Qu’est ce qui se cache derrière ce nom mystérieux de Distinguished Gentleman’s Ride ? L’aventure a commencé en 2012 à Sydney en Australie, un groupe de passionnés de moto et d’élégance a décidé de créer un rassemblement de motards alliant belles machines et style. Le principe est de venir avec une belle moto : vintage, néo-rétro, custom … et de la piloter dans les tenues les plus élégantes qui soient.
Le premier Distinguished Gentleman’s ride a rassemblé 2 500 motards dans plus de 60 villes d’Australie. Le concept a rapidement dépassé les frontières du pays continent et en ce dimanche 27 septembre, l’édition 2015 rassemblait près de 30 000 motards répartis dans plus de 400 villes à travers le monde. .
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Pour le rassemblement parisien, plusieurs points de départs étaient proposés, nous avons décidé de nous rendre au principal situé à quelques centaines de mètres de la bibliothèque François Mitterrand. Triumph est l’un des sponsors principaux de l’événement et cela se remarque dès notre arrivée, on ne compte plus les Truxthon et Bonneville « modernes » parmi les participants. Morrissette aurait préféré voir de vraies vielles Bonnies des années 60 mais aucune n’était présente ce matin.
La prédominance des Triumph est contestée par la présence de plusieurs BMW Nine T, le roadster néo-rétro du constructeur allemand. Toujours du coté de BMW, plusieurs R60 et R75 des années 70 sont présentes, ces motos indestructibles sont de véritables roule toujours. Parmi les participants ont retrouve également quelques Harley Davidson plus on moins personnalisées. .
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Le parc moto est très « parisien » on y retrouve un mélange de motos néo-rétro, de quelques customs hors de prix le tout piloté par des cadres supérieurs âgés de 30 à 50 ans. On est donc loin de l’image du motard qui roule tous les jours avec sa fidèle machine quelques soient les conditions météorologies. Quoi qu’il en soit l’ambiance demeure sympathique et il est très plaisant de voir autant de motos dans les rues de la capitale un dimanche matin, qui plus est le jour de « Paris sans voitures » décrété par la mairie de Paris.
Voici les photos du départ du Distinguished Gentleman’s Ride 2015 de Paris :
Un film qui se déroule au cœur des années 60, avec une Ferrari 250 GTO sur l’affiche et qui débute par une course poursuite en Trabant ne peut pas être foncièrement mauvais. Voici pourquoi Morrissette s’est rendue au cinéma pour voir Agents très spéciaux – Code U.N.C.L.E. le dernier film de Guy Ritchie. . .
L’action se déroule au début des années 60, en pleine guerre froide, un agent américain de la CIA se voit obliger de collaborer avec son homologue russe du KGB. Les deux hommes aux valeurs et aux méthodes diamétralement opposées vont devoir faire contre mauvaise fortune bon cœur pour tenter d’éviter que le monde ne sombre dans le chaos. Ce film d’espionnage est également une comédie de part le caractère des agents secrets, en particulier celui de l’agent américain Solo dont le flegme semble plus britannique que nord américain.
Du coté automobile, on retrouve bien évidement des voitures incontournables des années 60 mais également une courte apparition du circuit de Goodwood. Pour l’occasion Goodwood s’est mis aux couleurs italiennes et est présenté comme un circuit à proximité de Rome. Les voitures en piste et dans les paddocks, notamment les Aston Martin et Jaguar témoignent que l’on se situe bien en réalité outre manche. Outre la Trabant en début de film, on retrouve également une Ferrari 250 GTO (Statique), un très beau Fiat 500 Multipla, plusieurs Fiat 600 ou encore une Jaguar Type E et un Citroën Type H. .
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La série télévisée Mad Men qui se déroule elle aussi au cœur des années 60 a poussé très loin le niveau de détail dans les décors et les tenues historiques. Les réalisateurs font désormais de très nombreuses études pour éviter tout anachronisme. Ce niveau de détail n’a malheureusement pas encore atteint le casting automobile des films d’époque.
