Si la carrière cinématographique de Steve McQueen a été riche de succès, sa reconnaissance et son aura n’ont cessé de grandir depuis le décès de la star Hollywoodienne. Comme beaucoup de grands peintres, Steve McQueen aura eu une reconnaissance posthume même s’il est important de rappeler que de son vivant l’acteur était déjà adulé. Celui que beaucoup appellent désormais le King of Cool est décliné sous toutes les formes, que ce soit pour promouvoir des lunettes de soleil, une marque de vêtements. Les magazines de mode louent sans réserve son style et Steve McQueen semble être devenu monsieur parfait pour les annonceurs ce qui était loin d’être le cas de son vivant.
Les voitures ou tout autre objet lui ayant appartenu s’arrachent à prix d’or dans les ventes aux enchères. Ces films sont souvent réédités, tout comme les documentaires sur sa vie dont le dernier en date est Steve McQueen : The Man & Le Mans. On peut apprécier ou regretter cette McQueen mania, mais le phénomène est indéniable. .
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Le King of Cool aura désormais droit à sa bande dessinée, celle-ci est naturellement intitulée Steve McQueen in Le Mans. Derrière les bulles et les vignettes, on retrouve Sandro Garbo et les équipes de son studio. La bande dessinée s’inspire directement du film Le Mans qui a tenu un rôle central dans la vie et dans la carrière de Steve McQueen.
L’auteur présente Steve McQueen in Le Mans comme un hommage à Steve McQueen mais également comme un cadeau pour les passionnés de course automobile. La réalisation de l’album aura nécessité plus de trois ans de travail afin de retranscrire au mieux les formes inoubliables des voitures de l’époque mais également les couleurs propres aux années 70.
L’édition hommage en format relié de l’album vient de sortir et celle-ci devrait naturellement être disponible dans les allées du salon Rétromobile qui se déroulera à la Porte de Versailles dans un peu moins d’un mois. .
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Pour plus de renseignements ou pour commander votre exemplaire de Steve McQueen in Le Mans : http://mcqueenlemans.com
Comme chaque année l’Automobile Club de l’Ouest (ACO) en partenariat avec les cinémas CGR proposera aux passionnés la projection du film officiel des 24 heures du Mans 2015 lors d’une soirée spéciale. Le mercredi 25 novembre à 20h, une dizaine de cinémas affiliés au réseau CGR diffuseront simultanément le film de l’édition 2015 des deux tours d’horloge manceau. .
Les 24 heures du Mans 2015 ont été marqués par le retour de Porsche sur la plus haute marche du podium. Au terme d’une lutte intense avec les Audi, la 919 Hybrid du trio Hülkenberg, Bamber, Tandy s’est imposée cette année dans la Sarthe. Dans les autres catégories, la compétition a également était présente tout au long de ces 24 heures, en LMP2 c’est la nouvelle venue de l’équipe KCMG qui s’est imposée alors que du côté des GT Corvette emporte le LM GTE Pro alors que Ferrari s’est imposé en LM GTE Am.
Si l’an dernier le Groupe CGR et Coté diffusion s’étaient associés pour diffuser largement le film dans l’hexagone avec une cinquantaine de cinémas proposant la projection du film officiel, cette année la diffusion est beaucoup plus réduite. Seulement 11 cinémas CGR diffuseront ce mercredi le film des 24h du Mans 2015, en espérant que l’un des cinémas ci-dessous se trouve proche de chez vous :
Méga CGR La Mézière
Cap Malo – Route de Saint Malo 35520 La Mézière
Méga CGR 2 Lions
av. Marcel-Merieux, quart. des 2 Lions 37200 Tours
Méga CGR Lanester
Rue Gustave Zede – Zone du Manebos 56600 Lanester
CGR Le Paris
Rue Barrière de Jaude 63000 Clermont-Ferrand
Méga CGR Saint-Saturnin
Rue Jean de Vignolles (ZAC Portes de l’Oceane) 72650 Saint-Saturnin
Méga CGR Mantes La Jolie
Place Henri Dunant 78200 Mantes-la-Jolie
Méga CGR Buxerolles
rue des Freres-Lumiere 86180 Buxerolles
Méga CGR Fontaine le Comte
ZA Porte d’Aquitaine 86240 Fontaine-le-Comte
Méga CGR Evry 2
Centre Commercial 2 – Place de l’Agora 91000 Évry
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Le film officiel des 24h du Mans 2015 sera comme de coutume disponible en DVD et Blu-ray quelques heures après la première diffusion de celui-ci dans les salles. Un timing parfait pour que celui-ci se retrouve dans la haute du père Noël ou sous le sapin.
