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Cap sur la Bretagne pour le Tour Auto 2017

Les premières informations sur l’édition 2017 du Tour Auto viennent d’être dévoilées et l’on connait d’ores et déjà les dates et la région d’arrivée. La 26ème édition du Tour Auto se déroulera tout à la fin du mois d’avril, du 24 au 30 avril pour être précis.

Patrick Peter, organisateur de l’épreuve, avait laissé entendre dans des interviews que le Tour Auto 2017 passerait par la Bretagne, cette information est officiellement confirmée même si l’on ne connait pas encore la ville exacte d’arrivée.
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Les interdictions de circulation des véhicules anciens dans Paris n’ont pas d’impact sur le Tour Auto et celui-ci partira comme depuis plusieurs années du Grand Palais au cœur de la capitale. Les concurrents arriveront le dimanche au Grand Palais et le quitteront le mardi matin à l’aube avant même l’heure des restrictions. Entre les deux, la journée du lundi sera consacrée aux vérifications administratives et techniques. A cette occasion le Grand Palais sera ouvert aux visiteurs et en soirée différents cocktails et animations seront organisés par les partenaires du Tour Auto.

Aucun détail sur le parcours entre n’a pour l’instant été dévoilé. On sait seulement que l’édition 2017 du tour Auto débutera depuis Paris, passera par la Bretagne avant de mettre le cap au Sud pour l’arrivée.

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Voici un premier teaser de l’édition 2017 du Tour Auto :
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Chaque année, le Tour Auto met à l’honneur des marques où des modèles ayant marqué l’histoire de l’épreuve. Le Tour Auto 2017 célébrera les marques françaises Alpine, CG, Delahaye, Facel Vega, Hotchkiss, Jide, Ligier, Panhard, Pichon Parat, René Bonnet, Salmson où encore les Simca.

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Sport & Collection 2012 : Clap de fin

Dimanche 3 juin, Circuit du Val de Vienne

Ce matin à l’ouverture des volets, la météo à radicalement changé, la température a baissé de 10°C et surtout il pleut sur le circuit du Vigeant. Le plateau des VHC est programmé à 9h, la pré grille est pour le moins clairsemé avec seulement six voitures pretes à prendre la piste.

Morrissette décide de s’aligner au départ et va tenter de surnager sur la piste humide malgré ses pneumatiques quasi slicks. Avant de pouvoir s’élancer, les voitures doivent allumer leurs feux, ce qui vous donne une idée des conditions météorologiques dans la Vienne. Les premiers tours se déroulent bien et Morrissette décide d’aller jusqu’au bout de son plateau. L’adhérence s’avère supérieure a ce qui été prévu grâce a une piste séchante par endroits et surtout à l’autobloquant dont est pourvue Morrissette. Peu d’action au cours de cette première séance de roulage si ce n’est quelques mouvements dans la chicane rapide et un blocage de roues pour éviter une Jidé partie en tête à queue au freinage du virage « trop tard ».

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La météo alterne entre averses et éclaircies tout au long de la matinée, celle-ci s’améliorera uniquement à partir de la traditionnelle parade Ferrari programmée à 12h. Les bolides italiens sont moins nombreux qu’à l’accoutumée du fait de la météo et la parade sera loin d’atteindre les 500 véhicules annoncés.

La deuxième séance de roulage de la journée et dernière du weekend est prévue à 16h pour Morrissette, les horaires et le programme ayant été légèrement modifiés, le plateau se révélera très hétéroclite car regroupant les VHC ainsi que les plateaux Le Mans 1 et Le Mans 2. La température étant remontée, Morrissette sera rapidement en proie à des soucis de freinage et passera la deuxième moitié de la séance à tenter de préserver les freins pour tenter de conserver un minimum de pouvoir de ralentissement.

La 18ème édition de Sport & Collection s’achève donc sans freins pour Morrissette, ce qui ne l’a pas empêché de s’amuser en piste pendant trois jours avec les autres concurrents du plateau VHC. Rendez vous l’année prochaine pour une nouvelle édition de cette manifestation au profit de la lutte contre le cancer.

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Classic Days 2012 : Météo et moral maussades

Samedi 28 avril, Circuit de Nevers Magny-Cours

Pour ce premier jour de la 5ème édition des Classic Days, on ne peut pas dire que la météo soit au beau fixe, les nuages se disputent le ciel nivernais et les averses n’épargnent pas le circuit de Magny-Cours. En pré-grille, la tention est palpable est personne n’est spécialement pressé de s’élancer sur cette piste glissante et détrempée.

La première séance de roulage se fera donc sous la pluie, Morrissette étant équipée de pneus mixtes passablement usés l’adhérence s’avère précaire. Il ne faudra que quelques virages pour confirmer le verdict concernant les conditions d’adhérence : le train avant et le train arrière hésitent pour savoir lequel sera le premier à décrocher. Cette première séance de roulage s’apparentera d’avantage à une séance d’acrobatie ou de patinage plus ou moins artistique où le but premier est de maintenir l’auto sur la piste. Morrissette sortira avec les honneurs de cette séance, peu de voitures étant plus rapides qu’elle dans ces conditions, elle complétera en plus la séance sans tête à queue mais pas sans de violents décrochages.

Lors de la seconde séance de roulage, la piste est enfin sèche ce qui devrait permettre de s’amuser d’avantage. Malheureusement, la séance sera écourtée après une dizaine de minutes en raison d’un accrochage entre une Alpine A110 et une Jidé. Il semble que l’accrochage soit du à une perte de liquide de refroidissement sur la piste et les deux voitures seront sérieusement abimées. Les conditions du roulage du matin associées aux nombreuses pannes et sorties de piste ont mis à mal les nerfs des organisateurs et malgré tous leurs efforts le retard s’accumule au long de la journée.

Pour la troisième séance de roulage disputée en milieu d’après midi, le ciel se fait plus menaçant mais la piste reste sèche. En pré-grille, Morrissette fera la rencontre des sympathiques membres de l’amicale Spitfire, venus féter les 50 ans de leur voiture favorite. L’équipage de Morrissette réalise une séance quasi parfaite en profitant d’une piste claire pour enchainer les tours rapides et soigner les trajectoires. Le drapeau a damier est franchi sans la moindre encombre et Morrissette entame son traditionnel tour de décélération.

Brusquement, le manomètre de pression d’huile chute à zéro et le voyant d’alerte s’allume. Le seul choix possible est de prendre la première échappatoire et de couper le moteur immédiatement afin d’éviter des dégâts trop important. Le moteur est éteint et ne semble pas touché, Morrissette est bonne pour un retour « à la ficelle » jusqu’aux paddocks. Une fois le moteur refroidit, il semble que les dégâts soit plus importants que prévu, et si le moteur n’est pas bloqué, celui-ci ne semble pas tourner normalement. Les Classic Days s’achèvent donc ainsi pour Morrissette et elle devra retourner chez le docteur pour connaitre son diagnostic final.

Si les Classic Days 2012 s’arrêtent sur cet incident mécanique pour Morrissette, il continue cependant pour Bob la Fumée qui faute de pouvoir piloter se transformera en photographe pour vous ramener des photos des différents plateaux, rendez vous demain pour les découvrir.

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