Dans Agents très spéciaux – Code U.N.C.L.E. on note ainsi quelques anachronismes, notamment les pneumatiques du buggy tout terrain ou encore un Land Rover Defender bien plus récent que les années 60. Autres bizarrerie, la présence d’une Type E chez des aristocrates italiens, dans l’immédiat après guerre le nationalisme était très marqué et les dignitaires italiens devaient sans nul doute préférer les Maserati ou Ferrari. Il en est de même pour les utilitaires ou les Citroën Type H sont très présents dans le film alors qu’à l’époque en Italie les utilitaires Romeo devaient être plus nombreux.
En dehors de ces quelques remarques toutes personnelles sur les automobiles d’époque, Agents très spéciaux – Code U.N.C.L.E reste un excellent film. Le scenario est particulièrement réussi et tient les spectateurs en haleine tout au long du film. Il n’y a aucun temps mort et le mélange d’action et d’humour fait de ce long métrage l’une des réussites incontestables de l’année 2015.
Les premières informations relatives à l’édition 2016 viennent d’être rendues publiques par les équipes de Peter Auto organisateur de l’événement. 2016 marquera le 25ème anniversaire de la version historique du Tour Auto, à cette occasion quelques nouveautés ont été apportées au programme. Sans surprise le Tour Auto 2016 se déroulera mi-avril, du 18 au 24 avril précisément et proposera aux concurrents un parcours au départ de Paris et à destination de la mer. Pour 2016, le cap sera mis au Sud-Est avec une arrivée sur la côte d’azur. Pour l’instant nous n’avons pas plus de détails sur les différentes villes étapes ni sur la ville d’arrivée précise. .
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Comme lors des précédentes éditions, les vérifications administratives et techniques avant le départ se tiendront sous la verrière du Grand Palais, le lundi 18 avril. Les 250 concurrents s’élanceront ensuite le lendemain matin à l’aube pour découvrir les circuits, épreuves spéciales et chemins de traverses français. Nouveauté 2016, le Tour Auto se terminera par une étape de nuit sur de célèbres routes de l’arrière-pays azuréen. Aucune précision n’est pour l’instant donnée quand à ce parcours nocturne mais Morrissette parierait bien sur les routes du célèbre col du Turini habituellement empruntées en nocturne lors du mythique Rallye de Monte-Carlo.
Du coté des véhicules, les organisateurs ont décidé de mettre à l’honneur ceux qui ont fait les grandes heures du Tour Auto édition anniversaire oblige. On retrouvera donc les Jaguar MK2 3.8 L chères au cœur de Morrissette mais aussi les Ferrari 250 GT Belinetta, Ligier JS2 ou encore Matra MS 650.
Plus de détails sur le parcours du Tour Auto seront dévoilés prochainement, nous vous tiendrons bien évidement informés.
Un nouvel événement automobile se tiendra pour la première fois ce weekend sur l’Autodrome de Montlhéry. Baptisé les Grandes Heures Automobiles, cette manifestation regroupera différents plateaux de roulage auto et moto. Le circuit emprunté pour l’occasion sera l’anneau de 2,5 kilomètres entrecoupé de trois chicanes pour ralentir les participants.
Cette manifestation étant purement une démonstration, aucune notion de compétition ou de chronomètre ne sera prise en compte. Chaque participant auto ou moto prendra la piste deux fois le samedi et une fois au cours de la journée de dimanche. .
Comme lors des grandes heures de l’Age d’Or lorsque celui-ci se déroulait encore à Montlhéry, le centre du circuit sera dédié aux expositions de clubs et au village marchand. On y retrouvera également le paddock accessible au public qui accueillera les autos et les motos entre deux séances de roulage.
