes de déplacement sont également proposés avec notamment des balades en bateau sur le Grand Canal, des balades en calèche et des baptêmes en montgolfière.
Le concours d’état est l’un des éléments central du Chantilly Arts & Elégance, on y retrouvera cette année pas moins de 21 catégories différentes :
.
.
De trois à cinq voitures concurrents dans chacune des catégories. Un best of show sera également décerné au véhicule qui aura retenu l’attention du jury toute catégorie.
.
L’édition 2016 du Chantilly Arts et Elégance sera accompagnée d’une vente aux enchères. Cette dernière sera organisée par Bonhams. Cette ventre proposera une trentaine de lots avec une prépondérance d’avant-guerre parmi lesquels une magnifique Horch 853 Spezial Roadster de 1937.
Retrouvez ici le catalogue complet de la vente The Chantilly Sales par Bonhams
.