Le site petrolicious.com spécialisé dans l’automobile de collection et de prestige aux Etats Unis a demandé à ses lecteurs de désigner les meilleurs films automobiles. Il semble que les réponses aient été nombreuses et variées, néanmoins un consensus se dégage. Voici le top 10 des internautes de Petrolicious :
10 Rush (2013)
9 Two-Lane Blacktop (1971) – traduit en français par Macadam à deux voies
8 Cannonball Run (1981) – traduit en français par L’équipée du Cannonball
7 Bullitt (1968)
6 The Italian Job (1969) – traduit en français par L’Or se barre
5 C’était Un Rendez-vous (1976)
4 Ronin (1998)
3 Senna (2010)
2 Le Mans (1971)
1 Grand Prix (1966) .
. Il est intéressant de noter la culture des internautes qui ne se limite pas aux films 100% américains produits par Hollywood. Il s’agit également pour la plupart de films anciens ou ayant pour thème l’automobile des années 60-70. A noter que Morrissette a eu la chance de voir l’ensemble des films composant ce top10, elle est globalement d’accord avec le classement notamment en ce qui concerne le vainqueur. Elle aurait cependant ajouté à la liste Gone in sixty seconds (60 secondes chrono) ou encore Weekend of a Champion.
Avant d’être un film, Need for Speed est une franchise de jeu vidéo qui a débuté il y a 20 ans et s’enrichi toujours régulièrement d’un nouvel opus. Cela ne nous rajeunit pas car j’ai connu le premier Need for Speed et je me rappel encore très bien lorsque ma grand-mère m’avait offert Need for Speed III Hot Pursuit en cadeau de Noël. Je passais alors des heures à tenter de dompter sur PC une Jaguar (déjà) XJR-15 particulièrement rétive mais sublime. Et oui, lorsque l’on n’a pas la chance d’être né dans les années 50-60 et d’avoir pu lire les exploits de Striling Moss dans Autocar, une grande partie de notre culture automobile a été forgée par les jeux vidéos.
Malgré toute cette histoire personnelle avec la franchise Need for Speed, je suis allé voir le film sans apriori n’ayant vu que quelques bandes annonces mettant en avant une impressionnante liste de supercars. La première chose qui frappe est la réussite de la 3D, celle-ci offre une réelle impression de profondeur dès les premières scènes, à tel point que certaines séquences font plus penser à des images de synthèse qu’à des scènes réellement filmées. Dès les premières minutes du film on aperçoit quelques images de Bullitt et l’on assiste aux premières courses poursuites au volant de muscle car américaines très inspirées des différents Fast & Furious. .
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La présence des voitures anciennes s’arrête rapidement et celles-ci laissent la place à des américaines plus modernes ou à des supercars exotiques principalement d’origine européenne. On notera l’absence volontaire ou non de Ferrari et la participation très poussés de Ford avec le pickup Super Duty ainsi que plusieurs Mustang dont la toute dernière génération. Si le scénario est assez simpliste (les gentils face à un méchant), les divers rebondissements permettent de relancer le film et de tenir les spectateurs en haleine. L’esprit de la franchise de jeux vidéos est fidèlement retranscrite, on retrouve les célèbres courses de rues ou les contacts et accidents sont nombreux et les courses poursuites incessantes avec la police. Le seul reproche que l’on puisse faire au film est le manque de réalisme de certaines courses poursuites et la position des pilotes, littéralement accrochés aux volants de leurs bolides. La bande son est également un peu légère et n’est pas à la hauteur d’un Fast & Furious, mais le son du V8 de la Mustang compense cette faiblesse.