Les plateaux seront très éclectiques, du coté des autos, cela va des Bugatti 35 au Renault 5 Maxi Turbo en passant par les Allard J2, Ferrari 250 LM, Jaguar Type D et Type E, Austin Healey et autres Porsche. Du coté des motos on retrouve la même diversité avec de nombreuses cylindrées différentes et des modèles allant des années 30 jusqu’à nos jours.
Le plateau voiture est limité à 200 participants alors que celui des deux roues est limité à 100 véhicules. Au vu des inscriptions présentées sur le site internet de la manifestation, il semble que les deux plateaux ne se seront pas complets pour cette première édition. .
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Parmi les grands noms du sport mécanique on notera la présence annoncée de Réne Arnoux, Hubert Auriol, François Chatriot, Yannick Dalmas, Bernard Deleuze, Philippe Gache, Yves Genies, Jean Pierre Jabouille, Jean Pierre Jaussaud, Jacques Laffite, Henry Pescarolo, Bruno Saby ou encore Jean Vinatier. Toutes ces personnalités seront présentes à Montlhéry dès le vendredi soir pour une soirée de gala au 1924, le nouveau bâtiment situé au cœur du circuit.
Le samedi soir, des roulages nocturnes auront lieu jusqu’à 22 heures de quoi découvrir l’Autodrome sous un autre angle et à la lueur des phares. Voici le programme détaillé de la première édition des Grandes Heures Automobile :
Samedi 26 septembre
9h00 : Ouverture au public
9h30 : Ouverture officielle de la piste
10h00 à 22h00 : Démonstrations et animations .
Dimanche 27 septembre
9h00 : Ouverture au public
9h30 : Ouverture officielle de la piste
10h00 à 18h00 : Démonstrations et animations
18h15 Parade finale
18h45 : Clôture de la manifestation
Du coté des tarifs spectateurs, le billet pour la journée du samedi est à 22€ avec un tarif réduit à 16€ à partir de 17 heures. Les billets du dimanche sont proposée à 20€.
Morrissette a eu droit aux honneurs du journal, non pas celui de Claire Chazal, cette expression faisant désormais définitivement partie du passé, mais aux honneurs de la presse papier et plus précisément le magazine Echappement Classic n°60 daté d’octobre 2015. .
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Dans le cadre d’un article sur les voitures ne pouvant jouer le classement scratch des différents plateaux de l’Historic Tour, Morrissette et son équipage ont été présentés en quelques lignes. L’article est complété par une photo de la voiture en course lors de l’Historic Tour de Nogaro qui s’est tenu début septembre. .
Chaque semaine Morrissette met à l’honneur une vidéo qui a particulièrement retenu son attention. Toutes les vidéos ont pour thème l’automobile, que ce soit ancienne ou moderne.
La vidéo de la semaine : Retour sur les deux courses de Morrissette dans le cadre du championnat ASAVE GT Tourisme qui se sont déroulées ce weekend sur le circuit de Nevers Magny-Cours. La première course disputée sur piste sèche fut plutot animée avec des batailles durant les premiers tours puis pendant les derniers. La seconde course du dimanche matin courrue sur piste humide et grasse fut plus calme, Morrissette étant esseulée la plupart du temps : .
Ce weekend fut à la fois la dernière course de la saison et la première de Morrissette sur le circuit de Nevers Magny-Cours. Si la MG B avait déjà parcouru de nombreux tours du circuit nivernais de F1, cela n’avait jamais été le cas en compétition. Nous n’avions donc aucun repère chronométrique avant ce weekend.
La séance d’essais du vendredi après-midi disputée sur piste légèrement grasse permet de reprendre ses repères sur le circuit mais pas réellement de savoir où l’on se situe au niveau du chrono. Deux semaines après Nogaro, le circuit de Magny-Cours est totalement différent, celui-ci privilégie les longues lignes droites et les courbes rapides. La MG y est moins à son aise du fait de sa puissance contenue comparée aux autres voitures du Challenge ASAVE GT Tourisme. .
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Le samedi matin en qualifications, on découvre avec surprise que des Sports Prototypes roulent avec nous alors que rien n’a été dit au briefing. Dans la première partie de séance, il y a beaucoup de monde en piste et les drapeaux bleus sont nombreux. La piste s’éclaircit en fin de séance et Morrissette en profite pour signer un chronomètre de 2’14’’568, le 15ème du Challenge ASAVE GT Tourisme.
Seconde surprise de la journée au moment de la mise en gille de la Course 1 où l’on apprend que les Sports Prototypes partiront en début de grille, là aussi sans que l’on en ait été informés au briefing. La MG prend une fois encore un bon départ et les Sports Prototypes sèment quelque peu la pagaille au sein du peloton. Morrissette conserve sa position et se fait rapidement doubler par la Cortina de José Beltramelli. Un véritable plaisir de voir la Cortina en glisse maitrisée dans tous les virages même si la MG B ne parvient pas à tenir la cadence. Morrissette se retrouve rapidement esseulée derrière la Cortina et devant une Alpine A110. Cette première course du weekend est une véritable course d’élimination et les abandons sont nombreux. En fin de course, la MG remonte petit à petit sur une Porsche 928 sans pour autant trouver l’ouverture. Malgré plusieurs freinages tardifs, impossible de passer l’allemande qui met à profit sa puissance supérieure dans les portions rapides du circuit. Au final Morrissette se classe seconde du challenge 69 derrière une intouchable et magnifique Austin Healey 3000.
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La seconde course du weekend, se déroule à l’aube puisque les feux s’éteignent à 8h40. Du fait de cet horaire très matinal, les conditions de piste sont très différentes de la veille et la piste est grasse en raison de l’humidité mais aussi de l’huile et du liquide de refroidissement laissés par la course précédente des Saloon Cars. Après un départ prudent, la MG est à sa place jusqu’à ce qu’un tête à queue, en raison de la piste grasse, la face légèrement reculer au classement. Comme la veille, la MG se trouvera rapidement esseulée avec pour seul point de mire une Alpine A110. Petit à petit l’anglaise remonte sur la berlinette mais le jeu du trafic et l’arrivée du drapeau à damiers ne laissera pas assez de temps pour effectuer un dépassement. Morrissette rallie la ligne d’arrivée en troisième position du challenge 69.
La saison de Morrissette se termine donc sur ce double podium au circuit de Nevers Magny Cours. Il y avait peu de voitures et encore moins de spectateurs ce weekend dans la Nièvre. Malgré tout, nous vous avons ramené des photos de différentes courses du weekend, bien évidement le Challenge ASAVE GT Tourisme, mais également le Trophée Lotus et les F3 Historic :
Ce weekend, Morrissette sera de nouveau en piste pour la dernière fois de la saison dans le cadre du Grand Prix Historique sur le circuit de Nevers Magny-Cours. La MG B a déjà roulé à plusieurs reprises sur le circuit nivernais à l’occasion des Classic Days mais ca sera la première fois en compétition.
Même si le Grand Prix Historique de Magny-Cours n’est pas inscrit au Championnat de France Historic Tour 2015, l’épreuve compte néanmoins pour le Challenge ASAVE GT Tourisme. Si les pilotes de Morrissette n’ont plus grand chose à jouer au niveau du classement du championnat, cela ne les empêchera pas de prendre du plaisir en piste. .
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Outre le plateau ASAVE GT Tourisme de Morrissette, plusieurs autres catégories que l’on retrouve habituellement dans le Championnat de France seront également présents sur le circuit de Nevers Magny-Cours : le Trophée Lotus, le Trophée Saloon Car ainsi que le HTCC Groupe 1.
Du coté des monoplaces, on retrouvera les habituelles Formula Ford ainsi que le Trophée Ford Formule Kent. Ces plateaux seront rejoints par l’AvD Historic Race Cup ainsi que par le Trophée des F3 Historiques. Nous avons notamment vu ce dernier aux 73rd Members Meeting de Goodwood en début de saison ou encore au Grand Prix de l’Age d’Or. Ces monoplaces construites entre 1964 et 1970 sont propulsées par un moteur de 1000cc. Surnommées screamers en raison du bruit émis par ses monoplaces à très hauts régimes, on y retrouve des constructeurs comme Brabham, Cooper, Chevron, Lotus où encore Tecno.