En résumé, Need for Speed est un film fidèle au jeu vidéo du même nom et reste un film d’action divertissant centré sur la course automobile. Si vous avez été bercé par les jeux vidéos ou que vous êtes amateurs de courses poursuites, Morrissette vous conseil donc d’aller voir Need for Speed.
Le monde des passionnés d’automobile ne parle que de Rush depuis mercredi dernier, date de la sortie du film au cinéma. Le film retrace la saison 1976 de Formule 1 marquée par la rivalité entre l’austère autrichien Nikki Lauda et le playboy britannique James Hunt. Plutôt que de se fier aux critiques, qu’elles soient bonnes ou mauvaises, rien ne remplace sa propre expérience. Direction les salles obscures pour se faire son propre avis en ce weekend pluvieux.
Rush vous plonge immédiatement au cœur de la course automobile et de l’enfer vert du Nürburgring. Ron Howard le réalisateur du film a voulu retranscrire les faits de la manière la plus fidèle possible et de ce point le film est une véritable réussite. Rush a le bon gout de ne pas tomber dans le travers très anglo-saxon du bon et du méchant, James Hunt et Nikki Lauda deux personnages antinomiques sont traités de manières neutre et impartiale. Chacun se fera, selon son humeur et sa sensibilité son propre héros.
En réalité Rush est d’avantage un film sur la rivalité acérée qui existait entre James Hunt et Nikki Lauda dans les années 70 qu’un film sur la Formule 1. La course automobile offre un décor grandiose à cette rivalité où la mort et le danger sont omniprésents. Rush est un film à part entière et non un documentaire comme peuvent l’être Le Mans ou encore Senna. Le film offre du grand spectacle sans tomber dans la démesure de films comme Fast & Furious. Rush semble directement inspiré du film Grand Prix sorti en 1966 et comme lui s’attarde longuement sur la vie et le ressenti des pilotes sur et en dehors des circuits.
Les amateurs exigeants dont fait partie Morrissette noteront quelques anachronismes comme les pneumatiques montés sur la Mini de James Hunt ou encore les images censées être tournées au circuit Paul Ricard au Castelet qui semble plus verdoyant que jamais.
En conclusion Rush est une fresque historique sur la Formule 1 qui s’adresse au plus grand nombre aussi bien passionnés que néophytes. Ces derniers auront même l’avantage de vivre jusqu’au bout le suspens sur le dénouement de la saison 1976 de formule 1.
A l’occasion du salon automobile de Los Angeles, Jaguar dévoile le premier teaser d’un court métrage intitulé Desire. Ce film de promotion pour la toute nouvelle Jaguar F-Type s’offre un casting de choix : la réalisation est assurée par Ridley Scott, réalisateur de renom passionné d’automobile, celle-ci est complétée d’une musique signée Lana del Rey (égérie de la marque depuis quelques mois). Du coté des acteurs ont retrouve bien évidement la Jaguar F-Type et l’acteur Damian Lewis connu pour son rôle dans la série Homeland.
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Avec un tel casting, la réalisation est bien évidement léchée et le teaser apparait très arty, conforme à l’image que la marque de Coventry souhaite se donner depuis plusieurs années. Pour voir Desire dans son intégralité, il vous faudra attendre 2013, la date exacte de sortie n’ayant pas encore été officialisée. .
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Autre nouveautés sur le stand Jaguar, la XF-RS, version survitaminée de la berline XF qui développe 550 chevaux et au design agressif et caricatural que ne renieraient pas les pires tuners. N’espérez pas voir ici des photos de ce dernier modèle, Morrissette s’y refuse tant la XF-RS n’est pas conforme au standing que l’on est en droit d’attendre une Jaguar. Si vous souhaitez une berline sportive, Morrissette vous conseille la beaucoup plus discrète XF-R, 500 chevaux ne sont-ils pas déjà largement suffisants au quotidien ?