En complément de toutes ces courses sprint, une course d’endurance : les 3 heures du GP Historique se tiendra en clôture du meeting le dimanche soir. Dans la grande tradition des épreuves d’endurance, les GT (pré 76), Tourisme (pré 80) et protos (moins de 2 litres pré 72) seront mélangés en piste. .
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Morrissette sera en piste aux horaires suivants :
Vendredi 18 septembre :
Essais libres : Après midi (horaires à définir)
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Samedi 19 septembre
Essais qualificatifs : 9h45 – 10h10
Course 1 : 16h15 – 16h45
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Dimanche 20 septembre
Course 2 : 8h40 – 9h10
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A noter que les organisateurs (Pits Organisation) ont souhaité rendre ce weekend accessible à tous, les tribunes, les paddocks et les parkings seront en accès libre et gratuit tout au long du weekend.
La première course de la matinée n’est pas la moins animée. Longtemps neutralisée, la course est finalement rallongée de trois minutes afin de permettre aux pilotes de s’exprimer. La lutte entre les deux premiers est acharnée et se termine malheureusement par une impressionnante sortie de route dans le dernier virage et une collision face au mur des stands. Celle-ci est heureusement sans gravité pour le pilote, si ce n’est un amour propre et une voiture froissée.
Peter de la Roche – Cooper Norton Mk5 1951
David Woodhouse – Cooper Norton Mk9 1955
Gordon Russell – Mackson Norton 1952
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Richmond and Gordon Trophies
La Scarab de Julian Bronson rapidement éliminée sur ennuis mécaniques, les monoplaces d’origine britanniques se sont retrouvées seules en tête de cette course. Hormis une frayeur au moment ou un incident est survenu juste devant lui à la chicane entre deux retardataires, la course de Rod Jolley au volant de sa Cooper Climax a été relativement calme, celui-ci augmentant petit à petit son avance.
Rod Jolley – Cooper Climax T45/51 1958
Gary Pearson – BRM Type 25 1958
Joe Twyman – Cooper Climax T45/51 1958
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Barry Sheene Memorial Trophy – Part II
Une superbe course avec une lutte de tous les instants entre les deux premiers à partir de la mi-course. Les deux pilotes vont jusqu’à se taper dans le dos en pleine ligne droite ou encore emmener quelques morceaux de la chicane. Cette course annimée s’est quasiment jugée à la photo finish tellement les deux premiers étaient proches au moment de franchir la ligne d’arrivée.
Edward / Shaydon – Matchless G50 1962
Fitchett / Mc Williams – Manx Norton 500 1961
Russel / Rutter – Manx Norton 500 1962
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Résultats agrégés des courses I et II :
Fitchett / Mc Williams – Manx Norton 500 1961
Russel / Rutter – Manx Norton 500 1962
Grant / Johnson – Manx Norton 1962
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St Marys Trophy – Part II
Après les pilotes professionnels, c’est au tour des propriétaires des voitures de tourisme d’en prendre le volant. La course est de nouveau remportée par la Ford Fairlane Thunderbolt pilotée cette fois ci par Henry Mann. La bataille se passe un peu plus loin dans le peloton notament avec la lutte entre les Cortina de Neal et Jordan ou encore la fantastique course de Nick Swift (Swiftune) au volant de sa Mini. Comme lors de chacune des ses apparitions à Goodwood, le pilote préparateur a ravi le public en ne lâchant pas le pare choc arrière de l’Alfa Romeo d’Alex Furiani.
Henry Mann – Ford Fairlane Thunderbolt 1964
Matt Neal – Ford Lotus Cortina Mk1 1963
Mike Jordan – Ford Lotus Cortina Mk1 1965
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Résultats agrégés des courses I et II :
Kristensen / Mann – Ford Fairlane Thunderbolt 1964
Shedden / Neal – Ford Lotus Cortina Mk1 1963
Jordan / Jordan – Ford Lotus Cortina Mk1 1965
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Royal Automobile Club (RAC) TT Celebration
Assurément l’événement phare du weekend qui oppose les AC Cobra, Jaguar Type E et autres Ferrari 250 GTO. La course de tous les superlatifs où les voitures sont toutes plus rares et plus chères les unes que les autres. Si vous êtes sensibles aux impacts sur les carrosseries ne regardez pas cette vidéo car nombre de ces bijoux sur 4 roues vont finir plus ou moins cabossés. Après un départ prudent, la Jaguar Type E de JD Classics aux mains de Ward / Shelden va petit à petit construire son avantage, laissant la meute de Cobra s’expliquer pour les places d’honneur.
Ward / Shelden – Jaguar Type E 1963
Smith / Bryant – AC Cobra 1964
Squire / Stippler – AC Cobre 1964
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Glover Trophy
Cette course de monoplace est restée fidèle au fil rouge du Goodwood Revival 2015, à savoir les têtes à queue et excursions sur la pelouse du Sussex. Malgré toutes ces animations, la victoire d’Andy Middlehurst n’a pas été menacée et celui-ci établi un record en remportant le Glover Trophy pour la 5ème année consécutive.
Andy Middlehurst – Lotus Climax 25 1962
James King – Brabham Climax BT7 1963
Andrew Beaumont – Lotus Climax 24 1962
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Sussex Trophy
Alors que l’on s’acheminait vers un nouveau cavalier seul de Chris Ward sur Lister Jaguar « Costin » la mécanique en a décidé autrement. Bloqué sur le quatrième rapport, la Lister n’a pas pu résister au retour de la Ferrari 246S Dino pilotée par Bobby Verdon-Roe. Le podium est complété par le très sympathique Sam Hancock sur Lister Jaguar « Knobby ».
Bobby Verdon-Roe – Ferrari 246S Dino 1960
Chris Ward – Lister Jaguar « Costin » 1959
Sam Hancock – Lister Jaguar « Knobby » 1958
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Ainsi s’achève le Goodwood Revival 2015, il faudra malheureusement patienter 12 longs mois pour un autre magical step back in time concocté par Lord March et ses équipes. Si vous souhaitez assister à l’édition 2016, rendez vous dès le mois de novembre au moment de la mise en vente des billets.
Le Goodwood Revival 2015 s’est terminé hier soir aux alentours de 19h heure française et celui-ci a encore une fois était une totale réussite avec des courses particulièrement disputées. En lieu et place de la traditionnelle vidéo de la semaine, Morrissette vous propose les meilleurs moments de toutes les courses ainsi que les différents podiums. Débutons avec la course du vendredi soir et celles du samedi. .
Freddie March Mémorial Trophy
Une course dominée de la tête et des épaules par le duo de pilote JD Classics Hood / Ward. Ils ont peu a peu pris l’avantage sur leurs adversaires et les averses en milieu de course n’ont pas ralenti leur progression. Au final ils finissent la course d’endurance de 80 minutes disputée à la tombée de la nuit avec un tour d’avance sur tous leurs concurrents.
Hood / Ward – Cooper Jaguar T33 1954
Nuthall / Wood – RG5 Jaguar Atalanta 1952
Kyvalova / Keen – Cooper Jaguar T33 1954
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Goodwood Trophy
La victoire de Mark Gilles n’a souffert d’aucune contestation, celui-ci imposant son ERA A-Type R3A avec plus de 15 secondes d’avance sur les autres concurrents. Cette victoire fait de Mark Gilles le premier à s’imposer 5 fois au Goodwood Revival dans la même catégorie.