Chaque semaine Morrissette met à l’honneur une vidéo qui a particulièrement retenu son attention. Toutes les vidéos ont pour thème l’automobile, que ce soit ancienne ou moderne.
La vidéo de la semaine :
La période estivale est désormais bien entamée et celle-ci s’accompagne généralement des traditionnelles vacances d’été. S’il vous prend l’envie de restaurer votre ancienne durant vos congés, sachez que cette opération est généralement longue, plus compliquée et plus couteuse que prévu initialement. La restauration intégrale d’un moteur peut cependant être ludique, comme en témoigne la vidéo que vous a sélectionné Morrissette cette semaine. Le propriétaire d’une Triumph Spitfire a décidé de restaurer son moteur et a photographié chacune des étapes avant de monter celles-ci et de les mettre en musique dans un film.
La sortie du film Rush est très attendue par les passionnés d’automobile et de compétition. Ce long métrage prévu pour 2013 retracera la saison de Formule 1 de 1976 au cours de laquelle la rivalité entre Niki Lauda et James Hunt a rythmé toute la saison. L’année 1976 a également été marquée par le grave accident du pilote autrichien survenu sur le tracé du Nurburgring au cours du Grand Prix d’Allemagne.
Le film est réalisé par Ron Howard qui a signé quelques succès à Hollywood parmi lesquels le Da Vinci Code. En ce qui concerne les acteurs, Daniel Brühl jouera le rôle Niki Lauda alors que James Hunt sera incarné par Chris Hemsworth.
Les images de ce film nous parviennent au compte goute, au cours du mois d’Avril des images amateurs montraient la reconstitution de l’accident de Niki Lauda sur le Nurburgring. La BBC qui produit le film nous livre désormais les premières images officielles du film ainsi que des interviews des principaux protagonistes.
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Au vue des premières images, il semble que les décors et les détails aient été particulièrement soignés, l’ambiance nous replonge immédiatement au coeur des années 70. Vivement 2013 que l’on puisse découvrir Rush en intégralité dans les salles obscures, en espérant que la diffusion soit à la hauteur du film.
Chaque semaine Morrissette met à l’honneur une vidéo qui a particulièrement retenu son attention. Toutes les vidéos ont pour thème l’automobile, que ce soit ancienne ou moderne.
La vidéo de la semaine :
Vous connaissiez la magie de Noël, Porsche vous présente désormais la magie de la 911. Pour accompagner en communication le lancement de son modèle fétiche, la marque de Stuttgart a organisé un concours de cours métrage sur le thème « Everyday Magic ». Chaque réalisateur amateur se devait de réaliser un film d’une minute trente mettant en scène la magie que représente l’utilisation quotidienne de la dernière Porsche 911.
Trois films et leurs trois réalisateurs ont été primés lors de ce concours et se sont vu publiés par Porsche. Les finalistes sont Kristina Woo avec The Ride et Rod Guajardo pour Sweet Dreams. Le film qui l’emporte s’intitule It’s a Magical Life et a été réalisé par Michael Koerbel. Morrissette rejoint le jury et préfère également ce court métrage qui a opté pour un point de vue très innovant au propre comme au figuré.
Le DVD du film « Senna » réalisé par Asif Kapadia est sorti le 25 octobre dernier, celui-ci est disponible en deux versions : classique (DVD ou Blu Ray) et collector (film accompagné d’un livre richement illustré). Lors de sa sortie en salle, le film avait été encensé par les critiques aussi bien cinématographiques qu’automobiles et primé au festival de Sundance. Malheureusement le film a été très peu diffusé en France à l’exception de quelques salles et sa sortie en DVD permettra à tous les passionnés de pouvoir enfin le visionner.