Mark Gilles – ERA A-Type R3A 1934
Calum Lokie – Maserati 6CM 1938
Nicholas Topliss – ERA A-Type R4A 1935
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Fordwater Trophy
Deuxième victoire du weekend pour l’équipe JD Classics grace à John Young qui impose sa Jaguar XK 120 devant la Porsche 356 pilotée par Chris Harris. Le présentateur britanique rendu célèbre par ses vidéos sur YouTube travaille désormais pour Goodwood, cependant sa connaissance du circuit n’a pas été suffisante pour s’imposer.
John Young – Jaguar XK120 1950
Chris Harris – Porsche 356 1953
Philip Champion – Frazer Nash Mille Miglia 1951
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Barry Sheene Memorial Trophy – Part I
Première apparition des acrobates sur deux roues qui se conclue par un triplé des Manx Norton 500. Cette course à deux pilotes avec changement obligatoire en milieu de manche donne toujours des courses très disputées du fait des différences de vitesses entre les premiers et deuxièmes pilotes.
Fitchett / Mc Williams – Manx Norton 500 1961
Bain / Brogan – Manx Norton 500 1962
Russel / Rutter – Manx Norton 500 1962
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St Marys Trophy – Part I
Si vous ne devez regarder qu’une seule vidéo c’est celle-ci. La course la plus disputée du weekend et l’une des plus disputée de l’histoire du Revival a en croire les commentateurs. Les pilotes professionnels ont fait étalage de tous leurs talents aux volants des voitures de tourisme. Tom Kristensen parti en fond de grille impose au final sa Ford Fairlane Thunderbolt devant un peloton de Lotus Cortina et Alfa Romeo.
Tom Kristensen – Ford Fairlane Thunderbolt 1964
Gordon Shedden- Ford Lotus Cortina Mk1 1965
Frank Stippler – Alfa Romeo 1600 GTA 1965
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Lavant Cup
Même si la course était placée sous le signe du rouge Ferrari, c’est au final une voiture jaune qui s’impose. James Cottingham (DK Engineering) remporte la victoire au volant de sa 500 TRC devant la 750 Monza pilotée par Carlos Monteverde. La lutte entre les deux pilotes a été âpre et s’est soldée par une touchette dans le virage de Woodcote. Carlos Monteverde a écopé d’une pénalité de 10 secondes pour départ anticipé mais conserve la seconde place.
James Cottingham – Ferrari 500 TRC 1957
Carlos Monteverde – Ferrari 750 Monza 1955
Max Girardo – Ferrari 250 GT Tour de France 1957
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Brooklands Trophy
Voir évoluer la Frazer Nash de Patrick Blakeney-Edwards mérite assurément le détour. Cette voiture qui semble tout droit sortie d’un dessin animé ou d’une bande dessinée a pourtant donné bien du fil a retordre a des autos plus puissantes et plus performantes. La lutte pour la première place a été très serrée, Neil Twyman imposant de peu son Alfa Romeo devant une Talbot.
Neil Twyman – Alfa Romeo 8C 2600 Muletto 1932
Gareth Burnett- Talbot AV105 1931
Patrick Blakeney-Edwards – Frazer Nash Saloon « The Owlet » 1928
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Whitsun Trophy
La traditionnelle course la plus rapide du weekend a été fidèle a sa réputation. Les Lola-Chevrolet T70 Spyder ont imposé leur puissance au terme d’une course très mouvementée, d’abord neutralisée par un Safety Car avant de finalement être interrompue au drapeau rouge. Nick Padmore l’emporte devant Oliver Bryant, deux habitués des courses et des podiums à Goodwood.
Nick Padmore – Lola Chevrolet T70 Spyder 1966
Oliver Bryant – Lola Chevrolet T70 Spyder 1966
Jay Esterer – Chinook Chevrolet Mk2 1966
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Rendez vous demain pour la suite de cette rétrospective avec les courses du dimanche dont l’incontournable Royal Automobile Club TT Celebration remporté par une voiture anglaises devant une armada de Cobra …