Le documentaire retrace la carrière en formule 1 d’Ayrton Senna après avoir évoqué très rapidement ses débuts en karting. Morrissette a visionné récemment le film et vous donne son avis sur celui-ci. Avant tout commentaire, il est nécessaire de dissocier le film Senna de l’homme Ayrton Senna. Le pilote brésilien ayant depuis longtemps été élevé au rang de légende, il est en quelque sorte devenu impossible de le critiquer sans soulever un tollé parmi de ses fans et de ses défenseurs.
Nous nous concentrerons donc uniquement sur le film en lui même. Premièrement, « Senna » nous dévoile relativement peu d’images inédites, la vie d’Ayrton ayant été comptée par de nombreux documentaires, il est difficile de dénicher des images inédites. Le plus gros reproche que l’on puisse faire au film est sa partialité, Asif Kpadia prend clairement partie pour Ayrton et tente de l’ériger en chevalier blanc de la formule 1. La FIA, Jean Marie Ballestre, Alain Prost ou encore Michael Schumacher y sont présentés comme des tricheurs prêts à tous pour s’imposer face au grand et innocent pilote brésilien.
Selon le film, la victoire du Grand Prix de Monaco 1984 lui a été volé par la FIA, tout comme le titre de Champion du monde 1989. Il a été battu en 1992 et 1993 par une voiture aux suspensions électroniques avantageuses et non par un pilote. Enfin, en début de saison 1994, les victoires de Benetton et de Michael Schumacher ne sont dues qu’a un supposé contrôle de la traction électronique. A l’inverse, l’accrochage de 1990 au Japon offrant le titre à Senna est traité de manière très rapide, le réalisateur préférant les images de la remise des prix à un ralenti de l’accrochage avec Alain Prost. Au final, cette prise de position ne sert ni le film, ni Ayrton Senna lui même, la grandeur du personnage tenait autant à ses zones d’ombres qu’à ses succès en piste.
L’autre reproche que l’on peut faire au film et de se concentrer uniquement sur les résultats en piste sans réellement approfondir la personnalité complexe d’Ayrton. De nombreux aspects de sa personnalité sont évoqués sans que ceux-ci ne soit pour autant réellement étudiés : l’importance de la religion, ses relations avec Alain Prost, son rapport unique avec son pays, sa sensibilité aux accidents arrivant aux autres pilotes. Une étude de ces différents aspects de sa personnalité semblait plus intéressante pour Morrissette qu’une simple évocation des résultats d’Ayrton en piste
Le film reste cependant un excellent témoignage unique de ce qu’était la formule 1 dans les années 80 et 90 : un cocktail détonnant de vitesse et de danger. Les courses étaient alors bien différentes de celles que l’on connaît en 2011, les monoplaces laissaient des gerbes d’étincelles à chaque compression et se battaient roues contre roues pendant plusieurs virages. Le film Senna montre également des pilotes bien plus accessibles qu’ils ne le sont aujourd’hui vivant leur passion simplement sans un aréopage de managers, attachés de presses et autre phisio-thérapeutes.
Le documentaire montre la ferveur du peuple brésilien pour son champion ; Senna offrait tous les dimanches du rêve à un peuple qui manquait de beaucoup de choses au quotidien mais qui s’unissait pour soutenir le pilote pauliste. Les scènes de sa victoire lors du Grand Prix de Sao Paulo ou plus de 300 000 personnes chantent « Ole, Ole, Ole, Senna, Senna » sont particulièrement touchantes, tout comme les images montrant son cercueil traverser la ville au milieu de millions de personnes venues lui rendre un dernier hommage.
La meilleure partie du film se trouve dans les bonus,où différents acteurs du monde de la formule 1 (pilotes, chefs d’écuries, journalistes) livrent leur vision personnelle d’Ayrton Senna. Ces interviews permettent de se rendre compte à quel point le mythe Senna est toujours vivant, chacun essaye de s’approprier une part du mythe, de se déclarer plus proche de Senna qu’il ne l’était réellement, cela contribue à faire perdurer la légende du pilote brésilien disparu trop tôt un jour de mai 1994.